Joseph Delaney

Un nouveau tome où nous découvrons les aventures de Tom et l'épouvanteur en Irlande cette fois. Bien des créatures de l'obscur les attendent! Notamment la Morrigan, des mages, et aussi Pan qui est de passage.

Je suis une grande fan de cette saga jeunesse depuis mon adolescence et c'est toujours avec beaucoup de plaisir que je redécouvre leurs aventures.

Ce tome n'est pas mon préféré. Il s'y passe beaucoup d'actions et je préfère quand c'est plus lent. L'auteur en a écrit de meilleurs à mon goût.

Le démon est trop facilement combattu à mon goût. En revanche, j'aime beaucoup le retournement de situation avec Alice. Sa personnalité est la plus complexe et on ne sait jamais sur quel pied danser avec elle. Pauvre petite que de malheurs pour une si courte vie !

Coeur aussi pour Grimalkin que j'aime toujours autant !

Aimant beaucoup les univers fantastiques; héroiques-fantaisies, on m'a vivement conseillé ce livre.



On retrouve beaucoup d'éléments de 'The Witcher' dans le thème médiéval abordé cette fois-ci du point de vue d'un apprenti, futur Epouvanteur: rôle vu d'un mauvais oeil qui consiste à tenir à distance les forces de l'ombre.



Le livre est bien écrit, captivant.

L'auteur pose de nombreuses intrigues et arrive à nous tenir en haleine, à nous donner envie de lire la suite.



Ce qui m'a frappé et l'un des gros points forts, ce sont les descriptions détaillées présentes dans le livre.

Elles permettent de se forger une vraie image du monde et de ses habitants, certains passages en deviennent presques visuels: sur un long paragraphe l'auteur prends le temps de dépeindre une scène ou une créature, on se retrouve alors immergé dans des situations aux allures parfois morbides et on ressent toute la détresse des personnages.



On s'identifie facilement aux acteurs du livre, dont le caractère, les convictions et les sentiments évoluent à travers le temps.



Si je n'avais qu'une chose à redire, ce serait que l'histoire est parfois un peu simple, et ça vient faire perdre un peu en crédibilité à l'univers et les règles qui le gouvernent. C'est un détail que j'aimerais bien voir évoluer dans les prochains tomes.



Ce premier opus de la série se lit vite et forge de bonnes bases pour la suite, je recommande vivement.

J'ai expliqué dans ma précédente critique que Grimalkin faisait partie de mes personnages préférés. Je peux maintenant affirmer qu'elle écrase tous les autres dans mon cœur. Ce neuvième tome écrit depuis son point de vue est plus rythmé que les précédents. Les personnages secondaires (Thorne, Agnès, Slake, Wynde...) sont tous excellents. À elles cinq, elles ont complètement occulté l'épouvanteur et Tom Ward restés à Chipenden pour réparer les dégâts. J'ai tout de même apprécié retrouver Alice le temps du combat final.

L'Apprenti-Épouvanteur m'a offert une expérience de lecture mitigée. D'une part, j'ai apprécié l'approche directe de l'auteur, Joseph Delaney, qui évite les descriptions interminables, permettant ainsi au récit de progresser de manière fluide. Cependant, j'ai parfois ressenti un manque de détails et d'immersion dans l'univers, les ellipses brutes laissant peu de place à l'imagination pour combler les vides.



En ce qui concerne le protagoniste, Tom Ward, j'ai trouvé ses choix parfois déconcertants voire "débiles", mais je me suis rappelé qu'il n'avait que 12 ans. Son jeune âge peut expliquer certaines de ses décisions impulsives ou maladroites, ce qui rend son personnage plus réaliste à mes yeux.



Ce qui a vraiment retenu mon attention dans ce premier tome, c'est le mystère entourant la mère de Tom. Bien qu'elle soit peu présente physiquement, son influence et son aura mystérieuse ajoutent une dimension intrigante à l'histoire. Cette intrigue m'a donné envie de poursuivre la série pour en apprendre davantage sur ce personnage fascinant.



En résumé, bien que L'Apprenti-Épouvanteur présente des aspects positifs et négatifs, mon expérience de lecture a été marquée par une certaine ambivalence. Je suis curieux de voir comment l'histoire va se développer dans les tomes suivants, en espérant que les mystères entourant la mère de Tom seront éclaircis.

La Malédiction de l'Épouvanteur a été une révélation pour moi, un lecteur nouvellement converti à l'âge de 30 ans. Ayant peu exploré le monde de la lecture auparavant, je découvre maintenant les innombrables bienfaits et les plaisirs qu'elle peut offrir. Ce deuxième volet de la série "L'Épouvanteur" de Joseph Delaney a joué un rôle crucial dans cette découverte.



La Malédiction de l'Épouvanteur est une suite captivante qui plonge le lecteur dans un monde sombre et mystérieux, peuplé de créatures surnaturelles et de dangers terrifiants. Dans ce deuxième volet de la série, Joseph Delaney poursuit brillamment l'histoire de Tom Ward, un jeune apprenti évoluant aux côtés de l'Épouvanteur, John Gregory.



L'auteur réussit à maintenir une atmosphère envoûtante tout au long du récit, mêlant habilement suspense, action et mystère. L'intrigue se développe de manière fluide, offrant une progression constante qui tient en haleine le lecteur à chaque page tournée. Delaney explore avec brio les thèmes de la magie noire, de la bravoure et du courage face à l'adversité.



Les personnages sont bien développés et réalistes, chacun apportant sa propre complexité à l'histoire. On ressent l'évolution de Tom Ward alors qu'il fait face à des défis de plus en plus périlleux et découvre les véritables enjeux de son rôle d'apprenti Épouvanteur. De même, l'Épouvanteur lui-même est un personnage fascinant, doté d'une sagesse profonde et d'une détermination inébranlable.



L'un des points forts de ce livre réside dans sa capacité à capturer l'imagination du lecteur et à le plonger dans un univers riche en détails et en folklore. Delaney maîtrise l'art de la narration, créant des scènes visuellement saisissantes et des dialogues percutants qui ajoutent une profondeur supplémentaire à l'histoire.



En résumé, "La Malédiction de l'Épouvanteur" est une lecture incontournable pour les amateurs de fantasy et d'aventure. Avec son intrigue palpitante, ses personnages attachants et son univers captivant, ce deuxième tome de la série "L'Épouvanteur" garantit une immersion totale dans un monde où le danger rôde à chaque coin de rue.

J'ai lu L'apprenti épouvanteur mais ça ne m'a pas emballée, peut être suis-je un peu grande pour aimer dans tous les cas je ne pense pas m'embêter à lire la suite. L'horreur et l'effroi sensés ressortir étaient trop peu présents.

Les personnages sont élaborés mais je n'ai aucune affection pour eux. L'idée de l'histoire est intéressante mais il manque une petite touche de quelque chose assez indéfinissable. L'univers du surnaturel est en revanche très développé ce qui m'a plu. Tom aurait pu avoir de véritables pouvoirs peut être est-ce une des choses qui m'ont dérangées dans la plupart des livres fantaisie c'est le cas...

Le livre aurait mérité d'être plus long quitte à avoir moins de tomes après .

L'intrigue manque de complexité.

J'ai connu l'épouvanteur en 2004, et j'ai du mal à me dire que 20 ans plus tard, après autant de livres, la saga se conclut enfin, suite au décès de son auteur.



C'est toujours aussi plaisant de suivre les aventures de Wulf, qui a succédé à Tom Ward. Cette fin me laisse toutefois un petit goût amer. On pressent, en lisant les dernières pages, qu'une suite était sûrement possible, mais nous le saurons jamais. Seule notre imagination peut continuer de faire vivre Wulf au delà de ce tome.

J'ai trouvé Le destin de l'épouvanteur un peu en-dessous des tomes précédents et un poil redondant (il aura fallu huit livres). Les sorciers irlandais paraissent bien fades après les lamias sauvages et les bugganes métamorphes. Les enjeux rappellent ceux des premiers tomes (creuser des trous, y jeter des monstres, retarder le malin...). Le livre n'est pas mauvais, mais, pour la première fois, Joseph Delaney ne se renouvelle pas suffisamment. Seuls Grimalkin et Pan ont su susciter mon intérêt. Grimalkin fait définitivement partie de mes personnages préférés.

Une fin qui n'en est pas une...



Je n'y croyais pas et pourtant si, il existe bien un dernier tome écrit par Joseph DELANEY pour Wulf, la saga dérivée de L'Épouvanteur. L'auteur a terminé l'écriture de celui-ci 6 semaines avant de décéder donc il n'a pas été aussi bien retravaillé que les tomes précédents.



On retrouve Wulf, toujours Épouvanteur à Chippenden ainsi que, Thorne et Grimalkin les deux sorcières tueuses. On va aussi retrouver Jenny, l'ancienne apprentie de Tom et Sliter, que l'on avait rencontré précédemment dans un tome de L'Épouvanteur. C'est dommage car la fin laisse penser que l'auteur avait prévu une suite, on ne sait pas ce qu'il va advenir de Wulf ni de ses amies. Cette nouvelle aventure nous fait voyager une dernière fois dans le Conté et dans les entremondes créés par l'auteur. On retrouve tout ce qui a fait le charme des deux sagas.



J'ai relu ma critique sur le tome précédent et j'avais déjà mentionné que c'était dommage que ce soit la fin de la saga et qu'on ne saura jamais si l'auteur souhaitait la continuer. En tout cas, c'était très plaisant de retrouver une dernière fois Wulf et les personnages de l'Épouvanteur.

C'est officiellement la fin de cette aventure... Celle de l'épouvanteur et de Wulf à sa suite. La nostalgie nous envahit et il est difficile d'être ravie durant cette dernière lecture, sachant qu'il est certain que ce sera la dernière en raison du décès de l'auteur. Ce tome n'a pas été retravaillé avec l'éditeur et donc, peut-être moins abouti que les précédents ce qui lui donne également une saveur différente.



Ce contexte fait qu'il y a beaucoup de questions en suspens auxquelles j'aurai aimé avoir des réponses... Concernant la fin des personnages de la saga originale notamment.



J'ai trouvé une facilité assez incroyable dans les actions menées de ce tome mais pourquoi pas, après tout.



En tout cas, merci à Joseph Delaney de nous avoir fait tant rêvé, tant passionné... C'est quelque chose que nous transmettons à notre nouvelle génération. Mon neveu, ma nièce sont maintenant aussi de grands fans. Il ne sera jamais oublié.

Mes critiques de L'Épouvanteur sont de plus en plus courtes. C'est qu'ils sont relativement constants. Dans le Cauchemar de l'épouvanteur, Tom fuit les soldats ennemis par la mer et accoste sur l'île de Mona où les réfugiés ne sont pas les bienvenus. Comme dans le tome précédent – qui se déroulait à l'étranger, nous découvrons de nouvelles coutumes (les tonneaux pour tester les sorcières), de nouvelles magies (la magie animiste pratiquée par les sorcières roumaines et les chamans, la magie des oiseaux...) et de nouveaux monstres (les bugganes). C'est cependant un(e) vieil(le) ennemi(e) de nos trois héros qui leur causera le plus de torts. Pas de repos pour les épouvanteurs !

Encore un très bon tome de L'Épouvanteur. Mon préféré parmi les six premiers. Cette fois-ci, Tom part combattre l'obscur dans le bassin méditerranéen. Le schéma narratif ne change pas (un nouvel ennemi fait son apparition, et Tom doit lier des alliances et risquer sa vie et celles de ses proches pour le repousser), mais les nouveaux monstres et paysages suffisent à renouveler le récit. La fin du tome nous offre son lot de révélations et Tom tend de plus en plus vers le gris. J'enchaîne avec le tome sept.

Après la déception que j'ai eu en lisant le sacrifice de l'épouvanteur, j'ai beaucoup aimé ce nouvel opus, le cauchemar de l'épouvanteur.

On retrouve ici un personnage en particulier qui nous a suivi depuis le début qui continue de sévir, même en dehors du comté.

J'ai aimé ce changement de décor et les nouveaux dangers qu'ils ont dû affronter (la chasse à la sorcière avec des coutumes un peu particulière par exemple). Dans cet ouvrage, Tom et John Grégory vont devoir affronter bien des dangers dont le buggane qui règne en maitre dans l'île de Mona. On retrouve aussi cette étrange amitié qui lie un épouvanteur avec la jeune sorcière Alice.

On commence à s'habituer à la trame narrative. Mais ça n'est pas pour déplaire au lecteur.

Contrairement au sacrifice de l'épouvanteur, on est beaucoup moins perdu à travers la description des lieux. J'avais beaucoup de mal à imaginer ça alors que sur l'île de Mona, ça me parait plus familier.

Cet ouvrage engage la suite des aventures de Tom. On sait ce qu'on veut trouver dans le prochain tome en tous cas ! Hâte de lire la suite.

Quatrième épisode et je suis toujours aussi captivé, cette série se bonifie d'épisode en épisode avec une inclinaison de plus en plus marquée vers une fantasy plus sombre et "adulte".

Nous retrouvons sans surprise les trois personnages majeurs de la série, on les connait désormais très bien. Tom l'apprenti épouvanteur, Alice, sorcière et néanmoins amie de Tom, et enfin l'épouvanteur, de plus en plus fatigué.

L'épouvanteur, parlons en ! Je me dis que cette saga aurait dû être intitulée "L'apprenti épouvanteur" tant il se fait discret dans ce tome, le récit est définitivement centré sur Tom, petit bonhomme qui fêtera son quatorzième anniversaire à la fin de cet épisode.

Cette histoire débute quand l'épouvanteur apprend que les sorcières de Pendle, appartenant à trois clans, préparent une alliance qui pourrait les rendre impossibles à combattre, pire encore, elles seraient capables d'invoquer le Diable en personne.

Il y a donc urgence à se rendre sur place, mais avant, Tom Ward doit passer chez lui pour récupérer les malles au contenu précieux que sa mère lui a laissées en héritage. Or, une fois sur place, il découvre que la ferme a été ravagée, la grange brûlée et... Les malles envolées !

L'auteur nous propose ici un épisode sombre et plutôt brutal avec son lot de crimes et d'épouvante, il est loin le temps de l'apprentissage heureux...

C’est avec une vive émotion que je suis en train de rédiger ces quelques lignes. Joseph Delaney m’accompagne depuis vingt années maintenant, avant même qu’il ne soit connu en France. Je ne suis qu’être attristé par son décès tant pour l’homme que pour son oeuvre qui m’a procurée d’excellents moments de lecture remplis de valeurs que j’affectionne tant.



Il est indispensable de préciser que ce roman a été finalisé moins de quatre semaines avant la disparition de Joe qui a été publié dans l’état sans le moindre remaniement par la maison d’édition faisant ainsi de ce premier jet le texte le plus authentique que vous pourriez avoir l’occasion de lire dans la série consacrée à l’épouvanteur (& Cie).



C’est toujours un véritable plaisir de retrouver les aventures de l’épouvanteur du Comté. Elle est loin l’époque de John Grégory ou bien encore de Tom Ward, mais l’avénement de Wulf a redonné un coup de peps à une série qui commençait à s’essouffler. Certains lecteurs pourraient regretter ce choix de Joseph Delaney, surtout en ce qui concerne le rythme nettement plus rapide de l’intrigue. Je dois bien admettre que certains passages semblaient avoir être précipité, notamment en ce qui concerne les deux « combats de Boss ». Il est, effectivement, perturbant de passer 30 pages sur une banale sorcière quand il suffit de trois lignes afin d’exterminer un Dieu de l’Obscur.



Ce quatrième volume de Frère Wulf n’était pas supposé être le dernier de la série, mais il n’aurait pas pu exister une meilleure fin, un peu comme si l’auteur lui-même étant conscient qu’il était essentiel de proposer aux lecteurs une aventure comme il n’aurait jamais pu leur proposer à travers ses personnages, à savoir vivre sa propre histoire.
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Un classique de la littérature ado. Cette fantasy est plus sombre que ce qu'on lit habituellement dans le même genre et c'est ce qui m'a bien plu. Les personnages sont attachants sans être trop niais, les méchants font peur et l'atmosphère médiaveal est très bien rendue, avec une bonne grosse touche de surnaturel qui fonctionne complétement. L'intrigue aurait pu être plus originale mais c'est un tout petit reproche.

Critiquer un chapitre d'une saga fantastique est un exercice délicat, d'autant plus après la disparition de Joseph Delaney en 2022, qui a conclu les 13 aventures de Tom Ward, l'Épouvanteur. "Le Septième Fils", le film, propose une vision alternative, plaçant Tom Ward comme apprenti au sein d'une famille de fermiers. Le premier tome, simple mais efficace, sert d'introduction à la fantasy héroïque pour jeunes lecteurs, sans prétendre rivaliser avec des épopées telles que "Le Seigneur des Anneaux". À travers le regard de Tom Ward, on suit les péripéties d'un apprenti sorcier, confronté à ses émotions et aux erreurs qui jalonnent son apprentissage. Son mentor, en revanche, manque de la prestance de Jeff Bridges, son homologue du grand écran, laissant au héros le soin de percer les arcanes de la magie. Le destin du pénultième disciple, tombé dans un guet-apens des sorcières, reste un mystère, peut-être éclairci dans "La Malédiction de l'Épouvanteur".

À suivre...

Une grande saga se termine définitivement avec ce dernier tome. Et quelle aventure ! Je suis partagée entre la tristesse de devoir quitter cet univers si riche et la joie ainsi que la reconnaissance d'avoir pu entrer dans la vie de tous les protagonistes.



Monsieur Delaney, merci pour cet héritage fabuleux que vous laissez derrière vous !



Tom, Alice, Gregory, Grimalkin, Thorne, Wulf, Jenny, Sliter et consort... Vous allez terriblement me manquer !



Ce dernier livre clôture parfaitement la fin de cette grande histoire. Bien sûr, on sent que cela aurait pu continuer encore. Mais le départ de l'auteur signe, comme la maison d'édition le dit si bien, le début de l'histoire que nous pouvons continuer à créer dans nos imaginaires. Sans doute pas avec la même force que celle de Wulf mais du moins, pouvons nous essayer 😉

La légende du 7eme fils du 7eme fils est reconnu partout en Europe. En France, l'enfant à une marque de lys sur la joue et on le nomme le Marcou. En transylvanie, il peut devenir loup garou ou vampire.

Dans les pays anglo saxon et comme le héros de ce roman, il devient celui qui lutte contre les êtres maléfiques (sorcières, gobelins, fantômes...)

Tom Ward a 13 ans et devient l'apprenti de l'epouvanteur. Il va être confronté à différents êtres maléfiques, mais il doit apprendre à se défendre, comprendre les techniques et quoi faire quand il se lie d'amitié avec Alice, une sorcière en devenir.

Ce 1er roman a une vingtaine d'années et c'est une relecture pour moi. J'ai comme la 1ere fois appréciée le suspense qui en découle et l'amitié qui transgresse les conventions.

C'est une lecture jeunesse fantasy pour les ados à partir de 13 ans.

Bonne lecture à tous.

Ce tome est plus accès sur le passé de l'Epouvanteur, un personnage mysthérieux.

On comprend un peu mieux ce personnage énigmatiques.

Mais dans un même temps, l'action en patie un peu.

j'imagine que c'est le revers de la médaille, on n epeux pas avoir le beurre et l'argent du beurre.

Ce livre reste trés facile à lire.