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Citations de Karin Slaughter (547)


[...] les criminels s'endormaient toujours une fois qu'ils étaient passés aux aveux . Cacher leurs mauvaises actions leur avaient pompé tant d'énergie que confesser la vérité toute nue leur apportait un sommeil profond et réparateur .
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"Il est possible de faire du mal à quelqu'un sans laisser aucune trace."
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"Naturellement, le désespoir était le fruit de la peur."
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[...] Dee était sortie de sa chambre pour donner à Lydia le plus beau cadeau qu'une adolescente puisse offrir à sa mère : elle était tombée d'accord avec elle.
(p. 98)
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"Jeffrey répétait souvent qu'il n'aimait pas parler aux parents ou aux amis des victimes avant d'avoir quelque chose de concret à leur annoncer. Elle avait toujours considéré que c'était un peu une lâcheté de sa part, mais maintenant elle comprenait mieux en quoi c'était nécessaire, car les gens avaient besoin d'un peu d'espoir, sous une forme ou sous une autre, qu'on leur assure que les choses allaient s'arranger, au moins sous un aspect."
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- Tu as couché avec ce Quinn ?
Clara prit un air faussement innocent et haussa les épaules.
_ Ma psy dirait que j'essayais de combler un vide .
- C'est comme ça qu'elle appelle ton vagin ?
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Pour certaines personnes, tout était toujours en noir et blanc. Elles croyaient que la vengeance allégeait la douleur, alors qu'elle ne faisait qu'infecter le chagrin.
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Nous sommes tous deux sur cette terre depuis assez longtemps pour savoir que la vérité est sujette à interprétation.
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Ils ont essayé de nous enterrer. Ils ne savaient pas que nous étions des graines.
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(...) le problème de Paul Scott, c’était qu’il ne voyait pas Claire comme un être humain ordinaire, avec ses imperfections. Il était aveugle à ses failles. Couvrait ses impairs, ses erreurs. Ne lui faisait jamais de reproches. Ne la mettait pas en colère, ne provoquait jamais en elle ces émotions intenses qui faisaient que les conneries d’un homme valaient la peine d’être supportées.
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Il y a un principe qu’on appelle « la loi des très grands nombres ».
Du moment qu’on prend un échantillon suffisamment important, n’importe quelle horreur est forcée d’arriver.
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[...] , j'ai, comme on peut le comprendre , changé d'avis sur la peine de mort .Tout ce que j'ai à dire à ce propos , maintenant , c'est que les parents devraient avoir le droit d'appuyer sur le bouton qui déclenche l'électrocution .
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Ma mère me grondait quand je l'appelais au téléphone. Elle me disait : "C'est tellement impersonnel! Si tu m'écrivais une lettre, plutôt?" Et maintenant, c'est moi qui te gronde parce que tu m'envoies des mails au lieu de m'écrire! Et toutes mes amies grondent leurs petits-enfants à cause de leurs textos en langage d'illettrés. Quel salmigondis de préférences !
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Une phrase que l'un de ses formateurs avait écrite au tableau blanc lui revint à l'esprit.
Si vous voulez que les gens vous aiment, ne vous engagez pas dans les forces de l'ordre.
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Ta mère avait raison.
Les détails m’ont brisé.
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"_C'est un cocktail pharmaceutique à base d'herbe. C'est la clef en matière de marketing...faire croire aux gens que c'est bon pour la santé. Brian prétend que cette herbe n'a aucun effet secondaire. Mais c'est des conneries, même l'aspirine a des effets secondaires."
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Entre les trente-deux heures qu'il lui avait fallu pour mettre son bébé au monde et le spectre de la ménopause qui menaçait, Lydia se sentait déjà chanceuse que sa vessie ne pende pas entre ses jambes comme les pis d'une vache.
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- Nous ne voulons pas d’ennuis.
Paul avait les mains en l’air. Son corps était complètement immobile. Claire le regarda. Il hocha la tête une fois, pour lui signifier que tout allait bien se passer alors qu’il était évident que non.
(...)
- Claire.
La voix de Paul était tendue.
- Donne-lui ton portefeuille.
Claire regarda fixement son mari. Elle sentait dans son cou le battement insistant de sa carotide. Paul avait une arme dans le dos. Ils étaient en train de se faire détrousser. Voilà ce qui se passait. C’était réel. Cela se produisait vraiment. Elle baissa les yeux sur sa main, d’un mouvement lent de la tête, parce qu’elle était en état de choc, terrifiée, et ne savait que faire.
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L'optimisme est un éclat de verre dans le cœur.
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"Apprendre à devenir chirurgien, traiter des cas critiques qui exigeaient d'elle la quintessence de sa discipline, tout cela avait créé chez elle une dépendance aussi puissante que celle de l'héroïne."
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