Citations de Léna Jomahé (49)
Horoscope
Poisson : Votre âme-sœur ne se trouve pas au fond de la piscine.
Poisson : Votre âme-sœur ne se trouve pas au fond de la piscine.
— Tu penses vraiment qu’il y a matière à creuser ? Est-ce que tu n’as pas tellement envie de résoudre une enquête, ton enquête, celle qui te permettrait enfin d’avoir l’avancement que tu espères, que tu ne t’emballes pas un peu trop vite ?
De l’index, elle se tapota la pointe du nez.
— J’en suis persuadée, Alex, je le sens, dans mes tripes.
— Tu as tout de même conscience que c’est le nez que tu te touches là… les tripes c’est un peu plus bas.
De l’index, elle se tapota la pointe du nez.
— J’en suis persuadée, Alex, je le sens, dans mes tripes.
— Tu as tout de même conscience que c’est le nez que tu te touches là… les tripes c’est un peu plus bas.
- Allô?
- Erika?
- Non! Ici le Père Noël, malheureusement Erika est en train de danser toute nue sur les tables en se recouvrant de téquila, et bordel ce qu'elle est douée! Puis-je prendre un message?
- Erika?
- Non! Ici le Père Noël, malheureusement Erika est en train de danser toute nue sur les tables en se recouvrant de téquila, et bordel ce qu'elle est douée! Puis-je prendre un message?
En règle générale, au Pub, ceux qui obtenaient mon prénom s'accrochaient à moi comme des abeilles à un pot de miel. J'aurai pu vous parler des mouches, mais vu ce à quoi elles s'accrochent ça n'aurait pas été très flatteur pour ma petite personne!
- Très bien, comme tu veux! Je commence à vingt-et-une heures, passe me chercher vers vingt heures trente.
- Ce ne sera pas la peine, je reste ici!
- Comment ça tu restes ici? Ici... ici? Comme dans ici chez moi?
- Ce ne sera pas la peine, je reste ici!
- Comment ça tu restes ici? Ici... ici? Comme dans ici chez moi?
Je ne suis pas à l'aise face aux compliments de Manuel, je ne comprend pas ce qu'il attend de moi, ce qu'il espère me voir faire. Je ne suis rien. En tout cas rien de plus que tous les autres réunis dans cette grange. Nous avons la même envie : que les choses changent.
Horoscope
Vierge : Cela risque de ne pas durer.
Vierge : Cela risque de ne pas durer.
— Allo ?
— Erika ?
— Non ! Ici le Père Noël, malheureusement Erika est en train de danser toute nue sur les tables en se recouvrant de téquila. Puis-je prendre un message ?
Il reste silencieux un moment, son regard perdu dans le mien. Je me demande si un jour je m'habituerai à ce regard. J'ai toujours l'impression qu'il me transperce et qu'il lit au plus profond de moi. Enfin, il se penche sur moi, capture mes lèvres passionnément, presque de façon désespérée, comme si c'était la dernière fois. Je lui rends son baiser et il me fait glisser sur ses genoux, sans décoller ses lèvres. Je me moque de me donner en spectacle, j'ai conscience que nous avons tous les deux besoin de ce moment, peut-être pour conjurer le sort ou pour nous prouver une ultime fois à quel point nous tenons l'un à l'autre. Je sens des larmes se mêler à notre baiser. Je ne saurais dire qi elle viennent de lui ou de moi.
Si tu dis aux gens qu'ils ne peuvent pas se déplacer n'importe où, sous peine de mourir dans d'affreuses souffrances, tu as plus de chances de garder la mainmise sur la population.
Les bons souvenirs rapprochent, je constate que les pires aussi.
Une population est beaucoup plus docile quand elle a peur.
Scandale
Une machine à laver avoue comment elle fait disparaître les chaussettes.
Une machine à laver avoue comment elle fait disparaître les chaussettes.
''_Addy, comment peux-tu parler ainsi à père ? s'offusqua Elise. Comment peux-tu prendre la défense d'un criminel ? Il mérite de mourir, et je tiens quand même à dire que sa mort aurait pu être plus terrible que celle qui l'attend.
_Je me souviens pas t'avoir demandé ton avis. Je ne suis pas surprise de ta réaction, cependant. Ne pas chercher à comprendre, ne pas regarder au-delà des apparences, ne pas vouloir entendre que le monde dans lequel nous vivons est injuste. J'aurais grandement préféré venir au monde dans une maison, voire grandir dans un secteur extérieur ; aujourd'hui, je ne serais pas écoeurée par ma propre famille. ''
_Je me souviens pas t'avoir demandé ton avis. Je ne suis pas surprise de ta réaction, cependant. Ne pas chercher à comprendre, ne pas regarder au-delà des apparences, ne pas vouloir entendre que le monde dans lequel nous vivons est injuste. J'aurais grandement préféré venir au monde dans une maison, voire grandir dans un secteur extérieur ; aujourd'hui, je ne serais pas écoeurée par ma propre famille. ''
''Chaque pas qui les rapprochait de la porte lui semblait un peu plus difficile. Il laissait sa vie derrière lui, pour aller au-devant de sa mort. ''
''Salie l'étreignit très fort et lui planta un baiser baveux sur la joue. Arthur le regarda droit dans les yeux, les lèvres tremblantes.
_Tu vas revenir, hein ? souffla-t-il.
Julian lui ébouriffa les cheveux en souriant.
_Bien entendu, petite tête. Pourquoi voudrais-je que je ne revienne pas.
_Parce que parfois, on fait des choses qui ne nous le permettent pas''
_Tu vas revenir, hein ? souffla-t-il.
Julian lui ébouriffa les cheveux en souriant.
_Bien entendu, petite tête. Pourquoi voudrais-je que je ne revienne pas.
_Parce que parfois, on fait des choses qui ne nous le permettent pas''
''Une raison qui lui permettrait de vivre avec cette opération. Cette raison était toute trouvée : elle aurait la vie sauve, mais en échange, elle se battrait pour les autres. Pour qu'ils aient une vie meilleure. Pour qu'enfin tout le monde ait les mêmes droits et vive de manière équitable. ''
''La cave et le Grenier saignent pour alimenter le Coeur.''
Julian
Julian
- Je m'inquiète tout de même pour toi […] s'il t'arrive quelque chose alors que vous êtes à Seattle il n'y aura personne pour t'aider.
Je haussai les épaules.
- Je serai à Seattle ma grande, il me suffira de hurler aux pompiers : Messieurs, en route pour le Grey-Sloan Mémorial Hospital ! Et je me ferai bichonner par Jackson Avery.
Je haussai les épaules.
- Je serai à Seattle ma grande, il me suffira de hurler aux pompiers : Messieurs, en route pour le Grey-Sloan Mémorial Hospital ! Et je me ferai bichonner par Jackson Avery.
Tu as déjà essayer de te mettre à l'avant d'un bateau et d'ouvrir grand les bras en direction du ciel ?
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Normandie : 1870
"Pendant plusieurs jours de suite des lambeaux d’armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n’était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d’une allure molle, sans drapeau, sans régiment. […] Les Prussiens allaient entrer dans Rouen, disait-on." [...] Il y avait cependant quelque chose dans l'air, quelque chose de subtil et d'inconnu, une atmosphère étrangère intolérable, comme une odeur répandue, l'odeur de l'invasion. Elle emplissait les demeures et les places publiques, changeait le goût des aliments, donnait l'impression d'être en voyage, très loin, chez des tribus barbares et dangereuses." La débandade de l'armée française, l'occupation prussienne en Normandie, le cortège des horreurs de la guerre de 1870 servent de motif à de nombreux contes et nouvelles de Maupassant où sa férocité s'exerce avec maestria dans la plus connue et réussie de toutes dont le titre est le sobriquet de l'héroïne principale : "Boule de Suif". Mais quel est l'état-civil de Boule de suif dans le récit ? 👩🦰👩🦰👩🦰
Jeanne Vallin
Élisabeth Rousset
Charlotte Tuvache
10 questions
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Thèmes :
guerre
, Guerre franco-allemande (1870-1871)
, littérature
, nouvelles réalistes
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