AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.96/5 (sur 140 notes)

Nationalité : Italie
Né(e) : 1981
Biographie :

Écrivain, musicien, chroniqueur littéraire, influencé par ses lectures de Mark Twain, Joe Lansdale, Stephen King et Jo Nesbø, surnommé le "Stephen King italien", Antonio Lanzetta fait partie du renouveau qui s’amorce dans la littérature de son pays. Il alterne les points de vue et les époques avec beaucoup de rythme et un sens affûté de l’intrigue pour mieux semer le doute au cœur d’une Italie rurale, profonde, tour à tour cuite par le soleil et détrempée par la pluie – l’Italie du Sud, où il a grandi et vit aujourd'hui.

Son roman "Le Mal en soi" est publié en mars 2018 chez Bragelonne.

Source : http://www.quaisdupolar.com
Ajouter des informations
Bibliographie de Antonio Lanzetta   (4)Voir plus

étiquettes
Videos et interviews (4) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de

Un vieux manoir à l’atmosphère oppressante. Deux jeunes garçons sortis d’un orphelinat. Un secret enfoui, prêt à ressurgir du passé. Un tueur qui se nourrit de vos peurs. https://mera-editions.com/no-livres/l... Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Bruno, treize ans, vit dans un orphelinat près de Salerne, et est soumis au harcèlement constant de ses camarades. Seule son amitié avec Nino, le petit nouveau qui prend sa défense, parvient à rendre son séjour dans l’institution supportable. L’été apporte un vent de liberté et Bruno et Nino sont choisis pour travailler chez les Aloia, une riche famille des environs. C’est là que Bruno rencontre Caterina, une étrange petite fille qui vit au dernier étage de la maison et qui lui fait découvrir les recoins de l’imposante bâtisse. Mais le jeu prend vite une tournure sinistre : Bruno commence à être tourmenté par d’inexplicables cauchemars, qui le laissent exténué à son réveil. La mise au jour, dans la propriété d’Aloia, de plusieurs cadavres en état de décomposition avancée jette un voile inquiétant sur la villa et ses habitants. À qui appartiennent ces corps ? Et pourquoi tout le monde semble savoir quelque chose que personne ne veut révéler ? Cette histoire est celle d’une amitié, de souvenirs brisés et d’un tueur brutal qui se nourrit de la peur de ses victimes. C’est l’histoire de Bruno, et de l’été où il est devenu l’Homme sans Sommeil. « Un livre hautement recommandé pour tous les amateurs de thrillers et de romans noirs. » — Milan noir #litterature #litteraturefrançaise #editions #polar #roman #bookstagram #livrestagram #booklover #ideelecture #jeuconcours #instalivre #sponsorisé #Lille

+ Lire la suite

Citations et extraits (46) Voir plus Ajouter une citation
« La haine est aveugle, la colère étourdie. »
Il posa ses mains au bord du lavabo et serra la céramique jusqu’à ce que ses articulations blanchissent.
« Et celui qui se verse la vengeance risque de boire un breuvage amer. »
Alexandre Dumas avait raison.

(Bragelonne, p. 232-3)
Commenter  J’apprécie          110
Dans les livres, ils mettent une éternité à déclarer leur flamme. Forcément, sinon le livre serait trop court. Tu n'y as jamais pensé?
Commenter  J’apprécie          71
La voix déformée de De Vivo lui avait rappelé que le passé ne capitulait jamais. Tu pouvais aller de l'avant, t'efforcer d'avoir la meilleure vie possible, jeter les souvenirs à la cave et éteindre la lumière en te disant que le noir ferait le reste... le passé trouvait toujours le moyen de te faire payer tes dettes.
Commenter  J’apprécie          51
Il avait ce regard qui donnait toujours à Bruno le sentiment d’être à nu, vulnérable, comme si sa vie en dehors de la cave n’avait aucun sens, et que le froid, la douleur, et le goût du sang étaient tout ce qu’il représentait.
Commenter  J’apprécie          50
- Est ce que ta mère te manque ? lui demanda Claudia à voix basse.
La question était directe mais ça ne le gênait pas.
Il aurait voulu ajouter quelque chose, raconter à son amie ce qu'il ressentait, mais il avait la bouche sèche et la langue collée au palais. Son cœur se serra et ses pensées se désintégrèrent dans un souffle. Il avait appris à reconnaître les crises de mélancolie. Les souvenirs le submergeaient avec une telle violence…. Chaque fois, il avait l'impression qu'une partie de lui se brisait. Comme s'il était constitué de verre et que, à chaque coup dur, un morceau se fracassait.
Commenter  J’apprécie          41
Son frère avait beaucoup de passions, mais chez lui, l'écriture était un besoin viscéral. (...) De son côté, Nicola était plutôt du genre à bouquiner du Lee Child en format poche (...).
Commenter  J’apprécie          40
La solitude était devenue le seul moyen de se sentir en sécurité. Le silence ne vous jugeait pas, mais vous réconfortait, comme une caresse sur la joue.
Commenter  J’apprécie          40
Il repensa à l’orphelinat, aux fissures dans les murs, au sol poussiéreux sous son lit, et à l’erreur qu’il avait commise en croyant que la maison était un endroit sûr où se cacher. Il n’y avait aucun endroit sûr dans ce monde. Il n’y avait que des hommes et le mal qui leur collait à la peau.
Commenter  J’apprécie          30
La maison sur la colline sentait l’été et la peur. La peur de se détester, à cause de cette douleur impossible à partager. La peur de s’assumer tel que l’on est, d’affronter l’incompréhension des autres.
Dans cette maison flottait l’odeur d’une enfance brisée par la violence.
Commenter  J’apprécie          30
Les yeux vitreux de la jeune fille le regardaient fixement à travers le voile de moucherons qui lui couvrait le visage. Deux iris bleus pleins de répulsion et de terreur.

Un éclair de douleur traversa la jambe de Damiano Valente, fusant comme une onde putride depuis le fémur jusqu’à l’estomac, et il vacilla. Il s’accrocha à sa canne et ses articulations blanchirent. Le flash d’un Reflex illumina la pâle écorce du saule. Ses branches noueuses émergeaient des vestiges d’une construction au toit défoncé. Les pierres noircies étaient dévorées par la mousse et les plantes grimpantes.

Damiano observa les ruines, puis le vieil arbre maudit, et frissonna. Sa voix avait tremblé au téléphone lorsque le commissaire De Vivo l’avait appelé pour le mettre au courant. Il avait même dû lui demander de répéter l’endroit exact ou ils l’avaient retrouvée, tant il peinait à y croire. Appuyé contre le frigo, il avait tenté de maîtriser sa respiration dans l’espoir que ça passerait. S’il raccrochait, s’il sortait de la cuisine et se traînait jusque dans son bureau, s’il faisait semblant de rien, alors la vie reprendrait sûrement son cours normal.
Commenter  J’apprécie          11

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Antonio Lanzetta (180)Voir plus

Quiz Voir plus

Comtesse de Ségur ou Marquis de Sade

Les Malheurs de Sophie

Comtesse de Ségur
Marquis de Sade
Ni l'une ni l'autre

12 questions
38 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature française , romans - littérature classique , roman , contes et nouvelles , bande dessinée , zigzag , humourCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..