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EAN : 9782266336598
200 pages
Pocket (02/11/2023)
  Existe en édition audio
3.06/5   1157 notes
Résumé :
" Elle avait entendu l'histoire de gens
qui se sont rencontrés au bon et au mauvais moment, de ceux qui se sont aimés jusqu'au bout, de ceux qui ont aimé sans pouvoir le dire, de ceux qui pensent " au début j'ai tout raté " et puis ensuite... "
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Critiques, Analyses et Avis (194) Voir plus Ajouter une critique
3,06

sur 1157 notes
C est l histoire d une femme d un certain âge qui rencontre un jeune homme, Jeremy, sur un bateau. Elle se rend à l enterrement de son grand Amour, avec qui la relation était terminée depuis longtemps. Jeremy va l accompagner…

Je suis tellement dégoûtée de le dire mais je suis passée totalement à côté de ce
roman. Pourtant j ai dévoré les premiers ouvrages de Marc Levy, je les ai adorés ( a part la série des 9) et j étais très contente qu il reprenne ses idées de base, a savoir les amours impossibles.

Mais quelle déception. Je
n ai absolument pas aimé les personnages, Peut être est ce personnel, mais Adèle ne m a absolument pas touchée. Je l ai trouvée désagréable, âgée, insipide, bizarre dans ses réactions, et même si je
comprends l idée de l auteur de créer une histoire d amour avec une différence d âge, je ne l ai pas trouvée belle. le côté moralisant, brusque, femme mûre d Adèle m a agacée. Et pourtant je n ai rien contre les personnes qui s aiment malgré les années qui les séparent. Mais ici c était vraiment étrange, fade, inintéressant.

Je n ai pas adhéré au fait que bizarrement ce qu elle vivait avec Jérémy, elle l avait vécu quand elle était plus jeune avec son grand amour. Comme par hasard… Et ces phrases surfaites,
que l on connaît, où ces situations totalement sorties de nulle part, comme par exemple rencontrer quelqu'un pour la première fois et lui dire sans préambule : «  Quelle est votre définition du bonheur ? ». Vraiment prévisible et plat.

Je répète, je suis désolée de cette critique parce que j adore le reste de ses oeuvres, mais malheureusement celle ci ne m a pas touchée…
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Je ne sais comment débuter ce retour tellement rien ne me vient à l'esprit concernant ce roman. Je n'avais pas tellement envie de le lire déjà, les étiquettes m'en disaient bien assez (romance, roman d'amour, littérature sentimentale). Non pas que je n'aime pas les romances, disons que j'aime de moins en moins et m'en éloigne de plus en plus. Pourquoi l'avoir lu alors me demanderez-vous ? Et si je vous répondais qu'on m'y a obligée, me croirez-vous ? ...

Bon d'accord, j'étais pas obligée, on m'a juste mis la pression (c'est tout comme non ?). Une amie me l'a prêté, m'affirmant qu'il est génial et que je finirai par le regretter. À force d'insister, j'ai fini par céder et n'ai donc pas de regrets (enfin si, mais pas ceux escomptés).

Alors donc ? Qu'en dire ? Je proscratine là car clairement je n'ai rien à dire... Difficile aussi de parler d'un livre où il n'y a strictement rien dedans... Je viens de lire 192 pages de vide... le seul avantage, c'est qu'à rien lire, on ne perd pas trop son temps... Deux petites heures à peine pour en arriver au bout...

J'exagère peut-être, sans doute suis-je méchante également... et je m'excuse auprès des lecteurs et lectrices qui ont apprécié ce petit roman, qui n'a clairement pas été écrit pour moi.

Dedans, il y a quand même deux personnages, Adèle et Jérémy, qui se connaissent ni d'Ève ni d'Adam, se rencontrent sur un paquebot (qui part d'où ?) et qui à l'arrivée (où ça ?) font route ensemble (où ça ?) pour assister à un enterrement (d'une personne que l'un des deux n'a jamais connue). Entre le départ et l'arrivée, ils se parlent entre deux moments de silence. Voilà voilà voilà...

Deux prénoms (Gianni et Rita) et le paysage (des oliviers partout) me font penser que l'auteur a voulu me faire voyager en Italie, ce qui reste à confirmer puisque ce n'est pas précisé... Mais alors tu parles d'un voyage... Plus soporifique tu meurs !

J'ai bien senti pourtant que l'auteur a voulu faire passer quelques jolis messages, du genre profiter du moment présent et se ficher du regard des autres, tout en abordant les thèmes de l'amour et de la différence d'âge. Mais voilà, l'histoire est tellement plate que je ne les ai pas entendus. Quant aux personnages, ils sont inconsistants, tout comme les dialogues. L'ensemble manque de crédibilité et de profondeur. C'est maladroit, peu naturel, pauvre en tout, fade, inintéressant, surfait, surjoué, improbable, pas convaincant pour un sou (et tout un tas d'autres adjectifs peu reluisants).

Inutile de préciser que je n'ai pas aimé. Avec Marc Levy, ça a toujours été comme ça de toute façon : soit j'adore (et il y a quelques-uns de ses romans que j'ai vraiment beaucoup aimés), soit beaucoup moins (et celui-là, je crois bien que c'est le pire du pire).

Enfin, sur ce, je vous laisse, il me faut aller rendre ce bouquin à ma copine, qui attend mon avis avec impatience !
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Adèle, femme mûre, voyage à bord d'un bateau en première classe. Elle se rend à des funérailles suite à la mort de son grand amour Gianni, beaucoup plus âgé qu'elle, avec qui elle a eu une relation dans sa vingtaine. Sur le paquebot, elle fait la rencontre de Jérémy, bien plus jeune qu'elle, qui voyage, lui, en troisième classe. Les deux cheminent jusqu'à la maison de Gianni et entament un long dialogue sur le sens de la vie, le bonheur, l'amour...

Dans ce roman de Marc Lévy, les personnages, surtout Adèle, m'ont insupportée. Elle semble faire la morale à Jérémie, a des réactions désagréables et ramène tout à leur différence d'âge. Jérémy, lui, croit tout savoir sur la vie et n'a aucune humilité. Est-ce lié aux dialogues tellement peu crédibles qu'ils en deviennent risibles ? Personne ne parlent de cette manière dans la vraie vie.

Rien n'est incarné. Je viens de parler des personnages, qui parlent trop, qu'on ne voit quasiment pas agir et qui en deviennent plats et sans relief. de même, aucune mention d'époque, de lieu, d'âge… Les personnages semblent tombés sur le papier, dans un décor certe joli, mais ayant la consistance du carton-pâte.

J'ai trouvé l'ensemble très démonstratif, superficiel et presque prétentieux, tant les dialogues sonnent faux et se veulent intenses et solennels.

Le voyage n'a pas fonctionné pour moi. A aucun moment je me suis sentie emportée par cette histoire, malgré une écriture fluide et un texte très court, écouté en moins de trois heures ! (Je n'aurais pas pu en écouter beaucoup plus…)

Je me serai fait un avis sur cet auteur très populaire que j'ai du lire plus jeune mais que j'ai oublié. Je ne m'en fais pas pour lui, ni pour sa maison d'édition et je sais qu'il a trouvé son public avec ces romans précédents et sans doute avec celui-ci aussi.

On ne peut pas plaire à tout le monde !
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Il y a vingt ans déjà, je découvrais sur les bancs de l'école Et si c'était vrai... Les années passent et pourtant, c'est toujours avec le même engouement que j'ouvre un roman de Marc Levy. En librairie dès le 22 novembr, Éteignez tout et la vie s'allume signe un retour aux sources. Dans ce court roman (nous ne sommes pas habitués), Marc Levy va à l'essentiel. Éteignez tout et la vie s'allume commence par la rencontre de Jérémy, organiste et Adèle, maître horloger. Sur un navire en plein océan, ces deux-là vont emprunter un chemin identique et différent à la fois. Marc Levy dessine le contour de personnages en quête de soi et imagine des instants de vie qui bercent le coeur des lecteurs. En deux heures à peine, je suis partie avec Jérémy et Adèle, attendant sagement à l'arrière de la décapotable, le dénouement. Éteignez tout et la vie s'allume, c'est une parenthèse dans le temps qui passe. J'ai aimé ce périple au creux des montagnes et des cyprès, j'ai adoré la magie des mots et imaginé Adèle en "Maître du temps". Je ne vous dirai rien de plus, car ce serait divulguer l'essentiel. Je suis cependant conquise par ce roman intimiste et mélodieux qui résonnera en chaque lecteur. Une lecture riche en émotions !
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Jérémy, passager de troisième classe reste sur le pont, sous la pluie, il rencontre Adèle, passagère de première classe, ça ne vous rappelle pas un certain Jack bien connu ? Ici ce n'est pas le bateau qui fait naufrage, mais le roman de Marc Lévy ! Adèle se rend à l'enterrement de Gianni son grand amour, qui l'a quittée il y a plus de vingt ans, elle a une soixantaine d'années et Jérémy est un jeune organiste qui veut prendre un nouveau départ dans un autre pays. A peine débarqués, Adèle cherche le jeune homme, l'invite à boire un café et finalement ils se rendent ensemble à l'enterrement puis tombent amoureux.

L'histoire est improbable, le titre fait penser à un feel good , mais c'est un roman d'amour peu convaincant. Les personnages sont peu attachants, Adèle est très donneuse de leçon et Jérémy joue les sages malgré son jeune âge, il sait tout sur tout. Les dialogues sont peu naturels, est-ce qu'on aborde un inconnu en lui demandant quelle est sa conception du bonheur ? La thématique d'un couple avec une grosse différence d'âge aurait pu être très intéressante, mais là ce n'est pas réussi. Les personnages sont très artificiels, Adèle est vraiment peu sympathique, elle donne une mauvaise image des personnes mûres. Elle a elle-même vécu un grand amour avec un homme plus âgé dans sa jeunesse et semble vouloir revivre la situation inversée, mais ça ne paraît ni spontané ni naturel. On ne sait pas non plus à quelle époque se situe l'intrigue, elle n'est sûrement pas récente puisque le bateau a une troisième classe où les gens sont à fond de cale.

Les dialogues sont peu naturels et trop grandiloquents, on ne parle pas de cette manière dans la vie. Les personnages tiennent de grand discours sur le sens de la vie, de l'amour et du bonheur, mais ça tombe à plat. Un livre très décevant pour moi, très commercial à mon sens et sans grand intérêt. Merci à Netgalley et Lizzie pour cette écoute.

#Éteigneztoutetlaviesallume #NetGalleyFrance !
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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critiques presse (1)
LeJournaldeQuebec
02 janvier 2023
Le dernier roman de l'auteur offre une pause dans notre monde tourmenté.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (81) Voir plus Ajouter une citation
Le destin n'est rien d'autre que la somme des choix que l'on fait.
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J’avoue ne pas avoir trop compris l’intérêt de ce roman. Pour commencer dans l’ordre des choses, on retrouve bien ici Marc Levy et son style, simple, mais très prenant, avec des personnages bien travaillés, plutôt attachant. Adèle est une femme d’un certain âge, qui voyage pour rejoindre et rendre hommage à son amour de toujours. Un voyage difficile, mais une très belle histoire. Jeremy, lui, est un jeune homme qui a tout claqué pour voyager, du jour au lendemain, sur un coup de tête (enfin presque). Leur chemin va se croiser : une jolie rencontre que j’ai fini par trouver très plate.

Je m’explique : j’ai beaucoup aimé le début du roman, la rencontre de ces deux personnages, leur histoire personnelle. Et puis, j’attendais une certaine évolution de cette relation, évolution qui a tardé à venir et qui finalement, s’est révélée ne pas être du tout ce que j’attendais. La tournure de cette relation est terriblement prévisible, et vraiment dommage. L’histoire aurait vraiment pu être pas mal, mais je trouve que ce détail gâche tout. À partir de cet instant, la fin de l’intrigue (même s’il n’y a finalement pas vraiment d’intrigue) était plutôt longue, et un peu stéréotypée.

Finalement, en refermant ce livre, j’ai eu l’impression de n’avoir rien lu. L’histoire aurait vraiment pu donner quelque chose avec plus de pages, plus d’approfondissements. Également, le titre n’a pas eu la signification que j’attendais. Juste une phrase, placée à un moment de l’histoire mais qui, à mon sens, n’en a justement pas, de sens. Je suis vraiment dégoûtée de ne pas avoir aimé ce roman que j’attendais impatiemment de lire ! Mais pour moi, avec Marc Levy, ça passe, ou ça casse. Aller, la prochaine fois sera la bonne !
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— Je me demandais si l’on pouvait apprendre la liberté. S’affranchir de ses peurs et du conformisme. On doit bien trouver, ailleurs que dans les livres, une façon de vivre.
— Tu veux dire d’aimer ?
— Oui, quelque chose comme ça. Pourquoi les héros de roman auraient-ils plus de courage que nous ?
— Parce qu’ils n’ont pas réellement de lendemains, ils n’existent que le temps d’une histoire.
— Justement, c’est parce que leur existence est limitée qu’ils n’ont pas peur. L’écrivain a conscience que leur temps est compté ; nous aussi, notre existence est limitée, mais nous nous comportons comme si ce n’était pas le cas.
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-Cette Camille n'avait donc rien compris.
-Compris quoi ?
-Que dans tes silences tu l'écoutais et que dans tes regards perdus tu ne voyais qu'elle ? Elle n'a rien vu de l'homme que tu es, ta délicatesse, ta curiosité, elle est passée à côté de cette lumière qui jaillit de tes yeux ? Que voulait-elle de plus ? Un homme qui ne sait aimer qu'au centre de son monde ?
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Combien de routes as-tu empruntées sans même regarder le paysage, parce que tu étais pressé d'arriver à destination ? Combien d'hommes et de femmes courent dans les rues, attentifs au seul rythme de leur coeur ? Combien de fleurs et d'arbres dont on ignore les noms, de senteurs merveilleuses à côté desquelles on passe ? La vie devient si différente dès que l'on ouvre les yeux, et que l'on tend l'oreille.
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Videos de Marc Levy (131) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Marc Levy
Un grand entretien avec Marc Levy autour de son dernier roman, "La symphonie des monstres" (Robert Laffont), qui évoque la guerre en Ukraine.
Une rencontre animée par la journaliste Karine Papillaud.
Notre site internet : https://www.festivaldulivredeparis.fr/
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