La commissaire Leroy et le lieutenant Lebon poussent la lourde porte qui conduit à la salle des autopsies de l’institut médico-légal de la Timone. Une lumière crue se réfléchit sur la faïence blanche qui carrelle l’immense pièce. Ici, c’est l’antre de la mort. Pas une once de vie, hormis l’équipe hospitalière au teint blafard.
— La mort finit par être contagieuse, murmure la commissaire.