Chili Palmer, échaudé par le bide de son dernier film, se voit proposer une idée de scénario par un de ses amis qui se fera tuer sous ses yeux. Il va alors essayer de trouver qui l'a trucidé. Son enquête va l'emmener à jouer au producteur musical d'une fille dont il est un peu amoureux.
C 'est le roman qui a inspiré le film dont j'ai déjà parlé. On est vite tenté de faire les jeu des points communs et des différences. le film reste assez fidèle à son modèle. Mais dans la tonalité il est plus sombre. Il ne finit pas dans un grand happy end. Je regrette la traduction approximative, qui prouve un manque de culture : doit on vraiment traduire Notorious Big ?
Commenter  J’apprécie         10
Soyons concis : cette suite n'est selon moi pas du tout à la hauteur du premier volume.
Tirés par les cheveux, les situations ne sont pas droles, l'aspect polar pas interessant, la lecture est pénible. Dommage, car l'univers crée par Léonard était porteur et aurait pu donner des choses interessantes.
Commenter  J’apprécie         00
Faut jamais raconter un truc auquel tu réfléchis, faut pas t’entendre toi-même déballer ton histoire pour la première fois, à moins de savoir à l’avance comment ça sonnera aux oreilles de qui tu parles. Faut qu’il y ait un angle d’attaque, un point de vue. Et pour ça, tu dois d’abord connaître tes personnages, et à fond, hein, ce qu’ils bouffent au petit déjeuner, quel genre de chaussures ils portent… Une fois que tu sais qui ils sont, ils te laissent découvrir leur propre histoire.
Quand on veut entrer au top, ou même juste pouvoir se supporter dans la vie, il faut avoir ses propres chansons, mec, avec un regard perso, quelque chose en quoi on croit. Et comme si ça ne suffisait pas de se taper des reprises, en plus, on reprend les morceaux des Spice Girls, et ces pouffes ne savent même pas chanter, bordel de merde.
Si ce n’était pas notre mafia à nous, c’était peut-être la mafia russe. On lit tout le temps des trucs à leur sujet en ce moment, le crime organisé avec un accent russe, nos nouveaux gangsters. Ils viennent ici parce que chez eux, il n’y a plus rien qui vaille le coup d’être volé.
Les seules personnes qui venaient me voir étaient des gens auxquels les
banques refusaient de toucher, des individus à haut risque. Quant l’emprunteur ne peut fournir aucune garantie, il faut bien lui facturer un taux d’intérêt plutôt élevé.
Un putain de scénariste. Ces mecs-là, la plupart d’entre eux ne savent même pas où placer les virgules. Faut récrire la moitié de ce qu’ils font.
Be Cool (2005) | Official Trailer | MGM Studios