Sophie van der Linden est critique spécialiste de la littérature jeunesse. À l'occasion des 20 ans des Éditions Sarbacane, elle revient sur le très grand succès de
Max Ducos, artiste phare du catalogue de la maison.
Retrouvez ici les ouvrages de
Max Ducos : https://urlz.fr/m6dj
- Tu prends ton élan et tu te jettes la tête la première dans le tableau !
- Et si ça ne marche pas ? Je vais abîmer le tableau, aller en prison et avoir une très mauvaise note !
Si j'écris aujourd'hui cette histoire, c'est pour ne jamais l'oublier. Si je ne veux pas oublier cette histoire, c'est parce que c'est la plus belle qui me soit jamais arrivée. Quand j'y repense, cela me paraît si lointain dans le temps et dans l'espace que je me demande si je ne l'ai pas rêvée. Aujourd'hui, pour la première fois de ma vie, écrire est une nécessité.
Si j'écris aujourd'hui cette histoire, c'est pour ne jamais l'oublier. (...) Aujourd'hui, pour la première fois de ma vie, écrire est une nécessité.
-Les sculptures ne parlent pas, ce ne sont que des objets !
expliqua la dame.
-Et vous les peintures, vous n'êtes pas des objets ?
-si, mais nous, nous sommes en couleur ! Et la couleur, c'est la vie !
mais J'adore les illustration car on voit "lr bleu de miroetb plein d'autre oeuvre que j'ai etudier en cour d'art plastique
Quand j’étais petite, je trouvais ma maison vraiment étrange. Elle ne ressemblait à aucune des maisons que je connaissais. Et quand je demandais à mon père pourquoi elle était si étrange, il me répondait qu’elle n’était pas étrange, qu’elle était moderne, ce qui était très différent. Il me disait également que chaque maison était unique et possédait son secret et que le jour où je découvrirais celui de ma maison, je me mettrais à l’aimer comme ma meilleure amie.
Il avait entendu parler d'un certain Picasso qui faisait des visages tout de travers, et il connaissait la Joconde, mais à part ça, l'art ne lui disait pas grand-chose. Oui, plus il y pensait, plus cette sortie l'ennuyait d'avance.
Arrivé en haut, je repris mon souffle en découvrant un vaste paysage de dunes qui zigzaguaient comme dans un désert, au bord de l'océan immense. [...] Derrière moi, la grande forêt des Landes de Gascogne se répandait à l'infini, on aurait dit une deuxième mer qui répondait à la première. Entre les deux, la grande dune se déployait comme une île gigantesque.
C'est vrai qu'à la plage, c'est toujours quand on s'amuse bien qu'on doit partir !
Le chien quitta le sentier et se mit à courir sur la grande paroi de sable. Je pris alors conscience que cette promenade m’emmènerait plus loin que prévu. Mais ce chien m’hypnotisait et pour rien au monde, je n’aurais fait demi-tour.