Les zones étaient divisées en brigades dont chacune comptait une cinquantaine de détenus. Les brigades devaient abattre et ébrancher un nombre d’arbres préalablement défini. Chaque prisonnier avait son propre objectif à atteindre et s’il n’y arrivait pas, alors aucune grâce ou aménagement de peine n’était envisageable pour lui. Au contraire, il était accusé de sabotage et se voyait condamné à quelques années de prison supplémentaires.