Citations de Jean-Luc Cornette (75)
Moins nous serons, moins nous ferons des bêtises.
S'il y met le prix, il aura ce que le génie humain a créé de plus sublime.
Va, mon faux frère ! Je me jetterai du plus haut des sommets plutôt que de t’épouser. Et si un de ces sommets atteint l'altitude de ta vanité, c'est celui-là que je choisirai.
- Tu crois qu'on a choisi le bon camp ?
- Tu crois qu'il y en a bon ?
Dessiner, c'est un plaisir et une damnation. C'est comme respirer lorsque vous êtes asthmatique.
Lettre de Léon Trotski à Natalia
" Pendant presque quarante années de vie commune, elle a vécu de grands chagrins, surtout les derniers temps, mais je trouve un certain réconfort à penser qu'elle a connu aussi des jours heureux."
Dans la ville, on raconte l’histoire de la grosse perle. Comment elle fut trouvée et comment elle fut perdue. On parle de Kino le pêcheur, de sa femme Juana, et de leur petit garçon Coyotito. Cette histoire fut répétée si souvent, qu’elle prit racine dans l’esprit de chaque homme. Comme tous les contes qui pénètrent le cœur des gens, il n’y a que de bonnes ou de mauvaises choses, que du noir ou du blanc. Et rien au milieu. Si cette histoire est une parabole, peut-être que chacun y donnera du sens et y verra le reflet de sa propre vie.
À chaque époque son art, à l’art sa liberté.
La grandeur d'un roi s'écrit par ses conquêtes, pas par des traités hypocrites qui ne sont là que pour donner le temps aux ennemis de réarmer.
La beauté est partout. L'oeil a la capacité de la créer
Si quelqu'un veut savoir quelque chose sur moi en tant que peintre, qu'il regarde attentivement mes toiles et qu'il cherche à découvrir en elles, ce que je suis et ce que je veux.
Cette femme extraordinaire (F. Kahlo) est un papillon magnifique et pernicieux virevoltant autour de son monstrueux époux marxiste (D. Rivera)...
André Breton
Feras-tu de moi une belle femme ?
Le mariage entraîne des sujétions que je ne saurais encore goûter et je ne puis déterminer le moment où je pourrai vaincre cette répugnance!
Je n’arrive pas encore à me faire à l’idée qu’un homme puisse user de moi comme un paysan de son champ.
« – Écoutez-moi bien, le pianiste virtuose et la sirène de la mer du Nord. Vous êtes des enfants et, bien que quotidiennement vous vous leviez pour retrouver un père qui frappe sans vergogne ou pour vous souvenir d'une mère disparue entre deux vagues, vous vivez le plus bel âge. Vous pouvez encore décider ce que sera votre vie. Votre vie d'adulte. Vous avez un devoir, celui de garder la maîtrise de votre destin, malgré l'inconnu qui se cache derrière chaque coin de rue. Et il y a une chose avec laquelle il ne faut jamais transiger. (…) – Et cette chose, c'est la liberté! »
Prince Ozias, laissez-moi aller sous la tente de nos ennemis. Je vais accomplir une action dont le souvenir se transmettra aux enfants de notre race, d’âge en âge. Vous, trouvez-vous cette nuit à la porte de la ville. Moi, je sortirai avec ma servante et, avant la date où vous aviez pensé livrer la ville à nos ennemis, par mon entremise le Seigneur visitera Israël. Quant à vous, ne cherchez pas à connaître ce que je vais faire. Je ne vous dirai pas avant de l’avoir exécuté.
Je me demande combien l’État a payé ce pervers pour vomir ses fantasmes de dégénéré sur sa toile !
- Rosa! Je peins ton cul! sois un peu sérieuse s'il te plaît!
Seules les femmes sont capables de sauver les hommes de leurs démons.
- C'était un petit rôle, mais tenais à ce que ce soit toi qui l'interprète, Audrey. Lorsque je rêve d'un ange, c'est ton visage que je vois apparaître. Tu es un ange.
- Tu en es un également, Steven. Tes films apportent tant de bonheur aux gens.
(page 152)