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3.8/5 (sur 78 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Athènes
Biographie :

Madeleine Reiss a travaillé pendant plusieurs années dans une agence artistique puis comme journaliste et publicitaire.

À cinquante ans, elle participe, sur l’insistance de sa mère, à un concours qu’elle remporte, et qui lui permet de publier son premier roman, "Someone To Watch Over Me" (2013).

Depuis, elle partage ses journées entre l’écriture et son travail au sein d’une association aidant les victimes de lésions cérébrales.

En 2018, elle publie "S'il fallait se dire adieu" ("Before We Say Goodbye").

Mère de deux fils et grand-mère, elle vit à Cambridge avec son mari.

page Facebook : https://www.facebook.com/Reisswrites/
Twitter : https://twitter.com/madeleinereiss

Source : http://www.milady.fr
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Citations et extraits (58) Voir plus Ajouter une citation
"_Dites-moi comment je dois survivre à ça...dit-elle.
_Patiemment, un jour après l'autre, répondit-il."
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"Avez-vous pensé à adopter un chien ? J'en ai un, moi : Archie. Il est vieux, mais c'est génial de l'avoir avec nous, parce qu'il nous aime d'un amour indéfectible, qu'importe la durée de notre dernière absence ou le fait qu'on vienne juste de le virer de notre chambre. Il semble n'être sur Terre que pour trois choses : mordiller le canapé, manger et nous aimer."
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"Je ne crois pas avoir jamais été véritablement amoureux. Qui sait ? Peut-être n'en suis-je simplement pas capable. Une zone du cerveau s'illumine quand on est amoureux : on l'appelle l'aire tegmentale ventrale. C'est le centre de perception du plaisir, et elle joue un rôle capital dans le système de récompense. Peut-être que je n'ai jamais trop exercé cette zone cérébrale-là, ou peu-être que je suis né sans. Quoi qu'il en soit, je suis prêt à donner une chance à l'amour."
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"N'était-ce pas tout l'intérêt de la jeunesse que d'embrasser l'infini ?"
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"Un jour viendrait où l'on finirait par cultiver les cœurs aussi facilement que des choux, mais cet avenir appartenait à une époque encore lointaine où le monde serait riche de bien d'autres merveilles inconcevables, vertigineuses, déchirantes aussi. En fin de compte, ce ne serait qu'une nuance du monde dans lequel il vivait aujourd'hui. Il se demanda si, le le jour où l'on cultiverait des cœurs en laboratoire, il y aurait encore des tigres, de la laîche et des baobabs."
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"_Profite de chaque instant, de chaque jour, avait l'habitude d'assener Scott, comme s'il avait le pouvoir de commander au temps qui passe.
_Le temps nous joue des tours, lui avait-elle répondu. Il rallonge les jours, mais raccourcit les ans.
Il avait fait "non" de le tête.
_Profite à fond des jours les plus longs, alors ! avait-il rétorqué comme une évidence."
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"Elle retrouverait la plage. La vie. Elle prendrait tout ce qu'elle avait à lui offrir, tout ce qu'il y avait à aimer aussi longtemps qu'elle le pourrait. Elle le ferait pour lui comme pour elle-même.
Mais son coeur n'en chavira pas moins devant ce monde si grand, si plein de possibles.
Mais, si vide de son fils."
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"[...] rien ne peut effacer un amour perdu. Il reste avec nous pour toujours."
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"Vous souffrez parce que vous l'aimiez, et je suis sûr qu'elle le savait. Et si elle savez, eh bien, c'est que vous avez fait pour elle tout ce qui était en votre pouvoir pour la sauver. Je ne crois pas que, pour l'instant, vous soyez prêt à rencontrer ma mère, mais j'espère qu'un jour vous croiserez la route d'une femme qui vous redonnera envie d'aimer. Vous avez déjà su aimer, et ce n'est pas quelque chose que l'on oublie."
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"Elle n'aurait pas dû être stupide au point de penser qu'un homme, n'importe quel homme, avait le pouvoir de vous servir de tremplin dans la vie. C'était à vous de vous lancer et de traverser les jours, les mois, les années. Les seules choses qui avaient de la valeur, c'était celles que vous construisiez vous-même."
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