Editions Thierry Magnier [corriger]

J'ai découvert #Stardust de Hannah Arnesen grâce à #NetGalleyFrance et aux Éditions Thierry Magnier, en service de presse numérique.



J'aurais bien du mal à catégoriser clairement ce livre : récit poétique ? recueil d'illustrations ? pamphlet écologiste ? A n'en pas douter : beau livre ! Malheureusement pour moi, je n'ai pas du tout accroché... Malgré la qualité des textes, des propos et des images (a priori de grandes aquarelles), je n'ai pas réussi à m'attacher à cette lecture, que j'ai fini par abandonner, en parcourant uniquement les dessins dans le dernier tiers. Il faut dire que le format numérique était mal choisi, et mal configuré car en double pages sur un petit écran (de tablette ou d'ordinateur).

Contrairement à ce que je pensai, ce n'est sans doute pas mon style et je ne suis pas la cible de ce type d'ouvrage, pourtant riche et original.



#Stardust #NetGalleyFrance

Encore un petit poche que j'aime découvrir ça et là dans les bibliothèques.

Deux frères passent leur temps devant la télé, en spectateur ou à jouer sur la console. " On se vautre dans le canapé, à ne rien faire d'autre que du gras" jusqu'au jour où le téléviseur rend l'âme.

Que faire pour occuper les vacances ? Trainant des pieds les enfants tentent de s'occuper ( les vélos avaient eu le temps de se couvrir de poussière et de toiles d'araignée ) mais une proposition d'une camarade les entrainera vers une occupation en lien avec l'été.

Très court roman, optimiste, à l'écriture vive et agréable avec de bons sentiments à l'appui. Une lecture, gourmande, de vacances.

J’ai adoré ce roman. Comme d’habitude, la plume de Nathalie Bernard est fluide et agréable (je ne pouvais pas m’empêcher de tourner les pages).

Dans cette histoire, l’auteure nous emporte dans une histoire d’amour originale qui s’éloigne des schémas classiques.

J’avoue ne pas comprendre les commentaires disant que Ash est toxique… C’est un humain certes un peu compliqué, avec des choses à gérer (un peu comme tout être humain finalement), mais il suffit de lire le roman jusqu’à la fin pour se rendre compte qu’il n’entre pas dans la catégorie des hommes toxiques.

D’autant que la protagoniste, Rose, n’a rien d’une victime et fait plutôt preuve de lucidité à mon sens.

Certes, la relation entre les deux personnages évolue très vite, mais parfois l’amour c’est ça. Se laisser emporter par une grosse vague inattendue et ne pas prendre le temps de réfléchir. (Toute personne ayant déjà vécue une histoire d’amour passionnelle se reconnaitra sans doute.)

Au-delà de parler d’amour passionnel, ce roman aborde pleins d’autres thèmes tels que le deuil, les secrets de famille, l’écriture, et prouve que les trésors cachés au fond de nous s’y trouve souvent pour nous aider à guérir.

Durant toute l’intrigue, on sent quelque chose qui plane derrière les personnages et on a envie de savoir quoi.

Enfin, Nathalie Bernard ne peut pas s’empêcher de glisser quelques allusions aux fléaux du XXIème siècle, tels que l’addiction à nos écrans, et le mal-être de la planète. Et ça c’est vraiment chouette.

J’ai cette manie un peu bizarre : lorsqu’un livre me touche particulièrement, je ressens le besoin de le serrer contre mon cœur après l’avoir refermé. Ce roman n’y a certainement pas échappé.