Dans plusieurs coins du littoral, on pouvait tomber sur une peinture s’ensablant au pied d’un épaulement ou s’effritant dans le fond d’un coffre. Avec le temps, le vernis se lézardait, la toile irriguée de craquelures formait une peau d’écailles. Même les œuvres d’art prenaient la texture de la poiscaille.