Hachette Black Moon [corriger]

Edward ou Jacob ? Jacob ou Edward ? Même encore aujourd'hui, à mon âge, je n'ai pas choisi. Les 2.



Bella...un personnage qui me convient tout à fait...



Cette saga a été un véritable coup de cœur. C'est la saga que je ne voulais pas finir.



La saga qui m'a laissée dans cet état où tout autre livre après, était fade....



Je le relis encore avec plaisir. Sans parler des films ( même si bien moins détaillés) que je vois et revois inlassablement.



Bref mon coup de cœur depuis longtemps !

Bella est heureuse, elle est en couple avec Edward. Une ombre au tableau se profile. C'est bientôt son anniversaire. Cela signifie qu'elle aura officiellement un an de plus qu'Edward. C'est rien un an, on dira mais pour Bella c'est différent car Edward aura toujours 17 ans. C'est un vampire.

Le soir de son anniversaire, Bella se coupe en déballant un cadeau et là l'instinct de vampire de la famille d'Edward reprend le dessus. Bella rentre chez elle saine et sauve mais Edward n'a pas envie de revivre une situation semblable qui pourrait mal tourner. Il la quitte et déménage avec sa famille. Pour Bella, c'est la descente aux enfers. Elle ne vit plus, elle survit jusqu'au jour où elle retrouve son ami Jacob. Réussira-t-il à lui faire oublier Edward ?



Comme pour le premier tome, les pages passent trop vite. On ressent le mal être et la souffrance de Bella. Elle n'est plus qu'un automate. Elle rayonne quand elle est amoureuse mais n'est qu'une ombre lorsqu'elle est malheureuse.

Dans ce tome, on en apprend plus sur Jacob et son entourage.

Je n’avais jamais lu de roman de Jane Austen bien que j’ai vu de nombreuses adaptations cinématographiques de ses œuvres. J’ai été surprise par la modernité du texte et l’ironie qui transparaissent dans son œuvre ce qui la rend intemporelle. J’ai aussi été surprise qu’elle indique les pensées de Mr Darcy et de Mr Bennet père plutôt que de se placer uniquement du côté des personnages féminins. Les préjugés d’Elizabeth Bennet semblent parfois un peu exagérés mais ils reflètent la société britannique de l’époque. Au final, un classique qui a bien vieilli et se lit avec plaisir.