La première fois que j’ai eu mes règles, j’ai pleuré. Le mois suivant, l’odeur me plut, elle me rappelait l’Amazone, je la trouvais âpre, presque carnassière, et il me semblait qu’elle me rapprochait un peu de la princesse Mononoké, l’héroïne de Miyazaki, avec ses lignes de sang séché tracées sur le visage pour faire peur aux hommes et signer son appartenance au royaume des loups.
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