Découvrir

Si vous avez envie de voyager alors foncez ! On change de décor, on découvre, on apprend et on rêve ..... L'auteure a su nous faire vivre un panel de sentiments à travers ses souvenirs et les différentes étapes de sa vie, des moments de suspens intense et beaucoup d'émotions .... J'ai adoré

Bon, j'ai beaucoup aimé ce dernier tome. Peut-être un peu moins que le tome 5, car j'ai l'impression de ne pas avoir de réponse à tout. La fin est légèrement floue.

Mais je comprends mieux le succès de cette saga maintenant que j'ai tout lu.

L'auteur aborde des sujets très intéressants tels que l'histoire des USA, les inégalités sociales, le capitalisme, la ségrégation raciale. Et j'ai surtout compris qu'ils souhaitait nous faire réfléchir ces sujets lors de ce dernier tome.

Dans Pluie, on y retrouve encore une fois des femmes puissantes qui prennent les décisions et des hommes qui les laissent faire. Et vu l'époque où se déroule l'histoire, c'est un plaisir de voir ces femmes avoir tant d'influence.

L'aspect fantastique est beaucoup plus présent mais toujours très tabou, ce qui est dommage car j'aurais voulu que ça en devienne un sujet central.

J'ai été touchée par la disparition de certains personnages auxquels je m'étais attachée.

Bref, un bon tome.

Ps : pourquoi appeler la saga "Blackwater" et non pas "Perdido" ? On ne parle quasi jamais de la Blackwater dans la saga...

C'était quelque chose ce roman graphique !

En premier lieu, je l'ai trouvé extrêmement instructif sur le sujet de la transidentité, de la transition de genre mais aussi du confort que l'on peut avoir lorsque nous sommes "aveugles" de cette situation. Je pense que toute personne qui souhaite en apprendre davantage sur le sujet de l'intérieur, en lisant l'expérience d'une personne concernée, ce livre est fait pour vous. Je suis honnêtement ravie de l'avoir dans ma bibliothèque, et de pouvoir y revenir si besoin. J'ai même appris des mots via la glossaire, bref j'en ressors instruite encore davantage, et l'esprit ouvert !

Ensuite, c'est avoir tout une sublime histoire d'amour, aimer, c'est souvent aimer une âme plus qu'un physique, ou un genre/sexe, et c'est aussi cela que l'on découvre dans ce roman. Attention cependant, accompagner quelqu'un dans sa transition ne semble cependant pas être de tout repos, et j'ai trouvé cet aspect intéressant également.

Enfin, le style graphique, les dessins, les choix de représenter les "machos/conna***/et j'en passe" avec un visage spécifique : j'ai adoré tout cela, c'est beau, c'est intelligemment construit.

Je recommande sans hésiter.

Robert Gordon Wasson et son épouse Tina ont vraiment existé.
Je retrouve les grandes lignes du livre sur Wikipedia.
J’ai donc appris en le lisant ce que sont les psilocybes et l’évolution de leur utilisation. Prévisible ma foi même si le récit se veut tout à fait romanesque.
Nous apprenons aussi ce qu’il en fut d’un « centre de formation psychédélique » où l’on s’initie au LSD, et de quelques chimistes qui trouvent ces drogues de synthèse.
Bref : tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les produits hallucinogènes et sur les drogues !
Non même pas ! puisque je lis juste après dans un autre livre (Du côté sauvage de Tyffany Mac Daniel comment la culture du pavot devint l’opium. Ici cela tient sur 2 pages !
Franchement 2 pages sur les psilocybes (je ne me souviendrai sans doute même pas de ce nom cela m’aurait suffi ! Je ne suis sans doute pas assez scientifique pour apprécier !
Mais j’ai tout lu ! heureusement la typographie et la mise en pages est aérée !

Lien : https://poirson.marie-helene..

Le premier roman de Cosby était déjà très bon mais là c'est clairement meilleur. Déjà on a un super pitch, un couple de gay s'est fait exécuté et les 2 darons vont vouloir se venger, 2 darons qui avait pas accepté l'homosexualité de leurs fils, 2 darons qui sont des ex taulards, 2 darons qui sont à l'opposé : le redneck alcoolique et la grosse brutasse black, avec ça on part sur des bonnes bases. Clairement l'intrigue du qui a tué et pourquoi c'est assez sommaire mais l'intérêt du roman est pas là, c'est dans l'approche buddy movie avec ces 2 mecs qui vont devoir bosser ensemble alors que tous les oppose mais la vengeance et leur comportement de con avec leurs fils les rapproche. On va donc suivre ce duo atypique qui va péter des tronches, broyer des têtes, vider des chargeurs et pis picoler un peu aussi quand même, la relation qui se crée entre les 2 persos fait vraiment le sel du roman et le style d'écriture de Cosby est ultra efficace. Indispensable pour tout fan de polar badass.

Je voulais une lecture sans prise de tête et c'est exactement ce que ce livre m'a offert.
J'ai apprécié l'écriture de l'autrice qui m'a facilement embarquée.
L'histoire est très courte et est donc plutôt à une nouvelle. Par conséquent, le développement des personnages et de leur relation est très rapide.
J'ai tout de même apprécié April et Lucas qui sont tiraillés par leurs sentiments, leur différence d'âge et leur position liée à Anna, meilleure amie de l'un et fille de l'autre. Je les ais trouvé assez à l'écoute et compréhensifs l'un envers l'autre.
Si l'histoire avait été plus développée, je pense que leur relation aurait pu être très belle.

Un thriller psychologique captivant, qui sort des sentiers battus.
Il est (trop) rare de voir décrite l’ambivalence qu’une mère peut ressentir face à son enfant, de se questionner sur la responsabilité de chacun (enfant, père, mère) quand les relations familiales font souffrir, et de mettre à jour cette tradition de l’effort que l’on impose aux femmes.
J’aurais aimé quelques pages supplémentaires pour mieux comprendre, mais je reconnais que le final est marquant.

Quel beau livre ! Du début jusqu'à la fin de la lecture, on est tenu en haleine par des rebondissements. Un roman feministe et critique de la politique. Des héros des temps modernes abîmés par la vie mais qui continuent d'avancer. Sur un fond historique de l'Italie du début du siècle, et les tribulations bourgeoises de la famille Orsini . Une belle écriture riche, et facile à lire. Il y a toutes ces phrases percutantes qui vous laissent songeur. Un livre qui vous fait voyager en Italie, avec la beauté des description des villes et des Arts, sans jamais de longueur. Toutes les émotions sont si bien exprimées . Un livre qui ne laisse pas indifférent.

Décidément autant j'ai aimé les tomes 1 et 2 de cette série qui m'ont vraiment enthousiasmée, autant j'ai peiné dans le tome 3 et dans celui-ci.
Je trouve que ça devient lourd, c'est trop tout : trop de mots, trop de sentiments, trop de psychologie, trop de tout en fait ... blablabla ....
C'est peut-être mon état d'esprit qui a changé ? Je boude par anticipation, ayant été très désagréablement surprise d'apprendre que ce qui devait être une trilogie va devenir une sage de 5 à 7 volumes, je ne vois plus que du délayage ...
Dans ce prequel, nous rencontrons les différents personnages de la saga avant le tome 1 et qu'ils se rencontrent. On y voit dons une galerie de personnages écorchés, amochés, incomplets, et majoritairement en attente de quelque chose/quelqu'un qui va combler un vide ou donner un sens à leur vie (ce sera Arya, bien sûr).
Les clins d'oeil à des héros d'autres histoires sont toujours assez nombreux, et parfois je ne vois plus que ça...
Je ne suis pas sure du tout que ce tome était indispensable, j'y vois plutôt un texte pour surtout faire patienter les lecteurs....
C'est toujours bien écrit, avec un vocabulaire choisi, même si je trouve de plus en plus les phrases trop chargées.
J'ai été vraiment enchantée des deux premiers tomes, la déception des tomes 3 et préquel est d'autant plus grande.
Le tome 4 est paru, je vais le lire, mais si je ne m'y retrouve pas, j'abandonnerais surement la saga ....

Ce roman ne se lit pas il se dévore ! Le décor est campagnard et nous ramène à nos racines, on a hâte de découvrir ce fameux secret de famille qui risque de bouleverser la vie d'Ambre!!!!
On rebondit, on imagine, on vit les émotions au fil des pages et les sentiments d'Ambre deviennent les nôtres.... L'auteure a su garder le suspense tout en nous faisant découvrir des lieux et périodes bien différents, elle nous "sert" des petits indices qui titillent notre imagination et au final met en avant de bien nobles sentiments ..... A lire ou dévorer , au choix!

« Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi
Retournons au pays d'autrefois
Comme avant, dans mes rêves d'enfant
Pour cueillir en tremblant
Des étoiles, des étoiles »

J'irais bien au pays d'autrefois, celui de mon enfance, pour y cueillir des étoiles avec cet aigle noir de Barbara. Je retournerais bien dans le jardin de mon père pour y observer les oiseaux fendant le ciel, se faufilant dans le feuillage des haies ou arbustes, ou lui chapardant les fruits dans les arbres qu'il dorlotait. J'aimerais ouvrir de nouveau la fenêtre de ma chambre de bon matin pour écouter leur chant et rêver. Rêver que je m'envole avec eux. Légèreté. Évasion. Liberté...

« Les oiseaux, hôtes des jardins. De nombreux oiseaux fréquentent, régulièrement ou non, les jardins. Hormis les plus communs, ils sont rarement identifiés par les jardiniers, qui peuvent légitimement se poser des questions : quel est cet oiseau ? Pourquoi ne le voit-on pas toute l'année ? Que vient-il chercher ici ? Que mange-t-il ? Va-t-il occasionner des dégâts ? Comment l'attirer et le retenir s'il est utile ? »
Ceci est l'introduction de l'ouvrage qui vous donne une idée de son contenu. C'est un guide bien réalisé et complet, qui comporte de très nombreuses illustrations et croquis. On y découvre de nombreuses espèces courantes, leur manière de vivre, la façon de les attirer dans nos jardins, les dangers à leur éviter...

Allez, je retourne dehors pour observer les merles qui s'amusent à 1,2,3 soleil !

Cet essai à deux mains est un manifeste appelant les citoyens à construire un avenir pour la France mais aussi notre Terre, avec une vision plus humaine.

Les deux amis évoquent les maux de la société et dressent le constat d’un monde en crise de l’humanité.
Pour y répondre, ils présentent un projet en faveur d'une politique de qualité de vie fondée sur la convivialité et le bien être, ainsi que l'espérance d'une société saine et prospère, dont le fondement serait basé sur la solidarité, l'amour, et la compassion.

Car pour Edgar Morin, "l’espérance n’est jamais une certitude, mais la foi dans le possible".
Aussi, cet essai, un brin utopique à mon sens, plaide pour une approche humaniste de la politique et de notre société.

Tous les sujets sont étudiés : l'Etat, la démocratie, l'écologie, l'emploi, travail, l'économie, la consommation, les inégalités, l'éducation, la culture...

Nos écrivains estiment, dans leur quête du bien-vivre, qu'il est nécessaire de favoriser une culture esthétique artistique et morale, qui nous humanise (la poésie, la littérature, les arts,...).

Stéphane Hessel et Edgar Morin concluent leur propos ainsi :
"le vouloir-vivre nourrit le bien-vivre, le bien vivre nourrit le vouloir vivre ; l’un et l’autre, ensemble, ouvrent le chemin de l’espérance".

Enfin à la retraite ! Billie, Nat, Mary Alice et Helen partent en croisière. Oh comble de malheur, on tente de les assassiner. Nos quatre retraitées, anciennes tueuses professionnelles découvrent que leurs anciens employeurs les ont mis sur liste noire. Ni une, ni deux, les voici sur le chemin de la guerre pour comprendre et rendre coups pour coups. Un roman qui donne la pêche, sympathique à souhaits et qui se lit avec une facilité déconcertante et addictive. On sourit et on s'amuse à le lire. Une découverte.

Attention coup de coeur ♥

J'ai adoré ce premier roman dévoré en une journée. Le style, la construction, les personnages à la psychologie approfondie. Cette quête de vérité. Un roman que j'ai eu du mal à refermer, j'avais encore envie de passer encore un moment avec Isabelle.

Le roman débute par une lettre qu'Isabelle Flores écrit à sa fille le 14 avril 2003, un courrier accompagnant un manuscrit à lui remettre le jour de ses 16 ans si elle n'est plus afin qu'elle sache la vérité sur ses origines, pour ne pas souffrir de l'ignorance et du mensonge.

Isabelle est une très belle femme, sa beauté est un fardeau, une malédiction pour elle, une revanche pour Renée, sa mère qui l'étouffe, veut la protéger des drames du passé. Leur relation est compliquée. Renée est indépendante, volage, sans attaches.

Au décès de sa maman, Isabelle se rend compte que sa vie était construite sur un tissu de mensonges, qu'elle ne savait rien de Renée, qu'elle pensait orpheline depuis ses 13 ans, sans famille. Elle se souvient qu'enfant et même plus tard elle n'a jamais su être à la hauteur des espérances de celle-ci.

Portant la vie à son tour, son désir de maternité va la pousser à connaître le secret de sa naissance, elle va se mettre en quête de ses origines.

Nous allons découvrir le destin de trois femmes :

Isabelle, Renée et Esther. Isabelle va tirer un fil dans un labyrinthe pour peu à peu découvrir son histoire, le passé étonnant de trois générations. Elle comprendra le poids des secrets durs à porter qu'elle ne veut plus perpétuer.

Au-delà des mères, il y a des femmes et des destins tragiques, des combats à mener, des drames vécus. Impossible de donner la vie pour elle sans ouvrir la porte du passé.

Outre le poids des secrets, la transmission, les origines, il y a aussi le poids de la beauté et des apparences, des préjugés, mais aussi la complexité du rapport mère fille.

Les personnages sont attachants. La construction est parfaite. L'écriture est fluide, rythmée, poétique et non sans humour. Je me suis laissée embarquer par la plume de Luc Leens, sa sensibilité et son pouvoir d'empathie, un bel hommage aux femmes.

Un véritable page turner ! Un gros coup de coeur.
Lien : https://nathavh49.blogspot.c..

Dans ce 2e tome, on peut découvrir que Dinah est plus qu'une simple princesse pleurnicharde. Car si au début du tome 1 elle donne l’impression d’une petite fille gâtée, très vite elle apprend à devenir la reine du pays des merveilles et à accepter son destin. Celui d’affronter son père et de lui reprendre ce qui lui est de droit. Malgré les mains tâchées de sang, elle comprend très vite qu'elle ne peut pas l'aider : le royaume est dans les mains du roi.

Je ne connaissais pas Ernest Cuningham, hormis son nom et le titre de son premier roman, que je n'ai pas eu le temps de lire avant de céder à la tentation de lire celui-ci ! Ne pas confondre avec Benjamin Stevenson qui est le vrai auteur !

On ne peut pas vraiment parler de spoil en lisant le second avant le premier (je suis une habituée) car avec son titre il était difficile d'imaginer qu'il n'y aurait pas de meurtres !

Meurtres aussi il va y avoir ! Mais Ernest est devant une page blanche où les mots refusent de se poser ! En son for intérieur il se dit que s'il n'y a pas de morts, il n'y a pas de mots puisqu'il est un auteur circonstanciel !

Invité à un festival du roman noir qui va se dérouler dans le train qui traverse l'Australie du nord au sud, il se retrouve en compagnie d'auteurs de polars, d'agents, d'éditeurs littéraires et d'invités !

Ernest est le narrateur, l'acteur, le spectateur mais aussi l'enquêteur des événements qui vont se dérouler dans ce train qui roule au milieu de nulle part !

Dans son rôle de narrateur il m'a beaucoup amusé avec les questions, les réponses et les commentaires sans oublier les justifications puis les supputations ! J'ai vraiment trouvé très bien et très ironique cette façon d'entamer un roman, puis de donner tous les indices qui auraient dû ou devraient nous mener vers le(s) coupable(s) !

Humour noir et autodérision, un peu de surestimation de sa personne dans l'avis des autres passagers, ont donné des moments parfois cocasses ! Tout comme son professionnalisme auto-proclamé pour avoir vécu les événements de son premier roman !

Quelques personnages un peu plus en retrait, au premier abord, d'autres antipathiques et certains attachants ! Pour ma part j'ai rapidement été dans l'impossibilité de faire confiance à qui que ce soit car Ernest, en maître du jeu, a donné beaucoup d'informations qui n'ont cessé de rebattre les cartes !

Sans être un coup de coeur, j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir cet auteur et sa traductrice mais encore plus leur personnage un peu looser !

#Toutlemondedanscetrainestsuspect #NetGalleyFrance

Challenge Gourmand 2023/2024
Challenge Multi-Défis 2024
Pioche Polar juin 2024 : Sallyrose

Cet ouvrage La vie n'est pas un roman de Susan Cooper est excellent. Nora contacte Susan Cooper, romancière de très grand talent et très reconnue dans le monde entier, via Instagram "Je l'ai tué, aidez-moi s'il vous plait".
Susan Cooper s'apprête à boucler ses valises pour s'envoler au Salon du livre de Monaco où elle est très attendue. Que va-t-elle décider ? Ce message la tourmente... Elle ne sait qu'elle décision prendre, venir en aide à Nora ou ignorer son appel à l'aide ?
Bref, Susan va lui demander dans un premier temps si elle a prévenu la police...? La suite, vous aller la connaître en lisant ce formidable livre qui est rempli de rebondissements ! Et l'on va du rire aux larmes, au rire surtout ! Quelle situation rocambolesque ! J'ai adorer ce roman ! 20/20 ! Tellement drôle !

Stéphane Carlier a signé une dizaine de romans, dont Le Chien de madame Halberstadt (Le Tripode, 2019), L'Enterrement de Serge (Le Cherche Midi, 2021) et Clara lit Proust (Gallimard, 2022) qui a remporté un grand succès et a été traduit dans huit langues.

Si vous êtes "en panne" de lecture ? Si vous avez envie de passer un bon moment ? Ce livre est pour vous.
Lien : http://binchy.canalblog.com/..

Court roman écrit en 1844 par Louis-Timagène Houat, jeune réunionnais contraint à l’exil à Paris, expulsé après un procès expéditif et des preuves inventées de toutes pièces, pour s’être élevé contre l’esclavage.
Il est difficile de penser à quel point il a été difficile pour les anti-esclavagistes d’essayer de se faire entendre, leur parole étant broyées par des intérêts plus forts qui avaient pour eux de tenir toutes les strates de la société.
Très beau livre qui nous rappelle combien la cruauté des hommes les uns envers les autres n’a aucune limite, surtout quand certains pensent être propriétaires des autres, et s’arrogent le droit de vie et de mort, et bien souvent également de torture sur ceux qu’ils considèrent non seulement comme n’étant pas des humains mais encore même à un stade inférieur aux animaux domestiques.

J'avais découvert la plume de Carène Ponte avec 2 de ses romans de Noël qui m'avait bien fait rire et là je la découvre dans un roman qui m'a beaucoup touché. J'ai beaucoup aimé découvrir Molly qui après la perte de meilleure amie Marie décide de vivre sa vie en étant heureuse en promesse à Marie.
Un magnifique roman sur l'amitié, l'amour, le changement de vie et surtout se rappeler qu'il faut vivre la vie qu'on choisit pour soi et pas pour plaire aux autres.
J'aime l'humour de l'autrice derrière ce sujet qui aurait pu être lourd.
Un coup de coeur pour moi.

Coup de ❤️
J’ai trop aimé le personnage de Vincent, cet auteur qui n’aime que les mots.
« Il n’aimait rien tant qu’écrire, entendre l’idée germer, les personnages lui parler. (…)
Autant se relire était une torture. Comme se voir sur une affiche ou s’entendre à la radio. »
Des mots que j’aurais pu écrire. Et le personnage d’Elsa, tellement vraie, tellement touchante. J’ai adoré ce roman qui m’a remuée les entrailles, peut être parce que cette douleur d’avoir perdu un papa, je l’ai connue, tout comme cette sensation d’avoir touché le fond, et de m’être relevée. Des mots magiques qui permettent de s’évader. Un excellent roman.