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3.97/5 (sur 226 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Elmhurst, Illinois , le 19/08/1950
Biographie :

Mary Doria Russell est une écrivaine américaine de science-fiction.

Ses deux premiers romans explorent un des concepts les plus anciens de la science-fiction : le premier contact avec des étrangers. Dans ce cadre elle explore également la problématique encore plus ancienne de la coexistence d'une divinité bienveillante avec la douleur et le mal dans le monde.

Son premier roman, "Le Moineau de dieu" ("The Sparrow") a été couronné par le Prix John Wood Campbell Memorial en 1997 et les Prix Arthur C. Clarke et James Tiptree, Jr. en 1998.



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Citations et extraits (56) Voir plus Ajouter une citation
Attends. J’ai l’intention de te faire cadeau d’un conseil que tu ne m’as pas demandé, mon chéri. Je sais que tu vas trouver la formule toute faite, mais ne feins pas de ne pas éprouver ce que tu éprouves. C’est comme ça que tout sombre dans la merde. Les émotions sont des faits, dit-elle, la voix un peu dure, en se remettant en route. Regarde les dans le blanc des yeux et règle son compte à chacune. Fais le tour de la question, aussi honnêtement que tu le pourras. (…), c’est ce que tu fais pour te mettre en accord avec tes émotions qui compte.
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Les gens changent. Les cultures changent. Les empires s’édifient et s’écroulent. Merde, enfin, la géologie change. Tous les dix ans environ, George et moi avons dû faire face au fait que nous avions changé et qu’il fallait décider si c’était une bonne idée de contracter un nouveau mariage entre les deux nouvelles personnes que nous étions devenues.
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Je ne supporte pas l’idée que c’est uniquement parce qu’on est religieux qu’on se montre bon et vertueux. Je fais ce que je fais, dit-elle en scandant chaque mot, sans espoir de récompense, sans peur d’un châtiment. Je n’ai nul besoin d’être soudoyé par le ciel ou terrorisée par l’enfer pour me conduire correctement, je te remercie.
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Le Vésuve lui-même n'est pas capable de différer éternellement le printemps .
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Il y a des instants où nous sommes au milieu de la vie – des instants où nous sommes confrontés à la naissance ou à la mort, ou bien des instants de beauté ou la nature, l’amour nous sont pleinement révélés, ou encore des instants de terrible solitude, des moments où une conscience sainte et terrible s’empare de nous. Elle peut prendre la forme d’une profonde immobilité intérieure ou bien d’un violent débordement d’émotions. Elle peut paraître venir d’au-delà de nous, sans que rien ne l’ait provoquée, ou bien du fond de nous même, éveillée par la musique ou par un enfant endormi. Et si, en de tels moments, nous ouvrons notre cœur, la création se révèle à nous dans toute son unité et sa plénitude. Et lorsque nous revenons d’un tel moment de conscience, nos cœurs brûlent du désir de le capturer à tout jamais au moyen de la parole, afin de pouvoir rester fidèles à sa vérité supérieure.
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Ce qui ravissait le plus Anne Edwards, c’était de se dire que les humains et les VaRarhati des deux espèces éprouvaient les mêmes émotions fondamentales, car, bien qu’elle fût une femme dont l’intelligence avait été intensément cultivée, elle passait toutes les expériences au filtre de son cœur.
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Il avait aussi découvert la limite extrême de la foi et, ce faisant, il avait pu situer la frontière exacte du désespoir. Ce fut à ce moment-là qu’il apprit véritablement à craindre Dieu.
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Car il ne parvenait pas à sentir Dieu, ni à l’approcher en tant qu’ami, à lui parler avec la familiarité pleine d’aisance des dévots, à le louer avec poésie. Et pourtant, à mesure qu’il prenait de l’âge, le sentier sur lequel il s’était engagé presque dans l’ignorance avait commencé à lui paraître plus clairement délimité. Il devint plus évident pour lui qu’il était véritablement appelé à parcourir ce chemin étrange et difficile vers Dieu, ce chemin si peu naturel, si ineffable, ce chemin qui n’exigeait ni poésie ni piété, mais tout simplement de l’endurance et de la patience.
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Emilio pouvait être si détendu, si drôle que l’on oubliait parfois qu’il était prêtre, et l’on était soudain tout surpris en remarquant l’expression de son visage pendant la messe, ou en le regardant faire quelque chose d’ordinaire extraordinairement bien, conformément à cette habitude qu’ont les jésuites de faire de leurs tâches quotidiennes une forme de prière.
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Il n’aurait pas été foutu de vider une botte pleine d’eau, même si on avait collé le mode d’emploi sous le talon.
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