Un polar estival idéal pour l’été. Une enquête de Malin Fors, enquêtrice à retrouver dans les autres opus de la série de l’auteur.

Ici des jeunes filles disparaissent, d’autres subissent des violences mais toujours cette peau diaphane laissée (trop) propre. Qui est derrière ces délits en série? Comment Malin va réagir quand sa propre fille va se retrouver elle-même prisonnière de ce monstre?



Un récit qui nous emmène en Suède au cœur d’un été caniculaire. J’ai aimé l’ambiance, un peu moins la thématique mais j’ai trouvé que ce n’était ni trash ni vulgaire. Je n’ai pas l’habitude de lire des polars nordiques et notamment suédois je voulais tester. Je resterai je pense là-dessus car ce n’est pas le genre que je préfère et je trouve que le résumé en dit beaucoup trop sur l’histoire malheureusement ça a gâché certains rebondissements.



Le côté enquête est bien construit, les incursions « voix fantomatique » ajoutent du relief au texte et c’est tant mieux.



Une bonne lecture dont je ne garderai pas un souvenir impérissable.

Une histoire noire, avec une enquêtrice torturée et fonceuse, une écriture juste au service d'une histoire sombre et triste. Passionnant. J'en fus emportée. Tout est extrême dans ce roman: le froid, la noirceur, la douleur, la tristesse. Des personnages durs et seuls que seule la mort semble pouvoir délivrer. Une belle découverte qui donne envie de se plonger dans les autres saisons.

Des choses m’ont agacé. D’abord, les états d’âmes de Bengt le ballon dans les cieux. Alors là aucun rapport. D’ailleurs l’auteur laisse tomber à mesure que l’histoire avance. Franchement, ça nuit à la crédibilité de l’histoire et de l’auteur. Deuxièmement, les réflexions des personnages mal séparées s des dialogues. Ça casse le rythme et ça fait un peu saccadé comme flot. Le personnage principal est intéressant, quoiqu’encore affublé d’un problème de boisson, qui décidément semble toucher les policiers scandinaves. Pour celui où celle qui aime les dénouements clairs et nets, vous repasserez pour celui ci puisqu’une partie seulement de l’enquête est résolue et laisse en suspend une portion qui sera sûrement exploitée au prochain opus du détective. Somme toute, correct, mais pas un wow. Par contre, je me laisserais tenter par la suite..

J'avais adoré le premier tome "Hiver" que j'avais dévoré en à peine une semaine.

Donc j'ai enchaîné sur "Été" tout naturellement.

Et bien cela a été tout un challenge pour le terminer. 7 mois pour en finir !!

Plus de 400 pages où l'enquête ne progresse pas et n'est pas très passionnante. On dirait vraiment in brouillon, je ne sais pas si c'est une volonté de l'auteur pour donner un effet justement brouillon au vu de la difficulté des meurtres et agression. En tout cas ce n'est pour moi pas un grand succès.

J'ai par contre apprécier le rythme des 100 dernières pages que j'ai réussi à lire en à peine 24h et qui étaient pour le coup vraiment prenante.



Le livre n'est pas abominable mais en comparaison avec le premier tome, il est largement en dessous.

J'ai apprécier qu'il y ait des liens direct avec l'enquête du premier tome. Même si je suis un peu déçue de celui-ci je vais tenter de lire le suivant, on ne sait jamais !

C'est l'été à Linköping. Il fait très chaud. "43,2°C à la station de Malmslätt". La commissaire Malin Fors est étonnée de cette température inhabituelle. Bon! c'est de la fiction ; en fait, la température la plus élevée jamais enregistrée à Linköping n'est que de 34°C. Pour quelle raison Mons Kallentoft a-t-il besoin de cette canicule imaginaire? C'est Zeke qui répond à cette question, en rejoignant Malin, sa supérieure, sur les lieux où une ado - Josefin - a été violée :"La chaleur paralyse le cerveau. Espérons juste qu'on ne ratera pas trop d'éléments dans cette enquête". Nous voilà prévenus, notre équipe de policiers de Linköping ne va pas briller dans cet opus! À cause de la chaleur! Voici donc un nouveau type de polar : le polar avec des policiers fatigués qui font pas mal d'erreurs. Original.

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Ce roman appartient aussi au type de polar ouvrant la porte au surnaturel. Ainsi, dès le début, nous sommes témoins d'une improbable transmission de pensée entre une ado disparue, Theresa, et sa mère. L'auteur va ensuite inclure dans le récit des réflexions de personnes décédées. Original. Malin et Zeke, déjà en charge de l'enquête sur le viol de Josefin, se voient confier également l'enquête sur la disparition de Theresa. Les deux affaires sont-elles liées? On suit alors la vie quotidienne assez terne des principaux protagonistes, ainsi que les allées et venues stériles et les discussions vaines des enquêteurs, et ce sous la chaleur de cet été caniculaire. Jusqu'à ce qu'enfin, il se passe quelque chose qui permet de mener des investigations plus efficaces.

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L'auteur possède des qualités d'écriture certaines : son roman est empreint de poésie, son style rend la lecture facile avec ses phrases courtes et son récit linéaire. Par contre, pendant les trois premiers quarts du roman, on s'ennuie par manque de tension ou d'avancée de l'enquête. Et les nombreuses incursions dans le surnaturel déstabilisent. Enfin, plusieurs des principaux protagonistes n'apparaissent guère sympathiques. Zeke peut être particulièrement odieux et Malin montre des préjugés sectaires. Quant à Waldemar, un autre policier, il est brutal et agit souvent en dehors des lois. Tout ceci fait qu'il est difficile d'accrocher à cette histoire. Notons que le précédent livre de Mons Kallentoft - Hiver - était supérieur en tous points à cet opus-ci.



Nota Bene : encore une quatrième de couverture qui ne doit en aucun cas être lue. Elle dévoile un rebondissement clé qui survient à 50 pages de la fin. Honte aux éditions Le Serpent à Plumes qui nous privent de l'effet de surprise!