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EAN : 9791092557497
426 pages
Fantasy éditions (12/01/2017)
4.28/5   9 notes
Résumé :
Six mini-romans qui entraînent le lecteur dans un univers de fantasy guerrière où les sentiments héroïques, les trahisons et les vengeances s'entremêlent.
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Quand l'auteur m'a proposé de lire son recueil de mini-romans, je n'ai pas hésité un instant, ayant aimé ses deux premiers (La Gloire Ecarlate et Par-delà les Ondes), que j'avais beaucoup aimé. J'avais hâte de retrouver sa plume, et de découvrir ses nouveaux projets. Et ce que l'on peut dire, c'est que j'ai adoré ce voyage. Certes, certains de ces romans sont assez glauques et parfois difficiles pour nos petits coeurs fragiles, mais on ne peut s'empêcher de tourner frénétiquement les pages.


Comme vous le savez, je ne suis pas trop fan du format nouvelles, mais ici, ce ne sont pas vraiment des nouvelles, mais des courts romans, où l'on a le temps d'apprendre à connaître les personnages, les apprécier ou les détester. Pour ce qui est de « La Gloire Ecarlate » et « Par-delà des Ondes », vous pouvez déjà retrouver mes chroniques, faites il y a plusieurs mois. Pour éviter de me répéter, je vous propose de suivre les liens, pour savoir ce que j'en ai pensé. Pour les autres, lisez ce qui suit !


Nous commençons donc par « Dans son Ombre ». Ici, nous suivons un ancien guerrier, qui a déserté son royaume, son grade et son équipe, n'étant plus en accord avec le choix du roi et les conséquences qui en découlent. Après plusieurs semaines de marche, il arrive dans un petit village, où il fait la rencontre d'une femme et de sa petite fille. S'il pensait n'y passer que la nuit, les nouvelles que lui apprend la femme, sont assez mauvaises. En effet, un être démoniaque sévit dans le coin, et tue les animaux et les humains qu'il croise. Ayant toujours en lui l'envie de sauver les gens, Ergan décide de rester plus de jours que prévu, pour les sauver de ces massacres continuels. Néanmoins, il ne peut pas traîner, étant donné qu'il est poursuivi par un tueur, qui est là pour le tuer, lui, le déserteur, le traître. Personnellement, je me suis énormément attachée à Ergan, car malgré son passé, il essaye tant bien que mal de s'en absoudre. Il a un lourd passé derrière lui, et a du mal à faire confiance, de peur de blesser l'autre. Il ne veut pas s'attacher, mais sa rencontre avec Mareen va changer quelque peu ses convictions. J'aimerais vous en dire plus sur cette nouvelle, ce qui s'y passe vraiment, mais la force de ce récit (et de tous ceux qui suivent), c'est que nous n'avons que peu d'indices. Nous découvrons au fur et à mesure ce qu'il s'y passe, et c'est une autre façon de découvrir une histoire et d' s'y imprégner. Sachez juste que cette nouvelle est sans doute ma préférée, car Ergan, derrière son côté gros dur, m'a beaucoup touchée et j'avais vraiment envie qu'il s'en sorte et reste vivant, pour pouvoir vivre une nouvelle vie moins sombre. Quant à la fin, attendez-vous à être surpris, autant que je l'ai été moi. Les apparences sont souvent trompeuses, et l'auteur nous le prouve parfaitement avec cette première nouvelle.


Ensuite vient « Les Corbeaux de Mereng ». Ici, nous suivons un petit groupe de brigands, qui a réussi à enlever une jeune fille. Mais qui est-elle ? Pourquoi semble-t-elle si importante aux yeux du chef ? Pourquoi tant de précautions pour qu'elle ne s'enfuit pas ? Que va-t-elle leur apporter vraiment ? Ces questions, vous vous les posez tout le long du récit, mais vous vous demandez aussi ce qui va se passer pour tout ce groupe. Vont-ils rester soudés comme le pense le chef ? Ou va-t-il y avoir des cassures, comme semble en être certaine cette prisonnière particulière. Il est vrai que j'ai eu un peu de mal au début avec ce mini-roman, mais très vite, j'ai été prise dans leurs aventures, car l'auteur réussit ce pari de nous surprendre à chaque fois avec une intrigue inattendue et qui nous tient en haleine à des niveaux différents. Je ne me suis pas plus que cela attachée aux personnages, néanmoins, j'ai apprécié les suivre et connaître leurs histoires. Mais je dois bien avouer que le passé du chef est assez surprenant et qu'on comprend mieux pourquoi il est devenu ainsi. Et c'est vrai qu'une fois qu'on le connaît mieux, on ne peut que comprendre ses réactions et ses revirements. Bon, je ne vous mentirai pas en vous disant que pour moi, la fin était assez prévisible, mais n'en est pas moins très bonne !


L'avant-dernière nouvelle « Vous mourrez tous ! » était assez particulière, dans le sens où nous suivons un homme dans la fleur de l'âge, qui est assez grognon, individualiste, et qui ne s'intéresse à rien d'autre qu'à lui (et encore). Mais lorsque qu'un groupe de barbares vient enlever trois enfants du village, le vieil homme se réveille, et décide d'aller sauver les petits, seul, sans arme de défense, qu'avec son corps maltraité par l'âge et sa motivation de les sauver. À partir de cet instant, je l'ai découvert sous un nouveau jour, et il a réussi à me toucher un peu. Il est certes taciturne, mais il faut dire aussi qu'il n'a pas eu la belle vie, plus jeune. Mais quand on touche à quelqu'un qu'il aime, il est prêt à tout pour le sauver. Et on dit bien que l'adrénaline décuple nos forces et notre intelligence, non ? Ici, c'est bien ce qu'il se passe, même s'il est vrai que certains passages étaient bien trop rapides et faciles pour moi, surtout vu l'âge du protagoniste. Mais encore une fois, l'auteur arrive à faire passer ça facilement, et on se prend rapidement au jeu, se demandant comme ce vieil homme va parvenir à être plus fort et plus intelligent que ses adversaires. Et on se rend vite compte que la ruse est son sixième sens, et on ne peut que ricaner devant les réactions des méchants, qui ne sont pas si rusés que cela ! Ils ne vivent que de combats, et ça se voit ! Quant à la fin, elle m'a beaucoup touchée, car l'auteur touche une nouvelle fois un sujet important (en réalité, il fait passer le même message dans chacun de ses mini-romans, mais d'une manière différente). J'ai tout de même eu le coeur serré, car je m'attendais à un peu plus de joie. Mais après tout, vu l'ambiance de la nouvelle, la joie n'aurait pas été la plus logique des réactions.


Et enfin, le dernier mini-roman « le dernier bastion », qui a réussi à me tirer quelques larmes à la fin, tant c'était triste et beau à la fois. Ici, nous sommes en compagnie de six individus, qui se retrouvent entourés d'ennemis, toujours plus puissants et nombreux. Pendant cinq jours, leur vie est mise sur la sellette, avec toujours cette question : « en sortirons-nous vivants ». Nous, lecteurs, sommes dans l'attente, sur des charbons ardents. On veut que tous s'en sortent, mais en même temps, nous savons qu'il y aura des pertes. Cette nouvelle est la plus dure de toutes, car ici, l'auteur va au bout de ses idées, au risque de nous fendre le coeur, mais aussi nous retourner les boyaux. Ses descriptions sont telles qu'on a l'impression d'être à leurs côtés, on a l'impression de souffrir avec eux et l'auteur n'est pas avare en descriptions, bien au contraire. Il met notre coeur à rude épreuve, mais c'est cela le meilleur : c'est que nous sommes vraiment, pendant ces cinq jours de malheur, dans un monde apocalyptique, avec une fin toujours aussi floue, même à la fin. Cette fin qui m'a, comme je l'ai dit plus haut, tiré quelques larmes, car, même si je sais que c'était la meilleure fin possible, j'aurai aimé autre chose. Mais après tout, s'il avait fait une bonne fin, ça aurait enlevé le réalisme de cette histoire si particulière.​ Je peux juste vous dire que j'étais tellement frustrée, que j'ai un peu embêté l'auteur pour avoir certaines réponses aux questions que je me posais. Et il a réussi à me calmer et à me donner envie de me jeter sur ses prochaines histoires, c'est dire. Mais va falloir patienter, hurmph...


En résumé (parce qu'à un moment donné, faut bien faire une conclusion, hein), c'est un recueil de nouvelles que j'ai tout simplement adoré. J'ai ri, tremblé, j'ai eu le coeur retourné et j'ai même versé quelques larmes. La force de ce recueil, c'est que l'auteur parvient en seulement quelques lignes à offrir à chacun de ses personnages une vie, un passé qui nous touchent plus qu'on ne le pense. Et à chaque nouvelle, il nous offre un message des plus importants : l'amour et l'espoir de voir certaines choses s'arranger. Je ne regrette absolument pas cette lecture, car j'ai vraiment passé de très bons moments de lecture. Je vous conseille vivement de vous y plonger vous aussi, vous n'en ressortirez pas indemnes, ça c'est certain !


* Je remercie l'auteur et Fantasy éditions pour leur confiance ! *
Lien : http://lire-une-passion.weeb..
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Well ! On dirait que j'ai peu de motivation à taper mes chroniques, ces derniers temps, mais je vais me rattraper avec cet avis sur un bouquin très riche !

Les Chroniques Écarlates est un livre rassemblant six mini-romans qui se déroulent tous dans le même univers de fantasy. Un monde sombre, bercé par les mêmes valeurs que les nôtres, aux codes parfois différents, et aux destins qui se croisent et s'entremêlent. de l'être amphibie différent des siens au vieillard qui tente de se racheter une conduite, le lecteur voyage dans des histoires qui ne font pas de quartier !

Si vous suivez le blog depuis un moment, vous vous souvenez peut-être que j'avais déjà lu et chroniqué en détail La Gloire Écarlate ainsi que Par-delà les Ondes. J'avais beaucoup apprécié. Entre le style d'écriture très affirmé et détaillé de Fabrice Pittet, et ses histoires aux intrigues poussées et prenantes, j'avais été agréablement surprise. J'ai donc relu avec joie les deux premières histoires, avant de me laisser transporter dans les quatre suivantes.

Force m'est d'avouer que j'ai ressenti une tonne d'émotions. Je me suis attachée à plusieurs, selon ce qu'ils faisaient, comme Dans son ombre, qui parle d'un homme qui va s'attacher à une femme et essayer de la protéger, elle et sa fille. Fleur bleue un jour, fleur bleue toujours ! Pour autant, j'ai aussi apprécié le vieillard dans Vous mourrez tous !, qui pourtant n'était pas un modèle de vertu mais cherchait à se racheter après une vie difficile.

J'ai retrouvé la richesse de l'univers de cet auteur genevois, que nous entrapercevions dans les deux histoires que j'avais lues avant le recueil. Je suis toujours aussi admirative de ce qu'il a réussi à construire et de l'imaginaire qu'il a mis en place, sans compter les trajets de vie qu'il a composés dans ce contexte. On s'y croirait vraiment ! Ce n'est pas très long, sauf que le moment est choisi, et le lecteur ne ressent pas de frustration quand il quitte les héros.

Parce que oui, je pense qu'on peut parler de héros. Tous n'ont pas des valeurs exemplaires comme leitmotiv pour avancer, on ne peut toutefois leur retirer le fait qu'ils avancent en se basant sur leurs principes. Ils croient, et ceci leur permet de poursuivre leur existence, ou d'y donner sens. Dans les Corbeaux de Merreng, clairement, le principal bandit n'est pas un exemple à suivre. Pourtant, son mode de vie et de pensée nous pousse à réfléchir sur la subjectivité de chacun, sur nos notions du Bien et du Mal dans nos propres sociétés. Chaque protagoniste a sa pierre à apporter.

Je pense qu'avec ces dernières lignes, vous pouvez entrapercevoir quelque chose de fondamental pour moi dans ce bouquin : chaque mini-roman nous parle de la société actuelle. Chacun peut nous faire réfléchir sur des problèmes d'actualité assez brûlants, parfois. Il y a la déficience, ou ce qui est considéré comme tel, il y a la déviance (ne pas suivre le chemin demandé ou espéré, ne pas être à la hauteur des attentes, notamment), la résistance au prix de sa vie, l'horreur de la guerre… l'univers de Fabrice Pittet est pour ceci d'une violence parfois déroutante qui ne va pourtant pas sans rappeler des choses que nous connaissons dans nos guerres.

Nous abordons là un point qui m'a un peu gênée, sans que je puisse en faire de reproche à l'auteur : la violence. La profusion de détails sur les créatures horrifiques m'a forcée à sauter quelques lignes (c'était tellement bien décrit que je voyais la bestiole alors que je m'en serais bien passée), et les détails guerriers dans les combats ont certes ajouté au suspens des scènes, mais parfois, j'avais du mal à déglutir. C'est en cela que je dis que l'auteur ne fait pas de quartier. La chose sensible que je suis a eu un peu plus de mal.

J'ai eu aussi un peu de mal avec l'imaginaire un peu trop effrayant parfois (si je vous parle de Sorcier des Charognes, tremblez, pauvres de vous !), bien que je reste admirative de tout ce que Fabrice Pittet a su mobiliser comme connaissances et inventivité pour composer tout ceci. L'univers en soi possède de nombreux ponts entre les histoires qui me fascinent, vraiment ! C'est hyper amusant de faire des liens entre les historiettes et d'avoir envie de pousser des exclamations surprises en réalisant quelque chose.

Cela me pousse à déclarer aussi qu'on sent qu'il y a un vrai travail de structure et de précision dans ces mini-romans. Même dans la plume, il y a du boulot, rien n'est laissé au hasard. du coup, le lecteur se sent maintenu tout au long du bouquin. S'il ressent de l'incertitude, c'est pour les personnages, parce qu'il partage ce qu'ils vivent. L'empathie est présente, même quand les protagonistes ne sont pas des « gentils ». Personne n'est tout blanc ou tout noir, c'est à nous de nous faire notre propre avis.

Au niveau des valeurs, comme je l'ai précisé, il y a pas mal de trucs à en tirer. La miséricorde est abordée, le refus de la fatalité aussi, le dépassement de soi et de ses craintes, surtout… on apprend aussi à changer son point de vue et à se mettre dans le regard de l'autre. La fidélité est une notion importante, le renouveau aussi et le combat pour la justice peut se retrouver. Je crois que chaque personnage nous montre que pour vivre… il faut donner un sens à son existence, une raison de continuer. Qu'elle soit bonne ou mauvaise, c'est ce qui nous maintient et nous permet de trouver la paix au final.

En conclusion, même si j'ai été un peu malmenée émotionnellement par une violence et un univers horrifique parfois trop détaillés pour moi (surtout dans le Dernier Bastion, qui parle pourtant de beaux sacrifices), Les Chroniques Écarlates nous embarquent dans des histoires prenantes et très riches. Riches par l'imaginaire, par les intrigues qui se nouent et se recroisent au fil du bouquin, et par les personnages qui ne manquent pas de nous faire réfléchir sur des points d'actualité aussi. C'est un ouvrage qui mérite qu'on s'y attarde, mais attention aux âmes sensibles comme la mienne !
Ce sera donc un 18/20 pour moi ! Bravo Fabrice, et merci !
Lien : http://leden-des-reves.blogs..
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Un recueil de nouvelles de littérature fantastique qui mélange les genres et nous donne à déguster des histoires diverses, toutes bien proportionnées et entrainantes...
La plume de l'auteur est agréable à lire, divertissante, une belle découverte que je recommande.
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Superbement écrit. Il fait voyager et chaque histoire monte d'un cran. J'y ai pris un monstre plaisir.
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Alors peut-être me trouverez-vous culottée de la comparaison, mais je n'ai pas peur de vous dire que j'avais le sentiment de me retrouver dans un univers à la David Gemmel. Eh oui, quand même.
Mais il faut avouer que je trouve la comparaison méritée
Lire ma chronique pour plus d'infos !
Lien : http://www.limaginarium.fr/l..
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Murka se redressa vivement, et son occiput heurta de plein fouet le menton de l'homme, courbé par le coup qui venait de malmener ses intestins. La hache siffla aussitôt. L'une des lames s'enfonça dans la mâchoire de l'individu, au niveau du larynx, et continua sa course vers le haut. Le casque à ailettes fut projeté à plusieurs mètres, et avec lui le visage et la moitié du crâne. Le cadavre atrocement mutilé ressemblait maintenant à une créature de cauchemars où os, sang, cartilage, cervelle et restes de dents formaient un faciès plat dénué de toute logique anatomique. Murka largua une insulte bien sentie en se détournant de la dépouille qui s'étalait dans la clairière.
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Ses deux ennemis se levèrent de leur cachette, les yeux emplis de terreur. Ils tirèrent une ultime fois. Un geste pourtant délié, acquis au court de leur longue et juteuse carrière de canailles, mais sans attendre, le guerrier avait bondi et avait roulé au sol, se faufilant sous la trajectoire mortelle. Lorsqu'il se releva, ses mains exécutèrent un mouvement flou et parfaitement synchrone. Deux poignards tournoyèrent en direction de leurs cibles. Les bandits s'effondrèrent sur les genoux et lâchèrent leurs arcs. Le premier palpait bêtement le manche du couteau saillant de son orbite. Le second vomissait des salves noires, une lame fichée dans la gorge.
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Murka contempla avec un certain orgueil le résultat de son attaque. Quatorze mercenaires au tapis. De leur côté, Les pillards ne déploraient qu'une seule victime, à savoir Fik Le Blanc. Une perte minime, compte tenu de la qualité médiocre de ses services. Dans une semaine ou deux, Murka aurait même oublié son visage.
Le chef des bandits essuya le fil de sa hache avec un chiffon.
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Video de Fabrice Pittet (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Fabrice Pittet
Remise du Prix du récit fantasy pendant le Festival méditerranéen du polar et de l'aventure 2017. Prix fondé par Olivier Lusetti conseiller littéraire de Fantasy-editions.rcl, organisé par la mairie de Port-Bacarès et le CML d'André Bonet. Les lauréats sont : Gabriel Féraud, Alain Bérard, Alexandre Bordzakian, Catherine Barcelonne et Guy Bosschaerts coup de coeur du jury et le grand Lauréat Fabrice Pittet. Écoutez-les nous parler de leur ?uvre sous le regard de Marie Duffaud ajointe à la culture.
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