Kusanagi Mizuho

Jae-Ha: Toi, tu es une fille.
Fille: Co... comment avez-vous deviné?
Jae-Ha: A l'odeur su je peux me permettre.
Fille: Oh non, un pervers!
Yona: Je vois... alors c'est ça, un pervers.

Yeon : Ce type t'est sacrément dévoué. C'est qui ? Ton amoureux ?
Yona : Non, pas du tout.
Yeon : Ah bon... Le pauvre.

Soo-Won: Moi, je les aime bien... tes cheveux. C'est un beau roux. Ils ont la couleur de l'aube.

Dans le mythe fondateur du pays de Kôka, il est question d'une coupe des dieux dragons qui aurait recueilli le sang des quatre dragons.
Les quatre dragons, bleu, vert, jaune et blanc, avaient pour mission de défendre le roi Hiryû... Ils ont transmis leurs pouvoirs à quatre guerriers humains en leur donnant leur sang.
Cette coupe illustre cette légende.
Non, mieux que ça. Il s'agit de la coupe originelle.

Yona : Si c'est pour te protéger... Je suis prête à prendre les armes... Quitte à sacrifier des vies. Hak ?
Hak : Arrêtez de vouloir me protéger...
Yona : Pourquoi ?
Hak : Ça pourrait me donner envie de plus.

A l'heure actuelle, tu te sens peut-être seul et désespéré... Mais en réalité, tu as beaucoup de chance.
Oui, parce que tu as fait de Yeon ton allié.
Or faire de Yeon ton allié, cela revient à faire de nous tous tes alliés.
Et notre princesse aussi.

Yona : J'aimerais aller de l'avant. Je veux devenir plus forte. Alors enseigne-moi... Le maniement de l'épée... Ou de l'arc... S'il te plaît. J'apprendrai. Je ne veux pas mourir en étant impuissante. Et je veux encore moins te perdre. Pour ça... Je suis prête à tout... Y compris m'emparer du pouvoir des Dieux s'il le faut.

Hak : En fait... Ça me donne envie de mourir.
Yona : Quoi ?
Hak : J'adore votre visage... Dévasté par les larmes. Ça me donne envie de mourir... Rien que pour voir... Combien vous pleureriez. J'aimerais vraiment... Voir ça...

Territoire de la tribu de l’eau.
La plus belle région du pays de Kôka, entourée d’eau et de verdure.
Destination touristique très prisée...
On dit que ses habitants y vivent paisiblement, à l’image de l’eau qui s’écoule, répugnant aux conflits.

Soo-Won: Yona... viens. Monte sur le cheval.
Le roi II: Soo-Won!
Soo-Won: Ne vous inquiétez pas, c'est juste une balade.
Yona: C'est haut! J'ai peur!
Soo-Won: Détends-toi, Hak et moi, on te tient.
Yona: Oui, mais...
Hak: "Sous le poids de la princesse, Hak ne tarda pas à mourir."
Yona: Je vais te tuer!

Yeon : Hé ! Pourquoi vous avez le droit à une visite guidée du village ? Alors qu'un beau garçon comme moi est enfermé dans une cage ?! C'est quoi, ce traitement de faveur ?!
Yona : Tiens, Yeon ! Ça va ?
Yeon : Aussi bien qu'un prisonnier peut aller ! Espèce de princesse ingénue !

Hak : Pourquoi vous faites la tête ? Parce que je vous ai mise dans un sac et portée sur mon épaule ? Ou parce que j'ai dit que le sac contenait des vêtements et que je vous ai ballottée ? Ou bien, parce que j'en ai profité pour vous tripoter ?
Yona : Pour tout ça ! Comment as-tu osé me traiter de la sorte ?

Hak : Vous auriez pu vous contenter de tourner la tête...
Yona : Pardon ? J'ai cru que tu voulais vérifier ta température, alors j'ai tendu le front. Ce n'était pas ça ?
Hak : Ah... Euh... Si, si, bien sûr. La fièvre me fait faire des choses bizarres.
Yona : Pourtant, tu es moins chaud que toute à l'heure.

Hak : Il y a une autre raison pour laquelle je ne veux pas venir au château. Depuis toujours... Quand je suis avec cette princesse... Je perds complètement les pédales.

J'ai donc été sauvé par ceux que j'avais sacrifiés.

Je suis le médecin du roi. Le moindre échec entraînerait ma mort, et je dois protéger le secret le plus important du pays au prix de ma vie.
Il va de soi que mon assistant encourrait les mêmes risques.
Mais cela te permettrait d'échapper aux menaces qui pèsent sur toi maintenant.

Peux-tu vraiment te permettre de nous avoir comme ennemis, les dragons et moi ?

Kôren : Pourquoi soignes-tu les blessures de ton ennemie... Qui plus est celle te retenais prisonnier ?
Yeon : Pourquoi ? Peut-être parce que je ne veux pas perdre face à la guerre ou la violence.

Et puis je refuse de vivre en me nourrissant de ressentiment.
Ce que je veux, c’est rompre ce cercle de haine en évitant une nouvelle guerre.

- Pourquoi un fils de général s'abaisse à des tâches pareilles ?!
- Vous savez, je n’en ai pas envie... Mais si grâce à ça ne serait-ce qu’un seul sujet de la tribu du feu peut être sauvé... alors je me dois de le faire.