Ce n’est pas que le Beau-Père de Vérène haïsse sa belle-fille parce qu’elle est une femme, non. Bien sûr, il hait les femmes, mais il ne les hait pas plus qu’il ne hait les hommes.
Ce que le Beau-Père de Vérène hait, ce qu’il hait profondément, c’est le féminin. Le féminin en Vérène, en chaque femme, en chaque homme.