Léa Volène

Lecture #32



J'ai lu "Dans mon sang, la grenade" de @lea_volene paru chez @instants_suspendus_larchipel



*****

Maëlle et Noémie sont amies depuis l’enfance. Lorsque Noémie et Ben déménage en province, Noémie se lie d’amitié avec Ania, sa voisine, et ensemble elles forment un trio soudé.



Lorsqu’un couple aisé, Pélaguie et Pierre, emménage dans la maison proche de celle de Noémie et Ania, elles vont se lier d’amitié avec Pélaguie.



Chacune d’elle tente d’avancer dans la vie malgré les turbulences qui les traversent.



Maëlle est une femme indépendante qui refuse un quelconque engagement et qui s’est surtout donnée pour mission de protéger Noémie.



Noémie enceinte de son premier enfant semble perdre pied, elle s’enfonce dans une dépression de plus en plus forte à mesure que sa grossesse avance.



Ania, tout juste divorcée, va devoir faire face à une épreuve qui pourrait ruiner sa vie.



Pélaguie tente par tous les moyens de retenir l’attention de son mari. Follement amoureuse, elle refuse de le voir s’éloigner d’elle.



Elles sont toutes différentes et pourtant, elles ont toutes un lien avec Pierre. Quand un accident se produit, la grenade qui boue dans leur sang explose.



*****

Ce roman c’est celui de la colère. Celui qui lève le voile sur la colère des femmes qui se sentent en insécurité face aux regards des hommes, des femmes qui se sentent coupable de ce qu’elles provoquent chez les hommes, des femmes qui se sentent coupable de porter une responsabilité qui n’est pas la leur.



Le consentement est au cœur de cette histoire. Et chacune de ces femmes va se battre pour vivre une vie qu’elle a choisi. Une vie qui ne sera imposer ni par les codes de la société ni par le regard que les hommes pourraient poser sur elle.



J’ai aimé rencontrer ces quatre femmes et assister à leur combat pour surmonter les épreuves que la vie a mise sur leur route.



Un roman engagé pour le consentement des femmes, un non restera un non. Eduquons nos filles et nos garçons vers le respect de soi et d’autrui.



Merci #leavolene pour ce très beau roman, émouvant et intense, qui nous touche en plein cœur.


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Voilà un roman que j'attendais avec grande impatience. Quel bonheur de retrouver le talent de Léa Volène.

Cette grenade est tout simplement une petite 💣💫



Sans même lire le résumé j'ai plongé dans cette histoire !!



Rue des Écoles, il y a Noémie, Ania, Pélagie.

Et aussi Maëlle.

Quatre femmes mais une histoire d'amitié.

Un homme en commun.

Et ... une grenade prête à exposer



Des thèmes forts, parfaitement traités.

Un rythme maîtrisé qui monte crescendo. Les pages défilent et il est difficile de s'arrêter.

Une plume fluide, délicate.



Sororité. Amour. Amitié. 3 mots qui correspondent bien à ce roman.

Profondeur. Sincérité. Sensibilité. Justesse.

La force des mots.



La grenade c'est un roman fort.

La grenade c'est une lecture qui prend aux tripes.

La grenade est addictive .

La grenade est un coup de cœur.



Avec ce nouveau roman Léa Volène montre encore une fois tout son talent de conteuse.

Un roman encore meilleur que le précédent.

Le talent de Léa a bien grandit depuis les cœurs cousus .

💖💖💖



Bravo et merci Léa pour cette lecture intense

Un grand merci à @instants_suspendus_larchipel

Pour l'envoi du roman



Foncez le lire voilà la conclusion

Dans ce roman ce n'est pas Linette, Susanne, Gabrielle et Bree que nous allons suivre mais Maelle, Noemie, Ania et Pelaguie, liées par une amitié qui va naître et grandir sous nos yeux.



La femme, la mère, l'amie et l'épouse que je suis à été touché par ce roman, qui peut faire facilement écho en chacune de nous.



Je me suis attaché à chacune d'entre elles. J'ai aimé apprendre à les connaîtres entre leurs forces et leurs faiblesses. J'ai clairement eut le sentiment de faire partie de leurs groupe d'amie.



Un roman choral, qui traite de sujets de société actuels graves.



La plume de Léa Volene est douce et bienveillante. Les chapitres sont courts, le schéma narratif alternatif entraînant une lecture fluide et rythmé.



Je n'ai pas ete surprise par ce roman car le fil rouge est prévisible, mais ce sont les messages qui en découlent qu'il faut retenir

Je viens de terminer ma lecture et je reste marquée par les 4 femmes avec qui j’ai partagé plusieurs heures de lecture.



Maëlle, Noémie, Ania et Pélaguie, sont 4 femmes comme nous en connaissons toutes, comme nous en sommes toutes.

Elles ont envie de vivre de profiter, mais elles sont aussi confrontées à leurs peurs, leurs secrets, leurs envies.

4 femmes aux profils différents mais aux coeurs similaires. Un coeur énorme, souvent incompris, trop souvent blessé !

Noémie qui attend son premier enfant, serait au comble du bonheur si des cauchemars ne venaient lui empoisonner la vie !

Maëlle, meilleure amie de Noémie qui met tout en œuvre pour la protéger, s’en oubliant elle-même.

Ania, voisine de Noémie, femme divorcée qui a du mal à reprendre sa vie en main et qui doit faire face à un procès qui l’inquiète.

Pélaguie, autre voisine de Noémie, dont l’objectif est de toujours paraître dans la perfection, maison parfaite, famille parfaite, enfants parfaits, épouse exemplaire et mari envié …



Ces 4 femmes vont se rencontrer, et contre toute attente devenir amies. Mais, le loup est là, embusqué dans le passé et dans le présent. Et lorsqu’elles s’y confronteront, le risque est grand que la grenade une fois dégoupillée fasse de gros dégâts.



C’est un roman choral fort et touchant.

Un roman de femmes, un roman sur la sororité. Une histoire qui parlera à toutes les femmes mais dont il serait bon qu’il parle aussi à certains hommes !



L’écriture de Léa Volène est comme dans son précédent roman (#motusetcoeurscousus) fluide, délicate et prenante. Le ton est juste et les personnages attachants. Les sujets abordés le sont avec délicatesse et justesse.



Bref, un très bon moment de lecture.

Noémie est enceinte, elle vient de l'apprendre et décide de commencer un journal pour raconter au pépin de grenade qui grandit dans son ventre sa grossesse. Maëlle, sa meilleure amie, veille sans cesse sur Noémie. Elle rêve de devenir journaliste d'investigation et surtout ne se voit pas du tout dépendre d'un homme. Il y a aussi Ania et Pelaguie. Cette dernière est mariée à Pierre Gavoi. Un point commun relie ces femmes mais lequel ?

Un roman comme je les aime qui a su me capter tout de suite.

J'ai aimé la plume fluide et rythmé. Le titre a attiré mon œil car j'aime beaucoup la chanson de Clara Luciani.

Toutes ses femmes sont fortes, elles font de leur mieux pour vivre leur féminité malgré les injonctions de la société et leurs expériences négatives avec les hommes.

Plusieurs thèmes sont abordés avec succès comme l'amnésie traumatique, l'adultère et le divorce.

Je met néanmoins un petit bémol sur la scène finale, je l'aurais voulu plus...violente, j'aurais voulu plus de conséquences pour Pierre. Sur cet aspect je reste sur ma faim.

C'est un livre qui met aussi en avant l'amitié entre femmes, dans sa complexité et sa beauté.

Bref, je recommande !

Merci à NetGalley de m’avoir permis de lire ce livre tant attendu avant sa sortie 😄 Notez bien, il sort le 22 février 🥳 Encore une belle histoire de sonorité écrite par cette autrice que j’aime beaucoup. Une histoire de femme dans un quartier, un peu à la Desperate Housewives

, une histoire d’amitié et de sonorité. Noémie est enceinte, et un traumatisme refait surface ; ses amies vont l’aider à surmonter ça. Les thèmes abordés dans ce roman sont tellement d'actualité. Comment être une femme quand la société n’évolue pas assez vite, comment affronter les diktats du patriarcat tellement ancré dans notre société. J’ai beaucoup apprécié ma lecture ; je l’ai d’ailleurs dévorée en très peu de temps. Les chapitres courts et la petite énigme en font un page-turner efficace. Juste une question 🙋, Pelaguie, c’est un vrai prénom ? Alors foncez le 22 février, vous ne serez pas déçu. Notez bien la date 📅, et n’oubliez pas d'éduquer nos filles. Mais éduquons aussi nos fils. Les femmes du 21e siècle ne devraient plus subir les attaques d’un monde misogyne.

Un roman magnifiquement émouvant et touchant.

Une histoire pas banale, avec des sujets lourds et pourtant si délicatement dépeints.

Nous suivons quatre amies, chacune a un instant cruciale de sa vie. Le tout parfaitement entremêlé.

La symphonie qui s’échappe de ce texte pourrait s’apparenter à une tendre mélodie, ponctuée de rythmes plus saccadés, plus puissants, parfois déchirants. Car oui, cette histoire, c’est toute cette symphonie qui résonne, fort. J’ai été très émue par ces femmes, par leur réflexion, leur force et leur faiblesse. Chacune avec sa propre personnalité, impeccablement décrite par l’autrice, nous permettant de ressentir vivement chaque instant qu’elles vivent.

Au fil des pages, le puzzle du départ se met en place, la dernière pièce révélant toute sa vérité.

Celle de la réalité, pas celle des apparences.

Des chapitres courts, imposants un rythme effréné, bienvenue, porté par la voix de femmes courageuses, différentes et pourtant complémentaires.

J’ai aimé chaque moment, chaque petit bonheur, chaque douleur, chaque vérité, chaque complicité, chaque instant qui font de ce roman une pépite, délicate et précieuse.

J’ai aimé le ton, le lieu, l’ambiance, les nuances et ces pointes d’humour qui parsèment le texte d’une certaine légèreté et qui m’ont fait bien sourire au milieu d’instants plus émouvants.

J’ai aimé le journal de Noémie qui s’intercale entre les chapitres et saupoudre le livre d’une aura poignante.

J’ai aimé le sujet du roman. Original. Traité avec des mots justes, vrais.

Et cette grenade fil rouge…

La plume de l’autrice est fluide, teintée de cette émotion évidente et d’une justesse incroyable, avec toujours cet humour ravageur, parfait.

En bref, très beau coup de cœur qui a réussi à toucher mon âme en plein cœur, m’a fait pleurer et sourire, m’a embarqué avec lui dans cette rue des Écoles sans école. Les apparences, la réalité, les traumatismes, l’amitié. L’amour. Et ce titre qui prend tout son sens.

À lire absolument !

L’anniversaire de Pierre Gavoi se déroulait bien à priori , jusqu’a ce qu’il soit percuté par une voiture.

Les seuls témoins sont sa femme Pelagui , et ses voisins Ben Noemie et Ania.

Accident ou non ??

Retour en arrière pour comprendre tout cela, la famille Gavoi s’est installé depuis peu dans la plus grande maison de cette rue pavillonnaire calme à la campagne.



Noémie, mariée à Ben est prof de musique et est enceinte de quelques semaines. Elle qui rêvait de cette grossesse ne comprend pas les cauchemars les ressentis qui lui tombent soudainement dessus.

Elle peut néanmoins compter sur Maëlle sa meilleure amie surprotectrice et sur Ania, sa nouvelle amie.

Elles feront la connaissance de Pelagui , la femme de Pierre leur nouveau voisin et se lieront d’amitié avec elle.



Mais Noémie va comprendre le pourquoi de son mal être et Pierre pourrait bien être de denomiteur de tout cela.



La grenade qui menace d’exploser en chacun finira-t-elle par dégoupiller ?

J'ai eu la chance de découvrir cette histoire en avant-première grâce à Netgalley et aux éditions de l'Archipel que je remercie vivement.



Ce roman fait partie de ceux, dont on ne sait pas par où commencer tant il y a à dire.



L'histoire commence par quatre amies réunies sur les lieux d'un accident. Pierre, grand avocat renommé a été renversé par une voiture. Que s'est-il passé ?



Noémie est enceinte de son premier enfant, mais loin de profiter de sa grossesse, quelque chose l'angoisse, sans qu'elle n'arrive à se l'expliquer vraiment. Maëlle, sa Morue, sa meilleure amie s'inquiète pour elle tout en continuant de vivre sa vie, libre, sans attache. Ania, mère de jumeaux et fraîchement divorcée est-elle aussi épanouie qu'elle en a l'air ? Et Pélaguie alors, vit-elle vraiment une vie aussi parfaite dans sa maison parfaite ?



Dans une rue où chacune semble garder son petit jardin secret, comment ces quatre femmes sont-elles devenues amies ? Le sont-elles réellement d'ailleurs ?



Si cette histoire m'a grandement rappelé Petits secrets, grands mensonges de Liane Moriarty (ou la série Big Little Lies), avec un soupçon de Desperate Housewives, il faut tout de même avouer que les réflexions auxquelles nous invite Léa Volene sont particulièrement prenantes, et très actuelles : consentement, vie de couple, charge mentale, droit à la maternité (ou non), éducation...



Les chapitres alternent les points de vue de ces quatre femmes aux personnalités hautes en couleurs. J'aurai beaucoup de mal à dire laquelle de ces héroïnes a ma préférence. Je me suis clairement identifiée tour à tour à chacune d'elle.



J'ai trouvé beaucoup de justesse dans les propos tenus, et je garderai cette phrase comme conclusion ultime : éduquons nos filles, éduquons aussi nos fils.



Merci beaucoup pour cette jolie lecture.

Mon empressement à découvrir et lire le petit dernier de Léa Volene était tel qu'il m'a fallu peu de temps entre son achat et son début de lecture, et c'est un gros coup de 🩷



Dans ce nouvel opus des sujets importants sont traités, maternité, consentement, solidarité féminine et bien d'autres.

Des messages forts qui rythment les chapitres et font défiler les pages sans que l'on s'en aperçoive.



Un très beau roman que Léa nous signe ici et dans lequel j'ai retrouvé sa plume bienveillante et pleine de l'amour qu'elle met dans chacun de ses personnages dans lesquels on se retrouve facilement tant leur caractère où leur vécu fait écho en nous.



Un inconditionnel à glisser dans sa bibliothèque et que je ne cesse de conseiller autour de moi. Depuis que j'ai découvert les écrits de l'autrice, je peux affirmer haut et fort que c'est l'une de mes valeurs sûres.



À votre tour de le découvrir si ce n'est pas encore fait.

Merci à @netgalleyfrance et @editionsdelarchipel

pour le service presse.

#NetGalleyFrance

#Dansmonsanglagrenade



La force de l'amitié



Ce roman aurait pu n'être que l'histoire d'amitié entre quatres femmes. Il va bien plus loin pour notre plus grand plaisir.

Noémie et Maëlle ont un lien extrêmement fort depuis leur enfance. Une sororité puissante et indéfectible. Maëlle sexsent en devoir de protéger Noémie. Au départ on ne comprend pas trop pourquoi mais au fil du récit, les choses s'éclaircissent.

Ania est une voisine qui s'intègre à ce duo grâce à sa gentillesse et sa force. Une femme incroyable face à des épreuves difficiles.

Pélaguie est la nouvelle, installée dans la plus belle maison de la rue. Pour elle l'importance est l'apparence. Jusqu'à ce que le masque se fissure.



Le sujet profond et grave traité dans ce roman est le consentement. Des témoignages sur la difficulté d'être femme, d'être victime, et pourtant de se sentir coupable. Les mécanismes que notre esprit peut mettre en place pour se protéger, la justice qui peut mettre en difficulté. Tout est amené avec justesse et sans pathos.



J'ai vraiment beaucoup aimé ce roman. Je me suis attachée aux quatres femmes, leurs caractères si différents, leur générosité et leur bienveillance.



C'est avec plaisir que je découvrirai les autres romans de l'autrice.

Dans mon sang, la grenade de @lea_volene aux éditions @editionsdelarchipel

Tout commence par un accident. En pleine fête d’anniversaire, Pierre Gavoi est percuté par une voiture. Les seuls témoins sont sa femme, Pelaguie, et trois de ses amies.

Cinq mois plus tôt, Noémie, Maëlle et Ania construisent leur vie, en se débattant dans un quotidien aux multiples injonctions. Dans la rue des Écoles, il y a ce qu’elles montrent et ce qu’elles camouflent. Jusqu’au jour où un nouveau couple emménage dans la plus grande maison de la rue : Pelaguie et Pierre Gavoi.

Alors que les liens d’amitié se développent entre les quatre femmes, Pierre semble être l’homme qui perturbe leur équilibre. Un lien invisible unirait-il chacune d’elles à cet homme ? Et s’il était la goupille qui fera exploser leur grenade ?

C’est difficile d’expliquer plus le livre sans en dévoiler trop, ainsi je m’arrête ici. Au fil de ma lecture, j’avais oublié ce premier chapitre qui parlait d’accident et je me suis beaucoup demandé où allait-on dans ce livre. Alors je me suis laissé porté par le quotidien de ces 4 femmes qui font tout pour réussir leur vie professionnelle, leur vie familiale et leur vie amicale.

J’ai beaucoup aimé la plume de Léa Volène qui nous porte complétement. On s’attache aux personnages, et on veut comprendre où elle veut nous emmener.

Un livre que je conseille totalement qui aborde des sujets totalement d’actualités avec justesse et finesse.
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Coup de coeur pour ce roman tellement important.

Une ambiance à la Wisteria Lane, des voisins qui cachent des sectets, des femmes en apparence fortes, des histoires anciennes qui resurgissent au grand jour.

Dans cette rue de l'école il y a Noémie qui attend son 1er enfant et qui semble avoir tout pour être heureuse.

Il y a Ania, la jolie divorcé qui semble profiter de sa vie.

Il y a Pélaguie, la mère parfaite à la plus grande maison, qui m'a beaucoup fait penser à Bree Vandecamp (de Desperate Housewifes).

Et puis il y a Maëlle, l'amie fidèle qui n'habite pas dans la rue mais vient souvent rejoindre son amie Noémie.

Ce roman c'est aussi un roman qui parle d'amitié, une amitié importante qui protège et sauve

Ce roman nous parle de cette colère cachée que ressentent toutes les femmes, ce cri profond qui nous anime comme une grenade prête à explorer.

Un roman choral qui nous incite à ne pas se limiter aux apparences, il faut se méfier de la femme épanouie, de la mère parfaite, de la divorcée comblée, de l'amie dévouée.

Derrière chaque sourire se cache parfois une bombe prête à réagir.

Ce roman important parlera à toutes les femmes, à toutes les mères.

C'est une histoire à mettre entre les mains de tous, d'utilité publique parce que pour protéger nos filles il faut avant tout éduquer nos garçons

Je suis un peu sceptique en refermant ce livre. J'avais peut-être trop d'attentes. La couverture était attrayante et le résumé prometteur. J'ai lu quelques critiques positives avant de l'acheter, mais ma lecture ne m'a pas convaincue.



Je dirais que c'est un peu comme un feuilleton télévisé que l'on regarde par un après-midi pluvieux. Un genre de "Desperate Housewives" version française.



Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, que j'ai trouvés très stéréotypés. L'histoire est cohérente, mais j'ai l'impression que les problèmes principaux n'ont pas été suffisamment explorés. J'ai trouvé ce roman lent et peu captivant.



Je salue l'auteure pour les thèmes abordés, qui me semblent importants. Ce roman, qui alterne les chapitres en suivant la voix de quatre femmes, aurait pu être très intéressant, mais je n'ai pas été convaincue. Pourtant, il coche beaucoup de cases en termes de sujets que je défends et que j'aime (féminisme, bonjour !).

Noémie, Maëlle, Ania et Pélaguie sont 4 femmes totalement opposées. Elles sont voisines et habitent la même rue. Elles vont devenir en quelques mois amies et un lien fort va les unir.



A la suite d’un accident, trois d’entre elles vont être témoins de celui-ci.



Une maison dans le quartier attire tous les regards depuis que Pélaguie et Pierre viennent d’y emménager avec leurs filles. Celle-ci est la plus grande et la plus convoitée de la rue des Ecoles.



A la suite de leur arrivée,de nombreux chamboulements et remises en question vont intervenir dans la vie de certains riverains…



Dés les 1ers chapitres, l’autrice nous présente les 4 protagonistes de l’histoire. On suit chacune à des moments clefs de leur vie. Chaque chapitre est dédié à chacune.

Au fil de la lecture, chacune se dévoile et dépeint son passé. Elles sont telles des vases communicants qui s’apportent à chacune ce qu’il manque à l’autre.



Au départ, je ressentais peu d’attachement vis à vis de Pélaguie, de part son côté tout en apparence et en superficialité, au fil des chapitres, elle se révèle et surtout elle se dévoile aux autres et s’autorise à être elle-même.



La chanson de Clara Luciani évoquée et présente en filigrane tout au long du livre, a tout son sens et apporte une certaine force aux personnages. Les colères refoulées, les non-dits, l’amitié sont les principaux sujets abordés dans le récit.

L’autrice les amène avec subtilité et sans pathos.



De plus, une certaine forme de sororité transparaît dans les rapports entre Noémie, Maëlle,Aina et Pélaguie.



En bref, ce roman contemporain ravivera tout lecteur souhaitant découvrir des femmes fortes et attachantes à la fois et une intrigue rondement menée.

Ces 4 femmes ne vous laisseront pas indifférentes..



Un coup de cœur!



Merci @netgalleyfrance et @editionsdelarchipel de m’avoir permise de lire ce roman en avant-première.

Après "Motus et cœurs cousus", Léa Volène nous propose un thriller domestique avec en fond musical la mélodie entêtante de Clara Luciani "La Grenade"... prête à être dégoupillée !



Si vous aimez les romans de Liane Moriarty tels que "Petits secrets, Grands mensonges" vous allez adorer !



Tout commence par un "accident". En pleine fête d’anniversaire, Pierre Gavoi est percuté par une voiture. Les seuls témoins sont sa femme, Pelaguie, et trois de ses amies.



Cinq mois plus tôt, Noémie, Maëlle et Ania construisent leur vie, en se débattant dans un quotidien aux multiples injonctions. Dans la rue des Écoles, il y a ce qu’elles montrent et ce qu’elles camouflent. Jusqu’au jour où un nouveau couple emménage dans la plus grande maison de la rue : Pelaguie et Pierre Gavoi.



Alors que les liens d’amitié se développent entre les quatre femmes, Pierre semble être l’homme qui perturbe leur équilibre. Un lien invisible unirait-il chacune d’elles à cet homme ? Et s’il était la goupille qui fera exploser leur grenade ?



Je remercie @EditionsdelArchipel et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir ce roman au message fort.



La structure narrative de ce roman choral à quatre voix féminines (Noémie, Maëlle, Ania et Pélaguie) alterne entre passé et présent, ce qui permet de ménager le suspense de manière efficace jusqu'au dénouement inattendu. Les chapitres courts donnent du rythme à ce roman émouvant qui se lit d'une traite.



J'ai bien aimé la contraste entre le sérieux des thèmes abordés (tels que le viol, le consentement et l'amnésie post-traumatique) et la légèreté du ton adopté, ce qui rend la lecture très agréable. La pointe d'humour permet de dédramatiser et d'alléger un peu l'atmosphère assez pesante. Le style fluide et la plume addictive de l'autrice rendent ce roman à la fois divertissant et instructif.



Les quatre personnages féminins se complètent parfaitement par leur différence d'âge, de catégorie socio-professionnelle et de statut : elles sont soit célibataire endurcie comme Maëlle, soit divorcée comme Ania, soit mariée comme Noémie ou Pélaguie.



Le portrait de Noémie est le plus touchant à cause de sa psychologie tourmentée qui refoule le trauma qu'elle a vécu et que l'on découvre peu à peu au fil des pages. Le titre prend alors tout son sens et le message en est d'autant plus poignant.

J’ai bondi sur le nouveau roman Léa Volène dès sa sortie, attirée par la couverture pétillante et le titre prometteur (en tant que grande fan de Clara Luciani, comment passer à côté ?) !

Verdict : J’ai adoré. Ce roman est un cocon, mené par des femmes attachantes aux allures de Desperate Housewives, évoluant dans un quartier qui n’est pas sans rappeler Wisteria Lane - avec tous ses petits secrets de voisinage : C’est une atmosphère que j’adore retrouver. Cela n’enlève rien à la complexité des personnages et à la profondeur des thèmes abordés. Un roman plein d’émotions et addictif, dont on ne ressort pas indifférent ! La plume de Léa Volène est juste et délicate, tout en étant très drôle. Un petit coup de cœur pour ce roman génial… Les héroïnes me manquent déjà !

La chanson « La Grenade » de Clara Luciani ponctue l'histoire de quatre femmes, Noémie, Maëlle, Ania et Pélaguie. Elles habitent toutes le même quartier et sont les seuls témoins de l'accident de Pierre, mari de Pélaguie, percuté de plein fouet par une voiture. Accident ? Un bond en arrière de cinq mois va nous laisser découvrir le lien qui les unit.

« Hé toi

Qu'est-ce que tu regardes?

T'as jamais vu une femme qui se bat

Suis-moi

Dans la ville blafarde

Et je te montrerai

Comme je mords, comme j'aboie



Prends garde, sous mon sein la grenade

Sous mon sein là regarde

Sous mon sein la grenade

Prends garde, sous mon sein la grenade

Sous mon sein là regarde

Sous mon sein la grenade



Hé toi

Mais qu'est-ce que tu crois?

Je ne suis qu'un animal

Déguisé en madone

Hé toi

Je pourrais te faire mal

Je pourrais te blesser, oui

Dans la nuit qui frissonne



Prends garde, sous mon sein la grenade

Sous mon sein là regarde

Sous mon sein la grenade

Prends garde, sous mon sein la grenade

Sous mon sein là regarde

Sous mon sein la grenade



Hé toi

Qu'est-ce que tu t'imagines?

Je suis aussi vorace

Aussi vivante que toi

Sais-tu

Que là sous ma poitrine

Une rage sommeille

Que tu ne soupçonnes pas?



Prends garde, sous mon sein la grenade

Sous mon sein là regarde

Sous mon sein la grenade

Prends garde, sous mon sein la grenade

Sous mon sein là regarde

Sous mon sein la grenade

Prends garde »



« En écrivant cette chanson, je voulais exprimer que derrière le fantasme rassurant de la femme-madone, que derrière la rondeur, la douceur du sein qui est le symbole suprême de la féminité et de la fécondité, pouvaient se cacher une rage de vivre, une force et une violence égales ou supérieures à celles des hommes. Il faudrait penser à abolir cette vision de la femme que beaucoup ont encore aujourd'hui : non, nous ne se sommes pas de pauvres petites poupées vulnérables et muettes » . (https://m.greatsong.net/paroles-la-grenade-clara-luciani)



Sans trop en dévoiler, je vous laisse découvrir cette plume légère et authentique qui nous délivre une belle histoire d'amitié sur fond de machisme, de diktats de la société à l'égard des femmes et du consentement.



« Éduquons nos filles. Éduquons aussi nos fils ».



#Dansmonsanglagrenade #NetGalleyFrance

J'avais adoré Motus et cœurs cousus de l'autrice, alors forcément je voulais découvrir son nouveau bébé !



On suit 4 femmes dans leur quotidien :

• Noémie, qui vient d'apprendre qu'elle est enceinte. Elle ne vit pas sa grossesse comme elle le pensait.

• Maëlle, femme carriériste comme on le dit et une amie fidèle à Noémie. Elle met ses relations amoureuses entre parenthèse et puis le mariage, les enfants et le petit chien...très peu pour elle.

• Ania, nouvellement divorcée, tente de garder la tête hors de l'eau avec ses enfants. Elle renoue peu à peu avec sa féminité après avoir priorisée ses enfants et son mari.

• Pélaguie, qui a une famille parfaite...ou qui fait tout pour l'avoir. L'apparence est plus important que tout pour elle.

Ces femmes se dépatouillent comme elles peuvent dans leur quotidien et sont plus liées que ce qu'elles pensent...



Au début je ne voyais pas où nous amenait Léa Volène... puis tout se dessine petit à petit.

Puis j'ai compris. Cette histoire porte un message très fort sur la pression et sur la culpabilité que la société peut mettre sur les épaules des femmes.

L'autrice a su manier sa plume avec beaucoup de délicatesse pour dénoncer les diktats de la société sans pour autant être dans l'accusation. Les mots m'ont énormément touché dans cette histoire.



J'avais découvert Léa Volène avec Motus et Cœurs cousus qua j'avais adoré... Dans mon sang, la grenade le confirme : j'adore cette autrice !



Cette lecture est un coup de ❤. La tendresse du récit, les moments de vie de ces femmes (ensemble ou séparément)... tout est fait pour qu'on s'attache à nos héroïnes qui sont chacune à une étape charnière de leurs vies.

LISEZ CETTE PÉPITE !

Encore un très beau roman que nous offre ici Léa Volène. Elle devient incontestablement une valeur sûre de ma bibliothèque, que je pourrais conseiller les yeux fermés !



Comme pour ses précédents romans j'ai aimé la bienveillance de sa plume et l'amour qu'elle porte à ses personnages. On se retrouve forcément dans le caractère ou le vécu d'un de ses protagonistes et ses histoires peuvent facilement faire échos en nous...



Dans mon sang la grenade est un roman puissant, qui traite de sujets sociétaux importants comme le consentement, le regard des autres, la maternité, l'amitié, la famille, ... des sujets qui parlent à chacun et qu'un mérite d'être mis en lumière.



Même si le file rouge est assez prévisible, celui-ci n'est au final qu'un prétexte pour partager avec ses lecteurs des messages fort. Les chapitres courts donnent le rythme et font défiler les pages sans complexe. On ne s'ennuie pas, car le choix est fait d'alterner les points de vue et donc de croiser les histoires entre elles.



Un roman où sororité et féminité sont les maîtres mots... à partager autour de nous !
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