Une fluidité stylistique qui assure la facilité de la lecture, de la sentimentalité pour les amateurs de romans parfumés à l'eau de rose, quelques rebondissements bienvenus, des touches d'humour et un parcours peu crédible des différentes couches de la société.
Tels sont les ingrédients de ce roman que l'on oublie sitôt la lecture finie.
Il témoigne de la baisse de qualité de la littérature actuelle et, mutatis mutandis, rappelle que même l'Académie française peine à recruter des Immortels dignes de Mauriac ou de
Yourcenar...
Un roman qui n'est pas à l'honneur des Goncourt.
Commenter  J’apprécie         212