L'auteur du Capital rendit justice aux intentions de Cafiero. Il sut comprendre, on aime à le croire, ce qu'il y avait de générosité, de droiture et de désintéressement dans cet admirable caractère; et il constata aussi - non sans surprise, peut-être - que l'Abrégé écrit par le socialiste révolutionnaire italien dans sa prison était un travail sérieux, consciencieux, œuvre d'une intelligence ouverte et lucide.
Ce livre représente la vérité nouvelle qui démolit, met en pièces et disperse aux vents tout un séculaire édifice d'erreurs et de mensonges. Il est toute une guerre.