[Mai 1940, prémisses de l'Exode face à l'avancée des chars allemands dans la capitale belge ; deux gamins (Lucien et Robert) marchent parmi la foule, cartables sur le dos :]
— N'empêche, c'est quand même grâce aux Allemands si on a plus d'école !
— Oh, l'aut' ! C'est ça, t'as qu'à les attendre aussi pour les remercier !
[Emile BRAVO, "Spirou. L'espoir malgré tout" — Première partie : "un mauvais départ", éditions Dupuis (Marcinelle), 2018 — planche 30, page 32]