Ma dévotion

Ça a démarré plutôt bien pour moi, et puis dans la deuxième partie, je n'y ai plus cru ... Ce personnage féminin qui s'efface au profit d'un homme égocentrique et imbuvable, c'est pas possible pour moi ! C'est plus de la dévotion, c'est de la connerie.

Ca commençait plutôt bien, l'écrire est agréable et le début du livre , sans être passionnant est intéressant. Des enfants de diplomates , mal aimés se retrouvent et se consolent l'un , l'autre.
Elle aime la littérature , lui on ne sait pas trop . Ils arrivent à se libérer de leurs familles nocives en partant vivre à deux à Amsterdam . Puis commence un long monologue dédié à cet homme avec qui elle vit , sans être ensemble pour autant . Il devient un peintre célèbre . En gros , il a tout bon .
C'est long , ça tourne en rond , rien d'important ne se passe . C'est une longue narration rectiligne . J'ai abandonné aux trois quarts car comme je disait c'est bien écrit . le titre colle parfaitement à l'histoire , une véritable dévotion à un homme qui s'échappe.