On tombe dans les arcanes du mal et des fantasmes humains les plus décadents

Paul un type un peu paumé sur le retour et Sarah la flic atypique suivent des pistes aux nombreux rebondissements

On rajoute de la secte et voici un roman qui se laisse lire rapidement

09-1995- Paul Green, journaliste décroche l’interview de la plus grande star du moment Mike Stilth (chanteur et acteur mondialement connu)). Il lui pose une question sur Clara Miller qui déclenche la colère de la star. C’est le point de départ du roman qui nous fait pénétrer dans le monde des stars américaines, où règne alcool, sexe et drogue, un mélange détonnant. Pourquoi Clara s’est suicidée en se jetant dans le lac près de la résidence de Mike et elle n’est pas la première. Au départ elle enquêtait sur Mike comme elle le révélait dans un message envoyé à Paul ? Ce dernier va chercher à comprendre. Cela va le mener dans un parcours difficile de 1995 à 2006. Le romancier s’est beaucoup inspiré de Michael Jackson pour son personnage (la grande propriété inaccessible, les enfants isolés, l’obsession de l’hygiène). Le monde qui tourne autour de Mike est glauque et perverti. L’auteur se complaît à nous décrire des scènes difficiles en particulier avec les effets de la drogue. La trame de l’histoire a éveillé ma curiosité. Cependant j’émets quelques réserves. Pourquoi les écrivains français veulent absolument situer leurs histoires aux USA? Cette manie de citer des chansons étrangères sans donner la traduction me gêne énormément. Le récit est fait par plusieurs personnages à différentes époques. Cela nuit à la fluidité du récit. J'essaierai quand même un autre roman de O. Bal pour me faire une idée plus précise.

J'avais adoré l'Affaire Clara Miller qui m'avais très clairement redonné le goût de la lecture. Impossible de ne pas suivre la suite des aventures de Paul, le journaliste investigateur ! Coup de cœur renouvelé avec La forêt des disparus, le deuxième volet du triptyque "Paul Green" (3 romans choral dont les changements de point de vue sont la plus grande force). Et enfin... la conclusion des affaires de Green : Méfiez-vous des anges.



Si j'ai moins aimé cet ultime ouvrage, ou les points de vue proposés sont, selon moi, moins intéressant (une policière, c'est assez classique!), j'ai retrouvé ce cher Paul que j'ai fini par apprécier (et ce n'était pas gagné car il est quand même bouru ce Paul. Bien joué Olivier !)  !



Même si je n'ai pas eu de coup de cœur pour Méfiez-vous des anges et son enquête sur les sectes au cœur de Los Angeles, je considère ce livre comme indissociable des 2 précédents (même si on peut les lire indépendamment les uns des autres - mais je trouve ca dommage). Je ne peux que conseiller ce triptyque qui reste selon moi une pépite dans son ensemble !

Troisième tome de cette série dans lequel j'ai retrouvé avec plaisir Paul Green, notre personnage principal.



Dans ce roman il part à la recherche de Linda qui a disparu. Pour la retrouver il va aller jusqu'à intégrer une secte apparemment bien sur tout rapport



En même temps nous faisons la connaissance de Sarah, inspectrice qui enquête sur des personnes retrouvées tailladées : "les écorchés".



Ces deux affaires vont évidemment se rejoindre pour notre plus grand plaisir

Un polar agréable à lire sur fond de secte, de violences et de manipulation.



Malgré tout ce n'est pas un coup de cœur et ce n'est pas mon préféré d'Olivier Bal.



C'est quand même une bonne lecture avec le plaisir de retrouver notre anti-héros Paul.



Un polar à mettre entre toutes les mains.

Un roman très agréable à lire où non avons le plaisir de retrouver un Paul Green toujours en quête de justice (où de rédemption ?). Il croise la route de personnages plutôt attachants et "torturés"dont la policière Sarah Shelley que l'on aura plaisir de retrouver peut être dans un prochain bouquin. Une histoire de secte qui peut faire penser à l'excellent Cheptel de Céline Deanjean avec un final assez sympa. Un bon moment de lecture que je ne peux que recommander.

Deuxième tome des aventures du journaliste Paul Green après L’affaire Clara Miller. Paul Green s’est retiré dans une petite ville et vit en solitaire. Une jeune fille vient frapper chez lui et se dit en danger après avoir vu quelque chose de louche dans une forêt célèbre du coin, surnommée la forêt des disparus.

Je n’avais pas trouvé Paul Green particulièrement sympathique dans le roman précédent, mais l’intrigue tenait à peu près debout même si elle ne contenait aucune surprise. J’ai voulu laisser une deuxième chance à l’auteur, d’autant plus que je suis tombée sur ce roman à la bibliothèque. Le début est relativement prenant, toujours avec la même technique d’un chapitre par personnage. Mais ce sont tellement les mêmes ressorts que le roman précédent que cela a commencé à m’agacer assez vite. On rajoute quelques scènes assez dégueulasses impliquant des animaux, et cela m’a convaincue d’abandonner le roman. Donc Olivier Bal, ce n’est pas pour moi.

Attention, ce roman policier est un vrai page Turner !



Bien écrit, rythmé par le point de vue des différents protagonistes et l'enquête que mène un journaliste, Paul Green.

M'a parfois fait pensé aux romans de John Grisham avec ce côté journaliste-justicier du personnage principal qui fait tout pour que la vérité sur le "suicide" de son amie soit révélée.

Belle lecture pour moi.

Paul Green est journaliste et dans sa jeunesse, il a croisé la route de Clara Miller, une étudiante devenue journaliste comme lui dont il est un peu tombé amoureux. Quelques années plus tard, elle lui laisse un message énigmatique avant d’être retrouvée morte dans un lac.

Les chapitres du roman reprennent à chaque fois le point de vue d’un personnage à des périodes différentes. Cela donne un rythme qui fait que l’on ne s’ennuie pas, mais apporte un nombre incalculable de longueurs quand une même scène ou presque est décrite plusieurs fois par différentes personnes. Il y a énormément de répétitions aussi, comme si l’auteur ne s’était pas relu (par exemple, le rôle des fameuses cassettes audio dans la voiture de Green). Et les éléments de suspens n’en sont pas vraiment parce qu’on les voit venir très longtemps à l’avance.

Je ne me suis pas vraiment ennuyée pendant le roman mais j’étais loin d’être captivée. Le personnage de Green se veut complexe et torturé, moi je ne l’ai pas vraiment compris. Pourquoi cette obsession, finalement ? Qu’est-ce qui le tient réellement ? Il change d’avis et de point de vue sans réelle logique. Ce héros récurrent ne m’a pas beaucoup plu. J’ai pris le troisième tome à la bibliothèque et c’est la seule raison pour laquelle je vais le lire car ce personnage ne m’intéresse pas plus que ça.