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3,64

sur 110 notes
Je reprends la définition de gentillet :. «  Qui est assez agréable, plaisant, mais sans grande portée » . C'est ainsi que je qualifierai ce roman.
Certes, un moment de lecture agréable, en compagnie de personnages sympathiques, mais contrairement au premier tome, je n'ai pas été transportée par cette histoire qui se veut trop édifiante.
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Cinq bons numéros et deux étoiles, il y a cinq ans. Comme un immeuble qui s'effondre sur votre tête, un petit Hiroshima, cent soixante-neuf millions d'euros ! Divorce dans le mois qui a suivi. Après cinq ans de dépression, une tentative de suicide, Jocelyne avec l'aide des Gagnants Anonymes refait surface et décide de dépenser tout son argent en distribuant le bonheur autour d'elle. Mais Jocelyne va avoir beaucoup de difficulté à dilapider sa fortune.

L'auteur propose une suite à son livre paru il y a 12 ans et suit toujours le destin de Jocelyne, gagnante d'une somme d'argent importante. Une fois de plus l'écriture de Grégoire Delacourt fait mouche. J'entends déjà ceux qui vont dire que ce n'est pas de la grande littérature, qu'importe, c'est un vrai bon moment de lecture. Un roman au ton léger, rempli d'humour, de bonne humeur, de tendresse et l'émotion affleure lorsque Jocelyne partage des moments avec son père dont la mémoire s'effiloche.

Les petites notes qui parsèment le récit sont savoureuses. L'auteur aborde avec dérision le rapport à l'argent avec des personnages attachants et il nous offre un épilogue aussi drôle qu'inattendu. Écrire une suite à un livre qui a connu un tel succès, c'était sans aucun doute un pari risqué, mais Grégoire Delacourt a su brillamment relever le défi. Un roman qui fait du bien, drôle, plein de charme et généreux.
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Je vais paraphraser la formule de Kevin, célèbre vendeur de la FNAC Parinor : « on pensait avoir touché le fond mais on avait oublié que Grégoire Delacourt avait une pelle ». Quand l'opportunisme prime, quand le marketing supplante l'exigence littéraire, on écrit un piètre roman.
Avec ce titre, le Rubicon du mauvais goût a été franchi. Même nos romancières à l'eau de rose (Valognes, Grimaldi, Tal men) n'avaient pas osé : se muer en franchise bon marché, en série commerciale. En Tuches.
Jocelyne, la protagoniste du premier volet, est propulsée dans un groupe de « gagnants anonymes » qui partagent leur expérience malheureuse de la richesse inopinée. Désolée mais moi, un idiot qui dilapide sa fortune en produits de luxe, ça ne m'apitoie pas.
Pour s'absoudre, Jocelyne distribue son pécule au tout venant (pages 63-70 à vomir), à la manière d'une bonne samaritaine (version grand magasin). Delacourt donne des leçons de morale (investir plutôt que dépenser), sort une liste (incorrecte, p142) de choses qui ne s'achètent pas en oubliant la plus fondamentale (le temps) et, tarte à la crème suprême, déclare que l'amour est la clé de nos existences.
Delacourt s'entête à nous prouver que l'argent ne fait pas le bonheur mais « in fine », il semble convaincu du contraire. de son récit transpirent sa fascination pour le pognon et son apologie d'un consumérisme vulgaire et débridé.
J'ai cru aussi déceler une forme de misogynie, une vision dépassée de la femme. Au mieux, ce sont des croqueuses de diamants, au pire des pleureuses que l'absence d'un amant désespère. Par pitié !
De cette histoire, je retiendrai seulement l'émouvante relation qu'entretient Jocelyne avec son père, atteint de la maladie d'Alzheimer. Elle s'invente des rôles pour lui donner l'illusion de la normalité. Belle trouvaille.
Bilan : 🔪🔪
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Je referme ce livre avec cette profonde réflexion que l'on se fait tous au détour d'une discussion familiale maintes fois répétée : " L'argent ne fait pas le bonheur mais il y contribue ". Qui n'a jamais prononcé cette phrase bateau ? La vérité,  c'est que l'argent,  n'est qu'une passerelle pour combler nos besoins primaires ( 1 toit sur la tête,  de quoi se sustenter etc). Une fois que l'on a accès à  cela , l'esprit est censé être plus ouvert pour atteindre les instants de félicité. 

Là où nous avons faux sur toute la ligne c'est d'imaginer que des voyages de rêve, de voir tous ses besoins matériels satisfaits et au-delà peuvent instiller en nous de la joie. Insatisfaits à  vie, insatiables et vides serons-nous.

L'argent nous pervertit , nous détournant les sens de l'essentiel. Excellent maître,  nous en sommes esclaves,  jusqu'à penser pouvoir acheter son bonheur...

Évidemment que cette satisfaction ne sera qu'éphémère, combien de fois puis-je moi-même le constater quotidiennement ....

Face à 1 flux d'argent qui nous dépasse,  c'est tout notre être qui se trouve déséquilibré, car trop d'argent enivre et fait sauter les barrières, ce système de cadre , de valeurs dont l'humain a besoin.  L'argent attire les profiteurs et les vils âmes comme les mouches sont attirées par la m**de. Parce que c'est une réalité,  il nous corrompt au plus profond de nous. A croire que l'on peut tout posséder, on oublie que les meilleurs instants de grâce,  de légèreté ne s'achètent pas et ne seront jamais palpables .

La plume de Grégoire Delacourt que je découvre, m'a énormément touchée, pourrais-je dire sans " machisme " au féminin qu'il a cette sensibilité féminine dans ses écrits ! 

Je me suis délectée de ces pages noircies de tant de vérités,  d'authenticité,  avec 1 naturel désarmant,  une plume affûtée et jubilatoire!

Grégoire brode les mots avec force  et poésie comme Jocelyne dégote les meilleurs tissus et boutons.

Jocelyne , protagoniste principale, va vous toucher au-delà du possible,  parce qu'elle est humaine,   n'a pas perdu le sens des réalités,  et toute cette richesse ne l'a pas rendue méprisable.  Malheureusement les rapaces même parmi les plus proches volètent autour d'elle car l'argent révèle l'adn de la noirceur humaine individuelle avec rapidité tel 1 test sanguin .

Ce livre ,un véritable trésor inestimable vous procurera de la joie et une introspection profonde , car l'auteur sait y distiller des vérités avec humour et dérision. 

Jocelyne et ses " acolytes" du club des "GA" (gagnants anonymes) vont à  travers leurs ressentis,  leurs observations , leurs désillusions,  nous recentrer sur l'essentiel : le bonheur,  aussi fugace soit-til , ne s'achètera jamais. Embarquez avec eux dans ce livre et vous verrez si vous rêverez encore de gagner au loto...

La force de l'amour entre Jocelyne et son père,  à  qui les souvenirs et son identité même lui ont été dérobés , Jocelyne et son fils , mettent en exergue que les délices s'accomplissent là où notre coeur sait capturer et chérir  les instants du quotidien , les plus simples,  les plus fugaces et en fait les plus profonds. Ceux qui jamais ne vous feront perdre pieds mais vous garderont ancrés et connectés à la réalité.

On peut être riche financièrement,  être très entouré(e), mais  infiniment seul(e).

On peut être riche d'âme,  pauvre,  seul(e) ou entouré(e) mais être quoiqu'il en soit incroyablement heureux(se).

Seuls les coeurs où filtrent 1 tant soit peu de lumière sauront capter cela et l'appliquer...

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Une suite plaisante et qui fait toujours autant réfléchir

« Est-il possible que le désir ne vaille pas pour lui-même mais pour autre chose - le manque, la convoitise, la jalousie ? Mon esprit débordait, mille phrases, mille coups m'assaillaient. Comment avais-je pu être aveugle à ce point ? Pourquoi être amoureux rend-il si vulnérable ? Pourquoi notre argent rend les autres malfaisants ? Pourquoi les mamans n'ont-elles que le temps de nous enseigner les beautés du monde, jamais ses ombres ? »

Retour vers mon ancienne vie. Je m'en rappelle comme si c'était hier. Dans la nuit d'un jeudi au vendredi, à Alger, après une soirée festive… J'avais dévoré la liste de mes envies plutôt que laisser l'insomnie me dévaster. Et j'avais tellement aimé. Je disais et je réitère pour cette suite : c'est un roman qui fait du bien et qui fait réfléchir.
Grégoire Delacourt ne change pas une équipe qui gagne.

« Tout le monde n'a pas d'argent, a expliqué Romain, mais tout le monde est riche de ce qu'il possède, et quand ce qu'on possède a de la valeur pour un autre, cela devient une monnaie. »

On retrouve par conséquent Jocelyne et toutes ses qualités humaines : sa générosité, sa gentillesse, ses peurs, sa bienveillance et ses petites folies. A l'instar du grand frère, on passe du rire aux larmes, on s'énerve et on compatit. Et on réfléchit.
Il y a un petit côté Amélie Nothomb dans cet opus. Vous y apprendrez des mots (connaissez-vous un trouple ? savez-vous définir une catachrèse ?), vous philosopherez et verrez la vie différemment.

« Dans ma tête se crayonne alors la liste de ce que j'attends de la vie : la gentillesse, la générosité, la tolérance, le respect, la courtoisie, l'équité, la miséricorde, la simplicité, la nature, l'amour. Rien de ce que l'argent puisse acheter, en fait. »

Après 47 ans de hauts et de bas, je partage de nombreux points communs : respect et courtoisie, c'est la base ; simplicité et gentillesse car pourquoi chercher midi à quatorze heures ? pourquoi vouloir péter plus haut que son cul ? Cela changera quoi ? Tolérance même si ce mot… m'a offert de bien tristes moments, nature (et mes beaux paysages landais), équité, amour…
Et vous qu'attendez-vous de la vie ?

« L'argent doit permettre d'avoir une vie debout. D'être un être qui marche. Qui décide C'est à cela qu'allait servir le mien. »

L'intrigue en quelques mots : Jo a récupéré un chèque de 15 millions sur les 18 gagnés. Jocelyn a craqué et lui a renvoyé ce qui lui appartenait. Il aurait souhaité également revenir mais… Que faire de cet argent ? L'offrir ! Sans contrepartie, juste aider. Et la commencent les ennuis, les surprises et autres incompréhensions.
La loi, les jalousies, les intérêts fourbes, les malhonnêtes, … Jo va tout connaître.
Rassurez-vous, c'est une belle histoire car ce roman est gai, ce roman est drôle et émouvant, ce roman est « feel good » car comme l'écrit Grégoire Delacourt « et chacun dira ce qu'il voudra, mais c'est quand même plus agréable à lire qu'un livre sur le nombril souffreteux ou ulcéré de son auteur. »

L'écriture est simple, positive, touchante, addictive. Comme pour le grand frère, on tourne les pages avec gourmandise, on lit le tout d'une traite.
Rendez-vous dans 12 ans pour le suivant ? Possible !
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💰MONEY MONEY💲
Il y a une dizaine d'années, on avait eu un gros coup de coeur pour "La liste de mes envies" de Grégoire Delacourt et on n"avait pas été les seules. 1,5 millions d'exemplaires vendus et de lectrices qui avaient adopté comme une soeur Jocelyne, mercière à Arras et gagnante à l'euro million qui refusait de toucher son pactole par peur de perturber sa vie et de tout gâcher...
Lorsqu'on a appris que Grégoire Delacourt sortait la suite, on s'est dit : Quelle bonne idée ! On avait très envie de retrouver Jocelyne, son bon sens, sa tendresse, sa gentillesse un peu naïve, son romantisme, son humour.
On aurait vraiment aimé aimer. Hélas ça ne l'a pas fait. On est passé à côté. Pour filer la métaphore de la mercerie, on a trouvé que l'auteur brodait un peu trop et n'avait pas matière à une suite.
Ok "l'argent ne fait pas le bonheur", on le sait, et c'était déjà le thème du premier roman. Ici, rien de neuf et surtout, on n'a pas retrouvé l'ambiance du premier roman, même si ce fut lecture pas déplaisante.

Mais ce n'est que notre ressenti et notre humble avis. Faites-vous votre idée ! Et si vous n'avez pas lu "La liste de mes envies", précipitez-vous !

Bisous et bonne journée 😘 Fran et Flo 🍒
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CAPTIVANT
Dans La liste de mes envies,Jocelyne avait gagné 18 millions qu'elle refusait d'encaisser.
Dans cette suite très attendue, il lui en reste 15, et une seule envie.
Les dépenser.

Dix ans après le succès phénoménal de la liste de mes envies 1, 5 million d'exemplaires, best-seller international traduit en 35 langues, adapté au cinéma et au théâtre Grégoire Delacourt réussit, avec La liste 2 mes envies, son pari : le retour de Jocelyne, la mercière d'Arras, encore plus surprenante, plus drôle et plus touchante.

Grégoire Delacourt revient avec un tome deux de la liste de mes envies. On y retrouve donc Jocelyne la mercière d'Arras et on suit ses péripéties en tant que gagnante du loto qui, cette fois-ci, compte bien les dépenser.
Elle se rend aux réunions de Gagnants Anonymes où elle prend conscience des conséquences d'une telle situation.
Mais comment utiliser cet argent à bon escient ?
L'argent peut-il vraiment faire le bonheur...?
Grégoire Delacourt vous donne des réponses...


Comme pour ses précédents romans, je suis tombée sous le charme du nouveau roman de l'auteur. Un roman captivant, drôle, écrit d'une plume toujours aussi juste et pertinente.
Des thèmes cruciaux sont abordés avec beaucoup d'esprit (amitié, amour, bonheur, générosité...) et une belle leçon de vie et d'humanité s'en dégage.
Je ne peux que vous le recommander!
Un énorme coup de coeur !
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Si vous n'avez pas lu le 1er roman, passez votre chemin, lisez le, et revenez me lire ensuite, je vais en dire trop ! 😉

L'histoire :

On retrouve Jocelyne Guerbette, mercière à Arras, qui a pu récupérer 15 millions sur les 18 avec lesquels son mari était parti dans le volume 1.

Grégoire Delacourt prend soin dans les premières pages du roman de resituer et restituer les événements et les personnages du 1er livre. Néanmoins je pense qu'il sera tout de même agréable de lire ou de relire La liste de mes envies, ne serait-ce que pour le plaisir de faire plus connaissance avec Jocelyne et son entourage.

On retrouve ici son papa qui perd la mémoire en boucles de 6mn, ses deux meilleures amies coiffeuse à Arras et cette fois-ci en couple avec le même homme (!), et on fait plus connaissance avec son grand fils, Romain.

Jocelyne fait désormais partie des GA, les "Gagnants anonymes", et leurs échanges dans des groupes de paroles viennent ponctuer le roman régulièrement.

C'est très touchant de voir comment des gens dont on idéalise la vie, vue de l'extérieur, qui ont pu gagner d'énormes sommes d'argent, se débrouillent avec cela... ou pas ! Ou maladroitement...

Notre personnage principal, 51 ans, désire à tout prix faire le bien autour d'elle-même, et va chercher tout au long du roman à offrir son argent à différentes personnes. Ce sera tout le sel du livre, et de le faire avec discernement et intelligence ! Tout le monde n'est pas de cet avis, sinon ce serait trop facile...

La liste 2 mes envies tout comme la première, n'est pas à mon avis un roman "spectaculaire" au sens du grand spectacle, c'est un roman humain, humble, très ancré dans une certaine réalité, même si peu de gens gagnent autant d'argent, mais c'est justement la vie classique de Jocelyne qui m'intéresse le plus !

J'ai beaucoup aimé le livre, sans y mettre un coup de coeur, même si on devrait en mettre à tous les écrivains, ne serait-ce que par cette facilité à nous emporter et nous faire vivre des aventures et des vies, j'ai passé un très bon moment en compagnie de cette magnifique femme qu'est la gagnante de Arras. 😊 La magnifique fille créant des vies uniques à son père, la magnifique mère compréhensive et généreuse, la magnifique amie laissant du temps au temps et la magnifique amoureuse ! ❤
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❤️ La liste de mes envies 2 ❤️Le nouveau roman de Grégoire Delacourt

Jocelyne, vous souvenez vous de cette jeune femme attachante, généreuse et timide, qui avait gagné au Loto et dont la vie s'était délitée petit à petit, par ce trop plein d'argent débarqué dans sa vie?

Sa liste des envies toutes simples.
De celles qui rendent heureux
La liste de ses besoins, de ses folies
Et l'argent qui avait fait fuir le bonheur

Le temps est passé par là
Jocelyne a vieilli, son mari lui a rendu son argent

Que faire de sa vie?

Jocelyne, toute sa vie, c'était sa mercerie, ses pelotes de laines, ses boutons, le mohair, l'angora, la soie, le cachemire. Et puis son joli blog "dixdoigtsdor".

"L'argent c'est de l'eau ma petite fille, ça emporte les choses, c'est l'amour qui les amène" dixit son papa, atteint de la maladie d'Alzheimer pour qui elle réinvente une vie toute les 6 minutes, à chaque perte de mémoire.

C'est d'argent et d'amour qu'il s'agit dans ce roman.

Jocelyne, un jour, décide de jouer la mère Noël de sa ville, Arras.

Jocelyne veut le dépenser cet argent, coûte que coûte.
Et disperser des rayons de bonheur autour d'elle

Parce qu'aux Gagnants Anonymes, le groupe de paroles auquel elle assiste chaque semaine, elle se rend bien compte que l'argent ne fait pas tout dans la vie

Parce qu'après tout, qu'est ce qu'elle attend de sa vie Jocelyne?

Est ce que cela s'offre avec de l'argent?

L'argent permet il d'acheter le temps qui passe, les rêves fous?
D'avoir des amis, des vrais, ceux que l'on compte sur les doigts d'une main?
De trouver l'amour? Croire en l'humanité?

Pour Jocelyne, l'argent fait le bonheur.
Mais pas le sien, celui des autres

Et vous, quelle serait votre liste des envies si l'argent déboulait d'un coup, dans votre vie?

Envie d'aller à la rencontre de Jocelyne, ses amies coiffeuses jumelles un peu foldingues, son papa, son fils & tous les autres?

Plongez donc dans ce roman drôle et nostalgique à la fois qui aborde des thèmes profonds sous fond de légèreté

Et puis, vous prendrez un crayon, et peut-être, aurez vous envie d'écrire, votre liste des envies, de celles qui comptent vraiment dans une vie 🙏
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"L'argent permet d'acheter bien des choses : une maison, mais pas un foyer. Un lit, mais pas le sommeil. Une montre, mais pas le temps. Un livre, mais pas le savoir. Un spectacle, mais pas la joie. Un emploi, mais pas le respect. Des relations, mais non l'amitié.  Un médicament, mais pas la santé. du sang, mais pas la vie. le plaisir, mais pas l'amour. Des diplômes, mais pas ma culture. Des tranquillisants, mais pas la paix intérieure. Beaucoup de choses, mais pas le bonheur. " - Anonyme

C'était il y a plus ou moins dix ans que je lisais le tome un. J'en garde de bons souvenirs et j'étais donc ravie de retrouver Jo dans ce second tome.

J'ai beaucoup aimé ce livre avec lequel j'ai passé un très bon moment (j'ai, pour la première fois, testé l'expérience de l'écoute et de la lecture. C'est pas mal, ça permet finalement de ne pas s'interrompre pour faire le ménage...).

J'ai aimé les personnages, surtout Danielle (Françoise) grâce à qui j'ai beaucoup rigolé.

Le récit me plaît. C'est frais, fin, drôle, intelligent... j'aime les allusions au film sur Jo, qui finalement existe vraiment.

C'est une jolie fiction, si proche de la réalité dans ses analyses et réflexions.

"Tout le monde n'a pas d'argent, mais il est riche de ce qu'il possède"

Je vous conseille cette lecture.

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