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William Warwick

Série de 5 livres (En cours). Écrite par Jeffrey Archer (5),

Qui ne tente rien   par Archer
tome : 1
Ni vu ni connu par Archer
tome : 2
Le pari des Warwick par Archer
tome : 3
Plutôt mourir par Archer
tome : 4

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Plutôt mourir

Suite aux événements du tome 3 nous retrouvons notre inspecteur Will Warwick et sa femme partis en croisière vers NYC. Cadeau d'une amie de Beth, Christina, ex-femme du malfaiteur Faulkner que Will a emprisonné et qui est décédé il y a peu.

Alors qu'une mort suspecte lors de la traversée attire l'attention de Will son patron décide de créer une nouvelle unité qui devra gérer les cold case.

Pourtant malgré tous les événements Faulkner est toujours présent à l'esprit de notre limier... est-il vraiment mort ou son instinct a-t-il vu juste ???



J'adore cette saga ! Malgré le peu de pages, moins de 350, il se passe toujours tellement d'événements qu'on ne peut qu'être happé !  Pas moins de 5 enquêtes sont menées, souvent en même temps ce qui ne laisse absolument aucun repos au lecteur !

Un petit air de James Bond avec des gadgets originaux pour l'époque (nous sommes fin des années 80! Les outils à la disposition des enquêteurs sont limités)

J'adore le père de Will que je trouve très drôle et dans ce tome je me suis beaucoup attaché à Ross, son collègue qui va se la jouer Zorro !

On me demande souvent s'il est possible le lire un tome de saga indépendamment... alors oui MAIS dans ce cas précis, sans connaitre le passif de Warwick/Faulkner vous perdriez au moins la moitié du plaisir ce qui serait dommage !



Ca vous tente ???
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Le prochain sur la liste

Malgré de très nombreux succès par le passé qui sont parvenus à satisfaire des millions de lecteurs, je ne connaissais pas Jeffrey Archer et n’avais d’ailleurs jamais entendu parler de l’un de ses romans ne serait-ce que de nom. J’ai toujours eu une petite réticence à me lancer dans un livre dont la moitié de la couverture est consacrée à vendre le nom de son auteur plutôt que l’intrigue présente à l’intérieur à l’aide d’accroches telles que « Best-seller » « Plus de 27 millions de lecteurs »…



La lecture de la 4e de couverte m’a totalement convaincu que je devais laisser une chance à cet auteur en espérant fortement que les succès annoncés en 1ère n’étaient pas les seuls argument de vente pour cette nouveauté. Il me semble qu’il ne m’a fallu que trois pages pour comprendre que je tenais entre les mains un roman policier de très haute volée.



Le style de Jeffrey Archer ne se retrouve nulle part ailleurs. Il parvient, à l’aide d’une structure narrative tout aussi changeante que solide, à immerger le lecteur au coeur de l’intrigue, un peu comme si nous étions en train de vivre le récit aux côtés des personnages. Cette structure complexe est associée à une plume d’apparence très simple permettant d’accentuer cette impression que le récit n’est autre qu’une transcription d’événements réels.



L’auteur informe, dès le départ, que ce roman lui a demandé d’innombrables heures de recherche, ni même qu’il n’était pas rare qu’il écrive des dizaines de versions d’un même roman avant de le soumettre à son éditeur. On en vient donc à se demander si l’intrigue s’orientant autour de Lady Diana n’est tout simplement pas vraie. Alors que des événements tragiques se produisent tout au long de l’intrigue, je ressentais ce sentiment étrange de vouloir intensément que tout se soit réellement produit.



En plus de nous proposer une trame globale, Jeffrey Archer n’hésite pas à alimenter son récit d’intrigues secondaires qui permet à tous les personnes d’être reliés aux autres permettant ainsi de former un ensemble parfaitement cohérent accentuant, une fois de plus, ce sentiment d’immersion dans un univers qui existe vraiment.



Quelle ne fut pas ma surprise d’apprendre, dans une note de l’auteur avant la page des remerciements, que Le prochain sur la liste est un roman faisant partie d’une suite consacrée au personnage de William Warwick. Autant j’ai toujours eu un faible pour les séries s’orientant autour d’un même personnage, celui-ci est d’autant plus fort que lorsque l’auteur parvient à rendre chaque livre indépendamment des autres permettant ainsi aux nouveaux lecteurs de pouvoir prendre le train en marche sans être le moins du monde lésé tout en offrant aux habitués une évolution du protagoniste principal.



Benjamin

Le Parfum des Mots
Lien : https://leparfumdesmots.blog..
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Le prochain sur la liste

Londres 1988

William Warwick et son acolyte Ross Hogan, les agents les plus expérimentés de la MET, ont enfreint toutes les règles en ramenant de force Miles Faulkner à la prison de Belmarsh d’où il s’était évadé l’année précédente. Et l’avocat de ce dernier se réjouit déjà de leur faire un procès.



Le divisionnaire les sort momentanément des affaires criminelles et les charge d’une enquête interne à la brigade de protection de la famille royale. Car depuis les récents attentats, il circule des rumeurs selon lesquelles un membre de la famille royale serait la prochaine cible des terroristes. Alors avec un chef de brigade qui ne répond plus aux ordres et pense qu’il n’a de compte à rendre qu’à la famille royale, la priorité absolue pour Scotland Yard c’est de faire du ménage dans ses troupes pour éviter la catastrophe.



Ce volet est le 5eme et dernier d’une série consacrée à William Warwick. Personnellement je n’ai pas lu les précédents. C’est dommage côté personnages, mais ça n’est pas gênant pour suivre l’histoire.



J’ai bien aimé le jeu des acteurs. Je dis acteurs parce qu’ils jouent tous un rôle, qu’ils soient flics ou voyous. Côté voyous, on n’a pas affaire à des débutants mais à des pointures, et de jeux de dupes en faux semblants, c’est à celui qui sera le plus malin pour cacher son jeu et assurer au mieux ses arrières. Côté flics, c’est tout en nuances. Car si certains flirtent avec les limites pour assurer leurs missions de flics, d’autres basculent carrément dans la catégorie voyous.



Le récit est rythmé, sans temps mort avec une bonne dose de suspense et quelques passages inquiétants. L’auteur semble bien connaître les rouages de la justice et des unités de Scotland Yard ce qui donne de la crédibilité à l’histoire. Et quelle bonne idée de semer des bouts de réalité dans la mission de garde rapprochée de « la princesse du peuple ». On s’y croirait presque !



Malgré sa notoriété, je n’avais encore jamais lu cet auteur. A relire sur un one shot ou le premier d’une série.



Je remercie la ME pour ce Service de presse

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