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4.28/5 (sur 177 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Lille , le 10/11/1974
Biographie :

Victoire Sentenac est romancière et infirmière puéricultrice. Diplômée de la faculté de droit de Montpellier, elle s’est reconvertie dans l’univers passionnant de la pédiatrie, au sein duquel elle trouve une source inépuisable d’inspiration pour ses romans si émouvants. Elle vit dans le sud de la France, avec son mari et ses trois enfants

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« La plume de Victoire »

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Compte Instagram victoire_sentenac

🏆 Prix du Roman 2019 Salon du Livre de Mazamet - Finaliste Talents de demain 2020 (À faire voler nos âmes)
❤️ Coup de coeur Librinova - Finaliste du Prix des Étoiles (L'étoile du nord tome 1)
🌟 Finaliste du prix des Étoiles Librinova (La nuit sur les toits)
🥇 Lauréate d'un concours de nouvelles régional (Au firmament - Les couleurs de mon ciel)
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Source : Auteur
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Citations et extraits (70) Voir plus Ajouter une citation
Et le peu d'espoir qui me restait, je l'ai consacré au combat. Pour Klaus, pour toi, pour qu'un jour votre monde soit différent du nôtre. Le Mur n'a pas toujours existé Nina, tu le sais, mais je te le redis encore.
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J'éprouve une haine profonde envers tous ceux qui l'on conduit dans ce fauteuil, une couverture sur les genoux, maigre à faire peur. Si Klaus n'était pas mort, si les hommes n'étaient pas assez fous pour abattre un des leurs de sang-froid, sans autre raison que la contrainte d'une idéologie commune, peut-être que mon père n'aurait pas sombré comme il l'a fait dans l'alcool, peut-être que sa désespérance n'aurait pas été aussi grande, et que le cancer ne serait pas en train de ronger son foie à petit feu.
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La nonchalance de Jörg, la gaieté de Magda, notre insouciance, malgré tout ! Insoutenable légèreté d'une jeunesse qui se croit immortelle. Une sourde nostalgie me prend à l'évocation de tous ces moments que je sais résolument derrière nous. On ne peut plus faire semblant de croire que tout est encore possible, parce qu'on y est, on se frotte vraiment à la réalité maintenant et on ignore si finalement on parviendra à faire mieux que nous parents.
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Alice écoute de toutes ses oreilles. Ce petit garçon blond et sa fleur unique au monde la fascinent. Et le renard, alors, n'en parlons pas. Elle n'est pas bien sûre d'avoir compris la signification de ce mot compliqué, "apprivoiser". Comme le petit prince, elle cherche à lui donner un sens.

Elle retient toutefois que si un lien spécial se créée entre deux êtres, on se sent moins seul, mais en contrepartie on a besoin de l'autre pour se sentir bien. Sa maman qui lui manque tant, est-ce qu'on peut dire qu'elle l'a apprivoisée, alors, quand elle était petite ? Et Julia ? Si elle devient son renard, est-ce qu'elle deviendra unique, pour elle ? (...)
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Finalement, grandir c'est comme raboter ses ailes, pour voler moins haut, mais plus en sécurité
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Mathieu étouffe, littéralement, dans sa belle cage dorée. Enfermé à l’intérieur de lui-même, incapable de profiter de l’instant présent. Il n’y a aucune douceur dans son quotidien, aucun lâcher-prise, et ce matin il en crève.
De désespoir, de colère, ou pour soulager cette tension qui monte comme une eau noire et puante, il pousse un juron, fort, et balaie d’un geste violent la tasse vide de café devant lui, qui explose avec fracas sur le carrelage.
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Toutes les couches de la société semblent se réveiller d’un long hiver de désespoir et de famine intellectuelle, culturelle, sociale. C’est perceptible, ça vibre dans l’air, et nous on hume le vent, comme de jeunes animaux impatients.
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Julia appréhende l’arrivée du printemps. La montée de sève qui l’accompagne, toutes les promesses de vie contenues dans chaque feuille, chaque bourgeon, et tous ces ventres rebondis qu’elle va voir réapparaître sous les robes légères
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Il s’assied à côté de moi, je n’ai toujours pas dit un mot, j’en suis bien incapable. J’avale ma salive péniblement, tourmentée par ce flot d’émotions qui afflue enfin en moi. Mon état de sidération s’estompe un peu, je pensais tellement ne jamais le revoir ! Je l’avais enfoui si loin !
Je tourne enfin la tête vers lui, et nous nous regardons fixement, en silence, perdus dans l’échange de nos âmes et de nos souvenirs.
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Victoire Sentenac
Je voudrais prendre cette tendresse comme une promesse
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Morand à l'heure des années folles

Nuit catalane : Dans un train au départ de Lausanne le narrateur fait la connaissance de Remedios Sirvent venue participer à un congrès politique. Compagne d'un anarchiste catalan "assassiné légalement" elle offre au narrateur, par sa présence dans le même compartiment, l'occasion d'un portrait aussi insolite que déroutant. Il retrouve Remedios une semaine plus tard, fortuitement, chez un ami à Paris et va la poursuivre ensuite jusqu'à Barcelone... "Mais ce que l'on goûtait en fin de compte chez cette révoltée, c'était la bienséance, l'honnêteté de sentiments, une hérédité catholique, mêlées à cette reconnaissance respectueuse de la bourgeoisie ESPAGNOLE envers l'homme, qui est un souvenir des Maures. Tous, autour d'elle, nous y étions sensibles, mais tous nous avions tendance à vouloir éprouver sa foi, épiant des défaillances, croyant à une escapade sentimentale vers l'anarchisme, plutôt qu'à une vocation." (p. 28/29) 🎶🎶🎶🎶

Dynamisme d’un cycliste, Umberto Boccioni
Hôtel-hôtel, Auguste Chabaud
Portrait d'Olga dans un fauteuil/Pablo Picasso
La Danse, Henri Matisse
Bouleaux sur fond de ciel bleu, Maurice Denis,
Rhapsodie espagnole, Maurice Ravel
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Éros, Paul Klee

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