(…) il pointe le doigt en direction des nuages qui pèsent de tout leur poids d’un bord à l’autre de l’horizon, et qui laissent si peu d’espace entre la terre et le ciel que nous nous demandons si nous aurons encore la place d’avancer debout, s’il ne faudra pas ramper sur les coudes dans cette chienne de poussière que le vent touille comme un brouet de sorcier (…)