Elle ne parle pas, mais sa grâce parle pour elle. Souvent je me surprends à rêver de ses courbes aux formes généreuses, à entreprendre un voyage imaginaire le long de ses hanches souples et fières, sur la couronne ronde et charnue de sa poitrine maternelle, jusqu’au royaume mystérieux et ombré de sa croupe où doit couler l’eau d’éternelle vigueur !
« La maison de l’araignée »