Résumé
Jean Lorentz, Chef cuisinier de renom de l'arrière-pays provençal au caractère exécrable, fait fuir un à un les membres de sa brigade. En l'absence de candidats, sa femme le contraint à accepter l'aide de son beau-frère, Cyril. Ancien cuisinier dans un petit troquet du Nord de la France, ce bon vivant désinvolte, paresseux et sans emploi, voue une admiration sans borne à cet homme qu'il connaît finalement assez peu. le Chef étoilé doit accepter à contrecoeur cette proposition. S'il est hors de question qu'un tel individu rejoigne sa prestigieuse brigade, sa femme, qui est aussi l'unique propriétaire de l'établissement, laisse planer sur lui des menaces de licenciement et de divorce s'il refuse la présence et l'aide de Cyril. C'est aussi contre son gré que ce dernier doit rejoindre les cuisines austères de son beau-frère et suivre l'organisation militaire du Chef Lorentz. Ces deux cuisiniers que tout oppose, vont devoir apprendre à travailler ensemble pour assurer la survie du restaurant et sauver leur carrière. Pourtant, ni Jean, ni Cyril ne se doute des surprises qui vont surgir dans leur vie et dans leur famille suite à leur improbable alliance.
Ce que j'en pense...
Bien que l'idée de base soit bonne, ce roman n'a pas été lu jusqu'à la fin et j'en suis bien désolée. Je me suis arrêté à la page 198 soit le chapitre 34. Ce roman venu d'Amazon et écrit par une jeune auteur manque de maturité. Dès le second chapitre, le vocabulaire est trop familier et les dialogues sont relativement "j'écris comme je parle". Je pensais que c'était voulu de la part de l'auteure, mais je suis obligée de constater que c'est une répétition. le déménagement semble ce faire en quelques heures (aucune notion de temps on valse du chapitre 1 qui démarre sur le comportement inadéquat d'un chef étoilé et boum on part directement sur le pantouflard qui déménage pour rejoindre ce resto étoilé qui appartient à son beau-frère) Grosse incohérence, car s'ils sont beaux-frères, le chef doit justement savoir la fainéantise de l'autre... soit passons ce détail. le gaillard a 47 ans, se dit diplômé, mais n'est pas capable d'éplucher une pomme de terre... La mère, la femme, les enfants... on a une grosse partie sur eux, mais de nouveau : aucuns descriptifs, aucunes émotions... c'est plat... comme une feuille de brique ! La narration est parfois intéressante et plus fluide et ensuite nous partons sur une narration qui fait "comte pour enfant". On attend, on tourne les pages, on s'accroche... mais on s'ennuie. Je regrette cette critique qui est bien la seule je pense que je rédige... Il y a du travail, cela est indéniable, mais ce roman aurait dû être relu, affiné, approfondir le vocabulaire, peaufiner le décor, les émotions... Je ne suis pas parvenue à finir ce roman pour toutes ces raisons malheureusement.