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4.35/5 (sur 24 notes)

Biographie :

Victoria Aveline est une autrice de romances, qui a notamment écrit la série Les Clecaniens. Lorsqu'elle n'est pas en train d'écrire ou de fantasmer à propos de ses futurs personnages, elle aime voyager, lire, et boire des cocktails hors de prix. Elle vit avec son mari, leurs chiens et des milliers d'abeilles.

https://www.instagram.com/victoriaavelineauthor/ : Instagram
https://victoriaaveline.com/ : Site
https://linktr.ee/VictoriaAveline


Source : https://victoriaaveline.com/about/
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— Théo a-t-il eu d’autres offres ? Zikas répondit en haussant la voix pour masquer les bruits d’extase provenant de la chambre de Fejo. — Non. — Alors c’est lui qui l’emporte ! dit Jade en levant maladroitement le pouce en direction de Zikas qui le regarda. — D’accord ! dit-il tout sourire en prenant son pouce dans sa paume et en le secouant. Allons dans sa chambre. Il conduisit Jade vers une porte au bout du couloir. — Je serai là si vous avez besoin de quelque chose. Sortez juste quand vous aurez fini. — Vous n’entrez pas ? Perplexe, Zikas demanda lentement : — Voulez-vous que j’entre ? Elle réalisa que si c’était le cas, il observerait ce qu’elle ferait avec ce type. Gênant. — Oh. Euh, non. Ce serait bizarre. Zikas poussa un petit soupir de soulagement. Il acquiesça et se dirigea vers une chaise installée contre le mur le plus éloigné. Face à la porte, Jade se balançait d’avant en arrière sur ses pieds. — Avez-vous besoin d’aide ? demanda-t-il en se penchant sur son siège. — Non. Je vais bien ! fit-elle. Avec un regard d’excuse, elle ajouta : — Je suis juste un peu nerveuse. — C’est normal. Souvenez-vous juste qu’il n’a pas encore mis à jour son traducteur. S’il ne vous répond pas, c’est pour ça. Elle leva la main vers la porte, hochant distraitement la tête. La poignée était glissante sous sa paume moite. Inspirant profondément pour se calmer, elle l’ouvrit. À environ trois mètres de là, assis sur un canapé, se trouvait un Théo aux yeux bandés. Il tourna la tête dans sa direction quand elle ferma la porte. Jade ne sut pas combien de temps elle resta immobile dans l’entrée à le regarder fixement. Deux minutes ? Deux heures ? Peut-être que si elle ne bougeait pas ou ne respirait pas, il penserait qu’elle avait disparu. Elle venait d’avoir cette pensée quand il se mit à bouger. La mine renfrognée, il se leva du canapé et se redressa de toute sa hauteur. Sa taille imposante, son cadre massif et son énergie sombre rendaient la grande pièce exiguë. Elle ne pouvait détacher les yeux de lui. Puis, au grand étonnement de Jade, il commença à enlever ses vêtements. Jade sentit son souffle s’accélérer en regardant son torse nu. Elle commença à marcher vers lui, hypnotisée. En s’approchant, elle vit que ce qu’elle avait pris pour un bandeau ressemblait plutôt à du goudron noir et solide. Il n’y avait aucun moyen qu’il puisse voir à travers ça.
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Assis dans sa chambre, Théo fulminait. Maudite femelle ! Quand elle avait commencé à parler d’elle en mal, il n’avait pas pu se taire. Les canons de beauté terriens étaient ridicules. Théo ne pouvait pas imaginer qu’un mâle ne salive pas devant elle. Lui bavait clairement. Finalement, ce qui l’avait poussé à parler, c’était le regard qu’elle avait eu quand elle avait parlé d’elle et s’était comparée aux Clecaniennes. Pendant un moment, il avait cru qu’elle pensait vraiment qu’elle était inférieure à la moyenne. Son instinct lui avait crié de la réconforter et de la convaincre qu’elle se trompait. En repassant leur échange dans son esprit, il voyait combien il était absurde pour quelqu’un qui lui ressemblait de penser qu’elle devait modifier une partie de son apparence. C’était évidemment de la comédie. Un jeu visant à faire appel à ses propres insécurités. Théo avait appris autre chose. Le doux parfum qui lui faisait perdre la raison était son excitation, pas sa peur. La nuit précédente, quand il l’avait véritablement effrayée, il avait identifié l’odeur de sa peur. Elle était douce-amer, plus semblable à ce qu’il aurait attendu. L’idée qu’elle ait été excitée non seulement dans la cuisine, mais aussi pendant le test était plus troublante que l’idée qu’il lui ait fait peur. À l’instant, dans sa chambre, il l’avait de nouveau senti et avait dû partir le plus vite possible. Les foutus sous-vêtements portés par les Clecaniennes étaient censés masquer les odeurs afin que les mâles puissent se contrôler autour des femelles qui étaient excitées pour une raison ou une autre, mais ils n’avaient pas suffisamment dissimulé l’odeur de l’excitation de Jade au goût de Théo. Théo se demanda ce qui avait pu l’exciter. Moi ? pensa-t-il momentanément. Aurait-elle pu être attirée par lui ? Aurait-elle pu le choisir pour cette raison ? Théo secoua la tête misérablement. Son ego masculin avait trop souvent été blessé pour qu’il puisse y croire. Il trouverait toujours plus logique qu’elle se serve de lui et soit une très bonne actrice. Ce qu’il avait prévu pour ce soir-là allait sûrement la mettre à l’épreuve.
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— Personne ne m’a envoyée. J’ai été enlevée de ma planète, espèce de psychopathe ! — Mensonge ! rugit-il en se jetant sur elle. Elle essaya de l’esquiver, mais il la coinça. Elle tenta de lui griffer le visage avec ses petits ongles, mais il attrapa facilement ses mains et les plaça au-dessus de sa tête. Tenant ses poignets d’une main, il la plaqua contre le mur. — Celui qui t’a envoyée doit être stupide et toi aussi. Elle le regardait d’un air noir pendant qu’il parlait. — Je ne goberai jamais que tu m’as choisi par hasard parce que tu me trouvais sexy. Il prononça ce mot avec un grognement. Elle laissa échapper un soupir exaspéré, ses yeux devenant vitreux. Allait-elle pleurer ? Ses tripes se contractèrent et il dut réprimer l’envie de la libérer et de la consoler. — Eh bien, je le trouvais ! Je regrette ma décision maintenant. J’aurais dû faire confiance aux autres femmes. Elles avaient toutes l’air terrifiées par toi, et maintenant je sais pourquoi ! — Dis-moi juste pour qui tu travailles et je te laisserai partir. — Personne ne m’a envoyée ! Sa voix se brisa et elle se tordit les poignets violemment pour s’échapper. Si elle n’arrêtait pas, elle allait se faire mal. Théo lâcha un cri de frustration, puis prit Jade sur son épaule et bondit dans le couloir vers sa chambre. Une fois à l’intérieur, il la jeta sur le lit. Elle s’enfuit en courant. D’un ton dégoulinant de venin, il dit : — Très bien. Je vais jouer ton jeu. Te traiter comme une épouse. On va voir combien de temps tu vas tenir. Il se dirigea vers la porte et, avant de partir, ajouta : — Je possède des kilomètres de terrain dans toutes les directions. Si tu cours, je te poursuivrai. J’aime la chasse, mais tu n’aimeras pas ce qui arrivera si je t’attrape. Il claqua la porte en partant.
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Théo réfléchit à sa situation. Elle n’était pas Clecanienne, il était donc peu probable que quelqu’un de sa planète l’ait engagée. Si elle est très belle, elle doit être très bien payée, et je peux réduire la liste de suspects aux personnes les plus riches que je connais. Elle n’était pas une très bonne actrice. Il se souvenait du son effrayé qu’elle avait émis lorsqu’il l’avait touchée. Une bonne espionne devait être prête à se servir du sexe pour parvenir à ses fins. Si elle ne pouvait pas faire semblant pendant cinq minutes, comment pouvait-elle espérer tenir trois mois entiers ? Des pas légers retentirent au bout du couloir. Très bien, voyons à quoi nous avons affaire… Quand elle apparut, les rouages de son cerveau cessèrent de fonctionner. Il resta à la regarder, fasciné. Ses cheveux d’un roux flamboyant s’enroulaient doucement autour de son visage et tombaient sur ses épaules. Une robe fine et fluide, de couleur vert émeraude, mettait en valeur ses courbes amples et était assortie à ses yeux verts. Théo n’avait jamais vu une créature aussi belle de toute sa vie.
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