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Citations de Jean-François Bouygues (15)


L'homme à cause son arrogance aveugle, n'a pas encore compris que la Nature est maître du Monde, et ensuite seulement vient l'Homme.
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Pour le peuple aymara, le temps revêt une notion toute particulière. Le passé connu et visible se trouve devant, alors que le futur, inconnu et invisible se trouve derrière. ainsi, les Aymaras font toujours "face" à leur passé source permanente de connaissances et d'inspirations. Inutile pour eux d'évoquer le futur, puisqu'il est pour ainsi dire inconnu et incertain. Tout ce qui pourrait être dit à son sujet, ce ne sont jamais que conjoncture et spéculation.
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En montagne tout est vrai, sincère, authentique. On se met à nu, on se livre, on se donne. La solidarité est réelle immédiate et totale, parce qu'elle est vitale.
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Comment parler de l’homme sans avoir d’abord évoqué la nature, c’était elle la grande dominatrice.
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Bonjour,
Lecteur assidu depuis l'âge de 20 ans, il y avait bien longtemps, une éternité que je n'avais lu un livre aussi poignant et émouvant.
L'auteur Jean François Bouygues a donné la parole à chaque personnage et par cette originalité on ressent et vit avec chacun d'eux dans leur long cheminement de leur vie, de leurs destins, dans une France de 1936 à 1945. Amours, Amitiés, Trahisons, Souffrances, Douleurs, Emotions, Humour, tout y est. Une leçon d’humanité.
Tout commence par Vincent qui se lance à la recherche de sa grand-mère Valentine portée disparue en 1944. Est-elle cette vieille dame qui se cache sous une autre identité. Dès les premières pages on ne peut plus lâcher ce roman magnifique où tous les sentiments humains sont dépeints, les plus beaux comme les moins nobles. Les 100 dernières pages vous prennent aux tripes et votre cœur en est secoué à jamais dans le dénouement du récit qui nous rappelle AU DEVOIR DE MEMOIRE DANS LA France profonde.
Incontestablement, cette chronique familiale où chacun peut se retrouver ou retrouver des parents est une Merveille d’Ecriture.
Une réussite… Un diamant pur, une pépite.
Un grand bravo à l'Auteur.
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J'ai obéi. J'ai approché la chaise de la table. Elle était recroquevillée dans son fauteuil comme à son habitude, et elle a commencé à parler, d'une voix lente et précise. Elle a parlé ainsi durant trente-six jours en me racontant tout ce dont elle se souvenait.
Le matin du trente-septième jour, je me suis installé à ma table de travail, à l'hôtel du Lac ; j'ai sorti une feuille blanche, j'ai ouvert mon stylo à plume, et j'ai écrit, en haut de la page, en lettre capitale :
CHAPITRE 1...
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Bonjour,
Lecteur assidu depuis l'âge de 20 ans, il y avait bien longtemps, une éternité que je n'avais lu un livre aussi poignant et émouvant.
L'auteur Jean François Bouygues a donné la parole à chaque personnage et par cette originalité on ressent et vit avec chacun d'eux dans leur long cheminement de leur vie, de leurs destins, dans une France de 1936 à 1945. Amours, Amitiés, Trahisons, Souffrances, Douleurs, Emotions, Humour, tout y est. Une leçon d’humanité.
Tout commence par Vincent qui se lance à la recherche de sa grand-mère Valentine portée disparue en 1944. Est-elle cette vieille dame qui se cache sous une autre identité. Dès les premières pages on ne peut plus lâcher ce roman magnifique où tous les sentiments humains sont dépeints, les plus beaux comme les moins nobles. Les 100 dernières pages vous prennent aux tripes et votre cœur en est secoué à jamais dans le dénouement du récit qui nous rappelle AU DEVOIR DE MEMOIRE DANS LA France profonde.
Incontestablement, cette chronique familiale où chacun peut se retrouver ou retrouver des parents est une Merveille d’Ecriture.
Une réussite… Un diamant pur, une pépite.
Un grand bravo à l'Auteur.
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Un guide de montagne, c'est un guide du corps, c'est un guide de la morale, c'est un guide de la générosité, et c'est un guide de la beauté.
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Avec le retour des enfants du pays,
Avec le retour après la guérison,
Avec les souvenirs d'une saison finie,
C'est dans les gares de nos villages
Que les trains déposent quelques années
de jeunesse au milieu des visages...
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- C’que j’appelle une montgolfière humaine, ce sont tous ces hommes et femmes qui ont la caboche gonflée de rêves, comme une montgolfière. Sauf que c’est pas de l’air chaud qui les font s’élever ; ce sont les rêves. Endo, rien n’est plus beau qu’une montgolfière. C’est léger, c’est libre, ça monte dans le ciel et ça plane à dix mille…
- Et parfois même, ça redescend. Et ça s’est déjà vu que ça s’écrase au sol !
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Voilà La Rallonge qui arrive. C’est Susie, la sœur de la petite, que j’appelle La Rallonge. Cette fille là, ce n’est pas une fille, ce n’est pas une femme, c’est une paire de jambes ! Elle a des jambes tellement longues, qu’on dirait une rallonge, précisément.
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Adieu les espoirs de victoire ! Les lauriers de la gloire ! Les rêves idiots où l’amour se conjugue au plus-que-parfait du conditionnel antérieur.
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Elle m’a alors embrassé en me déchirant d’émotion, et nous nous sommes serrés dans nos bras, si fort, si fort, et si longtemps que nous étions persuadés que rien ne pouvait nous arriver.
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- Ce n’est pas ce que l’on dit ou ce que l’on fait qui est important… C’est d’aimer.
- Jeune fille, sachez que bien avant vous… j’ai aimé. Et que me reste-t-il de cet amour ? Rien d’autre que d’inoubliables chagrins… Et un vide immense, un vide terrifiant. Voulez-vous que j’vous dise ? : j’ai gâché ma vie.
- Gâchée ou non, il me semble qu’il faut la vivre. Coûte que coûte.
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Tu n’as pas oublié le train et lui n’a pas oublié le quai. Tu vois comme tout est déjà prêt pour vos retrouvailles. Il lui reste à prendre le bon train, et à toi de l’attendre sur le bon quai. Quant à la locomotive, c’est moi qui vais la conduire… et tout se passera bien.
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