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« Le destin de Maddi m’a émue, bouleversée, je ne peux que remercier Edurne Portela de l’avoir présentée avec son cœur parce qu’elle a fait battre le mien plus fort tant je me suis attachée à Maddi, tremblant pour elle et ceux qu’elle aimait. »
Cassiopee42
« Ce roman c’est une histoire de femmes et de transmission, c’est une histoire d’amour de la nature et de ce qu’elle peut nous offrir, c’est aussi une ode à la vie et au bonheur, à la douceur de vivre et au lâcher-prise. »
Mariellep..
« Attention, ce livre est un puissant médicament contre la dépression ou toute forme de mal être. (...) Il faut déguster cette écriture, ces mots, comme des bonbons, des petits gâteaux avec un savant équilibre de sucré et d’acidité, mais dont on n’arrive pas à trouver les ingrédients. Il faut juste se laisser faire et savourer. »
didierpie..
« Des petits riens qui rythment la vie insulaire, faite de courts bonheurs et parfois de grandes peines. La guerre est toujours là, à distance, et le changement s'amorce, auquel il est difficile de résister. Mais Ingrid ne se laisse que rarement déstabiliser… Un roman d'une agréable lenteur, à l'atmosphère envoûtante, aux questionnements toujours justes sur ce qu'est être une mère. »
alexb27
« La laverie tourne et retourne les émotions, pour en extraire la pureté, laisser place à la rédemption. Ce livre apaise, l'espoir s'épanouit telles les fleurs qui volent, et la bienveillance enveloppe le lecteur. C’est une vague de tendresse, où nos tâches intérieures peuvent se dissoudre grâce à toutes ces petites réflexions philosophiques, un vrai souffle d’espoir. »
entre_les..
« Un roman qui se déroule lentement et nous offre au fil des pages, des quelques années de guerre, tant de scènes de vie, tant d’événements, de récits, d’instants volés à un quotidien révolu et qui pourtant, sous la plume de l’auteur, reprend vie pour nous, s’anime, comme un film en noir et blanc, pour nous offrir, tel un défilé de nuages, une fresque merveilleuse dans les montagnes piémontaises. Un roman d’une grande beauté, un hymne à un monde aujourd’hui disparu. »
read_to_b..
« Un père omniprésent, une mère dépassée, et une fratrie noyée dans un système familial autocentré. Un tableau que l'auteur Sara Mesa dessine avec une extrême finesse. Elle nous emmène sur un fil d'émotions toujours en équilibre, sans jamais tomber dans la lourdeur la tristesse ou le pathos. Une retenue qui illumine tous les membres de cette famille dysfonctionnelle. Au final un bonheur absolu de lecture. »
diesirem
« 'La Première femme' est un roman de femmes avant tout : comment se fait-on femme quand notre pays, notre clan et notre famille nous intime ce que nous devons être ? Nous voyons Kirabo grandir, avec beaucoup de tendresse, de rage parfois, de mélancolie pour ces femmes qui luttent pour leurs amitiés et pour les hommes qu’elles aiment. »
Eustachette
« Reinhard Kaiser-Mühlecker écrit un roman rural, fluide et passionnant, à la dramaturgie sous-jacente prête à jaillir d'un geyser de violence, qui questionne de nouveau l'héritage du nazisme, sans doute de manière plus suggestive cette fois. Un roman puissant et souvent beau, aux allures de grand et à la saveur d'une littérature classique, de celle qui laisse des traces à la fois sûres pour ce qui est de sa puissance évocatrice ou sa valeur, et incertaines quant aux questions qui peuvent continuer de vriller dans la tête du lecteur. »
Merik
« J’ai trouvé ce roman profondément sensible, sublime dans ce qu’il exprime de la nature humaine, de l’histoire d’un peuple, une véritable réflexion métaphysique qui prend le lecteur à témoin afin de ne jamais oublier ce qui fût, et dans un même élan de se projeter dans ce qui sera, sans omettre ce qui est aujourd’hui encore la réalité de la condition amérindienne aux Etats-Unis. Un coup de cœur total. »
Frederic524
« Les Femmes et la Nature ne font qu’Une. C’est d’une beauté insolente tant c’est fluide et évident. Elles sont alliées sans distinction dans cet espace temps hors norme. L’ensemble communique sans heurt, avec poésie, en communion. Ici et maintenant, hier et demain, ces pages parlent de nous, d’elles, de tous. C’est l’écho du cri intérieur de notre nature profonde. Il faut entendre avec le cœur. Les Femmes. La Nature. Ce livre est une fable, un testament et une prophétie. »
autantene..
« Entrer dans un livre d'Erri de Luca, c'est entrer chez un orfèvre de la langue. Son style est sans fioriture, il va à l'essentiel tout en arrivant à créer une promenade poétique auprès de personnages qui n'ont pas besoin d'adjectifs. Ils sont, c'est tout ce qu'on leur demande. Et c'est magnifiquement fait. »
Bartleby404
« Je n'ai arrêté ma lecture qu'en apercevant la côte. Je l'ai repris, sans pouvoir m'arrêter, moi aussi, prisonnière de ces champs de cannes à sucre. J'en suis sortie par une danse, presque une transe, celle qui nous laisse sur les genoux mais irrémédiablement libre. [...] J'ai tout aimé dans ce premier roman de Bibiana Candia. Si mon année s'arrêtait ici, il en serait ma plus belle lecture. Je vais me faire évangélisatrice et vous le mettre dans les mains, d'office. Sachez-le. »
hanyrhauz
« L'auteur nous propose une fresque historique richement documentée. Des personnages riches et bien développés. La lecture est assez captivante et romanesque. Une plongée en pleine révolution industrielle et du droit des femmes sur fond de romance inattendue. »
Nessa_int..
« Cela donne au final un témoignage tendre et touchant, intime et pourtant très pudique. Car avant de parler de guerre, il dit surtout tout l’amour qu’il a pour cet aïeule, un peu fantasque. (...) De ses saillies souvent drôles, de ses manies, de ses agacements qu’il revisite et comprend en découvrant les épreuves qu’elle a dû endurer, déployant une force de vie remarquable et une force de caractère insensée. »
Flo_heris..
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