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3.55/5 (sur 118 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Beauvais (Oise) , le 03/05/1969
Biographie :

Renaud Dély est un journaliste de presse écrite français.

Entré à Libération en 1994, Renaud Dély en a dirigé le service politique de 2002 à janvier 2006. Puis il est devenu rédacteur en chef, éditorialiste, et enfin directeur adjoint de la rédaction de Libération jusqu'en septembre 2007.

Il est ensuite devenu rédacteur en chef adjoint et responsable des pages « politique » du Parisien de septembre 2007 à janvier 2008. Il rejoint alors l'hebdomadaire Marianne, dont il est le directeur-adjoint de la rédaction, chargé de l'actualité (France-Monde) jusqu'en mars 2010, date à laquelle il intègre la rédaction de France Inter. Il y est d'abord rédacteur en chef de la matinale, avant de devenir directeur-adjoint de la rédaction en septembre 2010.

Le 28 mars 2011, Renaud Dély annonce qu'il quitte France Inter pour l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur, où il devient directeur de la rédaction, sous l'autorité de Laurent Joffrin.

Il collabore par ailleurs au mensuel So Foot et à son site internet depuis 2005, et fut l'un des chroniqueurs de l'émission "On refait le match", sur RTL, d'août 2008 à mars 2010.

Il a publié, en mai 2011, dans la collection Le Poulpe, "La Vacance du petit Nicolas", en collaboration avec Pierre Cherruau.

Il est l'auteur ou coauteur de sept ouvrages politiques et intervient régulièrement depuis 2006 dans l'émission "C dans l'air", présentée par Yves Calvi et diffusée sur France 5.
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Podcast Parole d'écrivain par Sarah Masson - Saison 4 Episode 2 - Renaud Dély


Citations et extraits (57) Voir plus Ajouter une citation
- Monsieur le Président du Conseil, le tireur a été arrêté, c’est un anarchiste du nom d’Emile Cottin. Il sera sévèrement condamné.
- Certes, mais sachez que s’il est condamné à mort, je commuerai sa peine en détention à perpétuité. Je suis hostile à la peine de mort.
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La politique est le dernier des métiers ; les hommes politiques les derniers des hommes.
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[Macron] Euréka ! J’ai trouvé ! On va faire un grand débat !
[Macronie] Hein ?
[Macron] Moi, tout seul au milieu d’une foule de péquenots, une grand-salle, je parle des heures, tout le monde m’écoute ! Et à la fin, standing ovation, salut, rappel !
[Macronie] Euh… prudence, monsieur le président… humilité, profil bas, discrétion… il ne faut surtout pas la ramener.
[Macron] Mais bien sûr, j’ai compris, rassurez-vous, faites moi-confiance ! De l’humilité ? Fastoche !
[…]
[Macron] Alors MOI, je vais TOUT CHANGER, vous allez voir ce que vous allez voir ! Je vais réformer plus vite, plus fort, mais VOUS, attention les enfants ! Il va falloir que vous bossiez ! Faut vous remuer, là, tas de FEIGNANTS ! Pour trouver du boulot, il n’y a qu’a traverser a rue, hein ! Vous me coûtez un POGNON de DINGUE et moi je ne vous paie pas à rien foutre !
[Macronie] Oh non, c’est pas vrai ! Il recommence !
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D'une époque à l'autre, les mêmes turbulences alimentent les mêmes angoisses. Dans les années 30, c'était le traumatisme de la Grande Guerre, le déclin démographique de la France au regard de l'Allemagne, et l'impact de la crise économique. En ce XXIe siècle qui marque le retour du temps des incertitudes, c'est d'abord le choc de la mondialisation dans toutes ses dimensions (économiques, sociales, démographiques) qui bouscule les croyances établies. La France semble bien fragile et menacée au regard du colosse américain, du géant chinois et de l'Afrique en croissance.
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Chambre des députés,
-Mes chères collègues, je considère que ce n'est pas à l'état de se substituer par la loi à l'initiative et à la prévoyance individuelles.
-Parfaitement, c'est au patron de défendre l'intérêt de l'entreprise en harmonie avec les ouvriers...

G.CLEMENCEAU :
-Il faut être bien naif pour compter sur les patrons pour faire regner seuls, la justice. C'est l'état qui doit intervenir directement pour résoudre le problème de la misère, sous peine de voir la guerre sociale éclater au premier jour.
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[Édouard Philippe] Qu’est-ce qu’on peut faire ? Non mais qu’est-ce qu’on peut bien faire pour reprendre la main ?
[Christophe Castaner] Je sais ! Il suffit de mettre plus de flics et de taper dans l’tas !
- Ta gueule, Casta !
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[Gérard Collomb] Alors çaa c’est un comble ! Ton grand dadais avec sa limitation de vitesse à la con à 80 km/h qu’il a décidée tout seul dans son coin, il va foutre le feu à nos campagnes ! Moi, je ne vais pas assumer ses conneries ! Il n’écoute personne.
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G.CLEMENCEAU
-Les soupçons les plus odieux, les attaques quotidiennes, les insultes et les outages, voilà, de nos jours, la vie des hommes politiques à qui l'on fait l'honneur de les redouter. Je ne récrimine pas ; la vie politique n'est pas une prison, on peut en sortir le jour où le dégoût vous monte au cœur, jusque- là, il faut tout subir, s'attendre à tout : c'est notre loi.
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[Benjamin Griveaux] Non mais regardez-moi ces abrutis de journalistes !
[Christophe Castaner] Ils nous mangent dans la main ces blaireaux !
[Emmanuel Macron] Sibeth, Sylvain, vous avez vu ça ? Checkez ces vermines de journaux ! Marlène les rends dingues… On les éblouit avec notre « nouveau monde ». On leur en met plein les mirettes, ils ne savent plus où ils habitent !
- Oui Monsieur le Président, vous êtes le roi de le poudre de perlimpinpin !
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[Emmanuel Macron le 21 juin, en conseil des ministres] Je tiens à assurer que François Bayrou a décidé de quitter le gouvernement pour mieux se défendre devant la justice et je tiens à lui renouveler ma confiance. Je le remercie très sincèrement pour avoir servi loyalement. La vie politique est longue… Et parfois, elle peut être cruelle.
[Édouard Philippe] Oh oui, bien cruelle...
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Morand à l'heure des années folles

Nuit catalane : Dans un train au départ de Lausanne le narrateur fait la connaissance de Remedios Sirvent venue participer à un congrès politique. Compagne d'un anarchiste catalan "assassiné légalement" elle offre au narrateur, par sa présence dans le même compartiment, l'occasion d'un portrait aussi insolite que déroutant. Il retrouve Remedios une semaine plus tard, fortuitement, chez un ami à Paris et va la poursuivre ensuite jusqu'à Barcelone... "Mais ce que l'on goûtait en fin de compte chez cette révoltée, c'était la bienséance, l'honnêteté de sentiments, une hérédité catholique, mêlées à cette reconnaissance respectueuse de la bourgeoisie ESPAGNOLE envers l'homme, qui est un souvenir des Maures. Tous, autour d'elle, nous y étions sensibles, mais tous nous avions tendance à vouloir éprouver sa foi, épiant des défaillances, croyant à une escapade sentimentale vers l'anarchisme, plutôt qu'à une vocation." (p. 28/29) 🎶🎶🎶🎶

Dynamisme d’un cycliste, Umberto Boccioni
Hôtel-hôtel, Auguste Chabaud
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Bouleaux sur fond de ciel bleu, Maurice Denis,
Rhapsodie espagnole, Maurice Ravel
L'énigme de la fatalité, Giorgio de Chirico
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