Nous vivons dans un monde où la force est la règle et la douceur l’exception, où un homme vêtu d’un costume sera mieux considéré qu’un mendiant en guenilles.
Nous vivons dans un monde où l’argent est signe de réussite et la pauvreté un vecteur de méfiance, où la parole de celui qui hurle aura plus de portée que celle de celui qui réfléchit.
Nous accordons trop d’importance à ce qui est matériel, quantifiable, visible, alors que la richesse, la vraie, est celle de nos âmes, nues et vulnérables.