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EAN : 9782384220281
Magnus (28/09/2023)
3.82/5   22 notes
Résumé :
Jamais les hommes et les femmes n’ont été à ce point malmenés, niés, séparés les uns des autres, par une époque qui semble jurer leur perte. Une relation déjà difficile, chaque jour un peu plus empoisonnée. D’un côté les salauds qu’il faut déconstruire, de l’autre les malheureuses oppressées, victimes du patriarcat sexiste.

Féminisme Netflix, wokisme « non binaire », théorie du genre dans les écoles… L’évolution des rapports amoureux, de la sexualité... >Voir plus
Que lire après Raisonnablement sexiste : Remettre les hommes et les femmes à leur placeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Ce dernier ouvrage de Laurent Obertone, va sans doute frapper d'apoplexie certaines féministes tendance intégristes comme Sandrine Rousseau (j'adore sa verve), voir toute la mouvance de gauche (c'est la main où vous avez le pouce le plus à droite) ou mettre en PLS (position latérale de sécurité) Marlène Schiappa.
Je dis "sans doute", car en fait, ce livre ne fait que remettre l'Église au milieu du village (je sais, c'est "fasciste" d'écrire ça) et l'analyse, une fois de plus, correctement étayée, de l'auteur, vous prendra en défaut.
Vous ne me croyez pas? Vous pensez me convaincre en me disant que ce n'est qu'un scribouillard "d'extrêeeeme droite" et qu'il n'est que le niveau zéro de la vie sur terre! (et que Darwin est un idiot)
Alors franchement, lisez ce bouquin et nous pourrons en discuter après, sans haine ni passion, c'est un peu comme ceux et celles qui me parlent d'un certain bouquin d'AH sans l'avoir lu...
Bref, vous avez ici, dans ces quelques pages, la réponse à votre question existentielle, qui, si j'étais un peu présomptueux pourrait se traduire par "c'est quoi ce bordel ambiant?"
Alors sortez de votre cadre, faites vous mal ou plaisir, c'est du Obertone, c'est factuel et sans filtre.
A offrir à Noël, mais c'est aussi valable pour les communions, bar-mitsvah, l'Iqamah voir la gay pride.
Alors bonne lecture, et n'oubliez pas que "celui qui ne lit pas est condamné à croire les autres."
Et c'est à retrouver aux éditions Magnus
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Après des livres sur l'immigration et la violence, ici avec "Raisonnable Sexiste", il épluche les rapports, hommes,femmes, les gènes, les différences biologiques ect... Encore un bouquin qui va faire suer certains non-binaires.

Il annonce la couleur avec une introduction qui va vous faire sourire avec la création de notre cher Président. Notre talentueux dépeceur tape encore une fois dans la fourmilière en épluchant couche par couche chaque aspect du sujet avec un esprit consciencieux, des références et des chiffres

. On n'échappe pas aussi à sa pointe d'humour qui tire à vue avec son style d'écriture derrière qui finit le boulot. C'est un libre dense, mais tellement instructif, il remet l'église au milieu du village avec les gènes comme point central, l'héritage de nos ancêtres et notre lègue au futur. Je finis avec une citation du livre "Quand, on traverse l'enfer le mieux est d'aller tout droit".
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Sur les 3 parties, la première reprend le b.a. ba du couple (au cas où vous n'auriez rien compris durant votre vie amoureuse ??! :o ) et la dernière, énumère des centaines (!!) de conseils, dans un désordre bordélique, tous plus banals et inapplicables les uns que les autres... Selon moi : aucun intérêt.

Reste l'EXCELLENTE !! 2e partie (100 pages quand même !!) qui décrit chirurgicalement le "monstre woke" qui assaille nos civilisations soi-disant "modernes", et les conduit à l'anéantissement. Il s'agit peut-être au nom d'un humanisme qui préfère se suicider que d'abandonner toutes ses parties dégénérées ? Intégrer tout le monde, surtout les plus faibles, les plus déviants ?... La question reste en suspens mais c'est une description inquiétante, ultra-précise de notre monde décadent... Vous n'étiez pas certain que cette histoire de "wokisme à la con" était dangereuse ? Ben si ! Lisez ! Vous allez voir....

Du coup 5 étoiles pour le petit livre qu'il aurait dû être d'une centaine de pages et qui défouraille à merveille dans cette 2 eme partie, mais 1,5 pour les banalités "annexes", pourquoi ? quel intérêt ? pas compris...

En tout cas : À LIRE ABSOLUMENT !
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SYNOPSIS : Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus et elles veulent être des hommes ordinaires. Autant dire que le dialogue intersexe n'a jamais été aussi difficile dans notre société. L'auteur nous en explique les raisons et donne des pistes pour retrouver des relations harmonieuses.

CE LIVRE EST RAISONNABLE, même si certains hurleront aux stéréotypes, fascisme et autres anathèmes disqualifiants. Laurent O. utilise des trais d'humour décapants et sait décrire une réalité que la société voudrait effacer : celle de la complémentarité homme-femme. Mais j'ai le sentiment que ce livre a été écrit très vite. Trop vite. Il manque de structure, de construction, et donne l'impression d'une logorrhée fatigante.
3/5
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Citations et extraits (56) Voir plus Ajouter une citation
Pour résumer : mères, ne cherchez pas à figer votre enfant, et votre état. Votre amour bien compris n'est pas une toile ni un cocon, encore moins une confiscation, c'est une transition vitale et progressive vers l'âge adulte. On peut en souligner les étapes par les rites de passage, les initiations. Laissez vos enfants vivre, se mesurer et prendre des risques. Acceptez leur vie, leur marche vers l'autonomie. Oui, il ne veut pas.
Mais la mère doit. C'est ce qu'on appelle le conflit de sevrage. Ils ne sont pas en sucre, ne l'oubliez pas. Préparez-les aux épreuves, expliquez-leur que rien n'est plus efficace pour devenir. Apprenez-leur à se respecter, donc à se faire respecter. Apprenez-leur à s'émanciper de l'émancipation, notamment avec une offre intellectuelle suffisante. Réhabilitez les traditions calendaires, familiales, le goût de l'extérieur, de l'action. Transmettez le refus de la mode, l'estime de soi, l'importance du choix.
Tempérez votre empathie. Votre bienveillance ne sauvera pas le monde, surtout pas si elle le conforte dans sa faillite, en lui trouvant de fausses excuses. Prenez garde au « social », à la compassion humanitaire, à « l'aide aux personnes ». Tout cela flatte l'ego, mais consiste le plus souvent à maintenir enfoncé le « bénéficiaire » dans la spirale de sa misère. Ne participez pas aux théories du complot « égalitaires ». Ne privez personne de ses responsabilités.
Pères, n'abandonnez pas vos rejetons à la nurserie, à la nounou, aux enseignantes, à votre femme. Ne soyez pas l'extraterrestre de cette emprise féminine totale. Ne calquez pas votre comportement sur ceux des mères. Ne soyez pas un « nouveau père », c'est- à-dire un anti-père. Renforcez votre présence. Vos obligations, soucis et distance ne doivent rompre ce rôle d'exemple, ce lien au dehors et au réel, cette dispense plus rare et précieuse de conseils, ou plus encore de marques d'estime. Ne laissez pas votre bien le plus précieux marcher fièrement avec les clones, se flatter d'être l'indigné, c'est-à-dire l'immature fondamental. Désarmez plutôt l'intimidation. L'indigné, celui que tout fait hurler aux heures sombres, prétend à une sensibilité supérieure. Donc à sa supériorité morale. En manipulant vos craintes d'être accusé - « sexiste ! » -, il tente d'exercer sur vous sa domination.
Est-il judicieux de s'y soumettre? De singer un si triste modèle?
Prenez du recul. Si madame ne parvient à sevrer sa progéniture, soyez là pour l'en sevrer, elle. Rappelez à vos enfants que se bouffer le nez entre eux ne les aidera jamais à exister. Initiez-les à l'aventure, à la compétition, donc à la résilience. Ne cherchez pas à en faire des copies de vous-même. Félicitez-vous d'un caractère et d'une autonomie réelle, plutôt que d'une aptitude à digérer et se conformer. C'est souvent suffisant pour les ramener sur terre, et les vacciner de toute idéologie. Vous savez ce qu'est la vie. Tempérez les fables et la bienveillance de réalisme.
Le parent le plus responsable, le plus apte à gagner l'écoute, n'est pas flatteur, encore moins menteur. Ne fuyez pas la réalité. N'ignorez pas ses messages. Le tabou est le cancer de tous les clans. Soyez juste, ferme et mesuré. On aura confiance en vous.
Si vous voulez qu'on vous respecte, soyez respectable. La lionne est patiente, mais le coup de patte jamais loin. Mère, si tu estimes que twerker en boîte est normal, alors le crachat sur toi de ton fils le sera aussi. Idem, comment cet absent passif et victimisé, au travail comme au foyer, pourrait se prétendre père et être entendu?
Si votre enfant n'est le bien de personne, votre mission sera réussie. Ne pas s'autodétruire, ne pas se reproduire avec n'importe qui, défendre ses intérêts, se montrer toujours responsable et en quête de puissance. Voilà vos leçons ou plutôt votre exemple. Aucun gamin ne suivra un vieux radoteur qui n'a cure de ses propres sermons. Faites, et il fera, essaiera même de faire mieux. Pas besoin de mots. Le plus souvent les garçons ne se parlent pas, et les informations qu'ils échangent n'en sont que plus claires. Restez cet exemple toujours. Soyez noble d'être et d'esprit. Vieillir dans la force est le plus sacré des devoirs. Vous ferez des maquettes plus tard.
Pour conclure, les enfants ne sont jamais ce que les parents attendent. Vous vous adapterez à eux avant le contraire. Ce sera ingrat, et vous ne serez pas payé pour ça. Croyez-vous que les lions attendent un salaire?
Dans un premier temps, les enfants ne le voient pas, et s'en foutent. Tant mieux pour eux, et pour vous : ils sont libres. Votre don est un don, une mission. Pas un chantage, ni un placement avec intérêts. S'ils s'accomplissent, ils sauront, feront de même, seront, et votre mission sera accomplie.
Il est aussi possible, quelle qu'en soit la raison, que vous n'ayez jamais d'enfant. Ne vous suicidez pas tout de suite. Stériles, les fourmis soldats n'en sont pas moins utiles. Vous pouvez encore inspirer le clan, marquer ce pays, être l'exemple de quantité de parents futurs - ou faire hurler des journalistes. Tout n'est donc pas perdu.
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Faire des enfants. Comme le pouvoir, le désir, c'est une impulsion fondamentale, le premier de nos instincts de conservation. Nos ancêtres ont connu la faim, la peste, les tranchées, les glaciations et les tigres à dents de sabre, et ils ont fait des enfants. Heureusement qu'ils ne sont d'ailleurs plus là pour voir à quoi certains ressemblent - c'est un autre débat.
Affronter la vie, c'est accepter le déplaisir, l'épreuve, la souffrance, etc. C'est sacrifier l'individu à la mission qui le dépasse. La recette de l'immortalité selon Platon. C'est la même que la quête d'accomplissement, en plus grand. C'est l'aboutissement.
Le contraire de la lâcheté contemporaine, qui refuse l'un et l'autre et ose encore revendiquer des droits et de la considération. Immaturité onaniste qui sera sanctionnée comme il se doit par une condamnation au néant. La poussière retourne à la poussière, ou l'enfer biologique.
Ne manquez pas cette grande étape. Ne tuez pas d'un coup tous vos ancêtres. Ne vous égarez pas dans votre fuite, ne venez pas grossir les rangs de ceux qui n'ont jamais le temps, et qui finiront par ne plus l'avoir du tout. La fenêtre de tir ne revient jamais...
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Face à la concurrence déloyale, vous aurez besoin de toute la patience de la madone. Que l'esprit de Pénélope vous guide. Au poker, le mauvais joueur qui voit filer les parties sans y prendre part, et son tapis de jetons s'amoindrir, finit par paniquer. Il misera tout sur une mauvaise main, ainsi se perdra. Ne vous bradez jamais. Si vous êtes à la hauteur, votre tour viendra. Vous ferez peut-être moins de vues sur les réseaux, mais vos relations seront de qualité. Vos sérénité et détermination vous vaudront de solides amitiés, et peut-être contamineront votre entourage, en cette époque qui a tant besoin d'exemples.
Vous n'êtes pas féministe, ni minorité, ni précaire, ni encore moins shoppeuse ou instagrameuse. Votre identité est bien supérieure. Vous êtes une femme. Vous étiez avant Abraham. Vous êtes le fil de la vie, la splendeur de la nature, le centre de la cité. La véritable divinité. Votre choix, s'il est sûr, s'il découle d'un profond vouloir, vous donnera une incomparable valeur. La beauté n'est rien sans droiture, ni même l'assurance sans dignité. « Mon corps m'appartient donc j'fais c'que j'veux » est une ineptie. L'idiote inutile si fière de se saborder... Non, notre corps ne nous appartient pas. On peut se créer une propriété, mais pas celle-là. Notre corps est régi par des lois, physiques et chimiques, dont on ne dispose à loisir. Nous sommes un instrument. Il ne tient qu'à nous de choisir entre cacophonie ou harmonie. Oui, on a le droit de ne pas attacher sa ceinture, de se droguer, de se suicider, de disposer de son intelligence. Mais dans la vie adulte, nos actes ont des conséquences. Grandir, c'est bannir l'inconséquence. Réhabiliter la responsabilité. Quand on s'aperçoit que toute culture existe par le pouvoir, que tout pouvoir existe pour la séduction, que toute séduction existe pour la reproduction, que toute reproduction existe par le sexe, on se dit très vite que le relativisme n'a plus sa place. Cessons de nous donner des prétextes pour démissionner.
Il y a encore des Ulysse en ce monde. Si vous cédez au premier intrigant venu, si vous ne parvenez à exister sans puérilité, pouces en l'air, rire avec la foule, sans sexuation excessive, alors vous proclamez, vous hurlez votre pauvre estime de vous-même.
Respectez-vous. Soyez princesse, non pour attendre l'accomplissement venu d'ailleurs - c'est à vous de vous sauver -, mais pour être au-dessus des temps. Oui, c'est mieux de ne pas être un cageot, mais la plus grande des valeurs est en vous, dans votre comportement. Si le suivisme et son faux-nez la prétention à « s'amuser » vous bradent, alors vous ne valez rien. C'est à vous de mener le jeu. En commençant par ne plus courir après toutes ces désespérées dont la vie se résume à faire semblant d'être tellement heureuses.
Je n'ai pas dit que ce serait facile. C'est pour ça que c'est beau et que les joies seront grandes. C'est le prix de la magie.
S'il n'y a moins de princes, c'est aussi parce qu'il y a moins de princesses.
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L'amour réussi (qui ne repose sur aucun chantage) a plusieurs avantages. Il est d'abord un appui, un dédoublement des potentiels, non leur fusion. Un recul critique vrai sur soi, infiniment plus précieux et perspicace que l'amitié, qui cultive hélas si souvent la surface, le faux.
L'amour protège aussi de la mondanité, des soirées, du temps perdu, des comportements stupides ou mesquins. Rien ne fera mieux le tri dans vos relations. Si vous préférez « sortir » et « faire la fête » avec des inconnus, vous n'êtes pas adulte, ou n'avez pas d'existence, c'est un problème. Évidemment, si votre tendre moitié vous intime le deuxième jour de choisir entre « le foot ou moi », vous savez qu'il faut lancer ses bagages par la fenêtre, très fort et très loin. Et ça n'a rien à voir avec le foot. Cela dit, vous n'êtes plus un adolescent, et votre vie ne peut plus s'organiser au détriment d'autrui. Rentrer à quatre pattes d'un club louche au petit matin pour avoir fêté la qualification de Gueugnon en seizième de finale de la Coupe de France - avec des traces de rouge à lèvres et évidemment sans avoir prévenu Bobonne qui vous attendait pour l'anniversaire du petit -, ce n'est pas le meilleur moyen de le manifester.
Le couple, c'est deux personnalités qui se fécondent. Un sanctuaire, un bloc de résistance. La confiance découle de ce haut niveau de responsabilités partagé.
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N'oubliez pas qu'un connard le restera toujours. C'est à vous de bien choisir, et de maintenir. Ne pas tuer la bête, ne pas tuer la femme non plus. Faites- vous entendre, ne soyez jamais grossière. Ne dites pas « j'ai du caractère » pour justifier votre pénibilité. Ne devenez pas cette araignée abusive enveloppant mari et enfants dans sa bienveillance poisseuse. Votre vie n'est pas cette obstruction, ce regret éternel d'un passé réinventé, l'accusation en boucle de coupables imaginaires, votre mère, votre chef, vos collègues, etc. Votre vie, c'est votre produit. Votre pleine et entière responsabilité. À vous de la mettre en adéquation avec votre volonté. Commencez donc par vous comprendre. Écoutez votre corps, entendez ses messages. Il est probable que vous manquiez de fer, de zinc, de vitamine D, de magnésium, que vos humeurs négatives doivent beaucoup à votre hygiène de vie, et à vos aliénations sans perspective.
Au-delà de leurs divergences, hommes et femmes se rejoindront sur l'indépendance, et la fierté. Elles aussi doivent être fortes. Je pense même que les femmes, si elles sont plus sensibles ou démonstratives en apparence, sont plus ancrées dans la vie, plus fortes face à la mort, ou aux grandes épreuves. Elles puisent dans leur caractère de mère, de lionne potentielle, une résilience plus totale et complète. Elles ont ce devoir et cet instinct de compenser les faillites masculines, d'incarner face aux pires éléments ce dernier recours. L'homme offre certes ce côté protecteur, prompt à remplir les caisses ou corriger tel indélicat, mais la protection que lui apporte sa femme, si différente et moins visible soit-elle, est sans doute largement aussi importante, et profonde. Elle seule peut réorienter le jugement hâtif, offrir à l'impulsivité du recul critique. Pas pour le plaisir d'intriguer ou de contrôler - protéger n'est pas embaumer -, mais bien dans l'intérêt masculin, donc du couple. Votre jugement tempéré, votre intelligence sociale, lui épargneront bien des erreurs. Et si vous savez vous y prendre, il apprendra à ravaler son orgueil et vous faire confiance. Il aura besoin de votre assentiment pour déployer toute sa force. Tel Rocky enfin approuvé par Adrian pour aller se faire mettre la gueule en trois épisodes - parce qu'une petite référence beauf fait toujours plaisir.
Bref, qui que vous soyez, vous n'êtes pas des victimes, des lapereaux terrifiés, soumis par leur besoin de s'oublier. Chaque jour doit en faire la preuve. Et la faire à deux est encore plus nécessaire et délicat.
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