Ce manga raconte l'histoire de Sôichi, un jeune garçon qui partage son quotidien avec les esprits de sa maison et vient en aide aux âmes perdues.

On s'attache rapidement aux personnages, même à ceux qui peuvent paraître agaçants.

L'intrigue est douce, malgré des thèmes parfois délicats.

Les dessins sont à la fois élégants et marqués, ajoutant du caractère à l'histoire.

Je suis impatiente de découvrir la suite, car en plus des petites aventures où Sôichi aide les âmes égarées, on perçoit qu'il a un objectif plus profond.

Je suis curieuse de voir où cela nous mènera dans les prochains tomes.

Assez déçue de cette histoire!

Est ce que j'avais des attentes trop définies qui m'a empêché d'apprécier ? Je ne sais pas.

Tout d'abord, je n'ai pas compris l'histoire. Qui est cet humain et que fait-il dans cette forêt au milieu des esprits avec qui il interfère?

Puis j'ai trouvé l'ambiance très pesante.

Ça m'a fait trouvé tout le monde, esprits comme humains très malheureux.

L'histoire est assez décousue et je n'y ai pas trouvé de magie.

A voir si la suite me donnera envie de continuer...

Pour la petite histoire, pour ceux qui ne connaissent pas, c’est une nouvelle collection faisant partie de la maison d’édition Rue de Sèvres qui édite des BD et a décidé de s’ouvrir aux mangas avec comme gérants de la collection Rémi Inghilterra et @thefoxstoryteller qui a lancé la librairie café “Le renard doré” à Paris et sorti entre autres les incroyables “Mémoires de la forêt”. Une dizaine de titres sortiront chaque année à destination des enfants et adolescents. Pour ce manga, il est prévu 5 tomes et 2 sont déjà sortis.



J’avais déjà été attirée par ce manga lors de sa sortie mais @guimauseterrier l’a mis dans sa pile à mood donc lors de mon dernier passage en librairie, mon regard est passé dessus et je n’ai pas pu résister. C’est un manga avec une ambiance très poétique et japonaise. On découvre l’histoire de Sôichi, un humain qui habite dans la forêt mystérieuse de Hoshigahara. Elle est particulière cette forêt car dès qu’un esprit entre dedans, il prend une autre forme et tout le monde peut le voir.



Le manga se compose de plusieurs petits passages d’histoire qui n’ont parfois pas de lien entre eux mais permet de mieux comprendre la forêt, ses habitants ou ce qu’il peut s’y passer y compris hors de la forêt grâce à un petit garçon qui vient de déménager dans la ville. Cela manque parfois un peu de cohérence mais j’ai bien aimé les découvrir. J’attends quand même de lire la suite pour savoir si j’aime plus ou que ça reste sympa mais sans plus.



Je n’ai pas été particulièrement attirée par les dessins mais ils ne sont pas désagréables à regarder, c’est juste moins mon style. Par contre, je n’aime pas du tout comment son dessinés les visages, surtout de profil mais même parfois de face, on ne dirait plus des visages d’êtres humains et ça m’a perturbé tout au long de ma lecture.

Dans la forêt de Hoshigahara les esprits côtoient des animaux qui parlent. Un lieu hors du temps où la magie opère à chaque instant pour celui qui veut bien la voir. Sôichi, un jeune garçon lié par un étrange contrat y vit et s'est donné pour mission de venir en aide à toutes les âmes égarées qui seraient de passage. Mais épuisé par les derniers événements et après avoir été malmené par Tornade, sa santé lui joue des tours. Pourtant il va devoir se ressaisir puisque de nouveaux arrivants ont fait leur apparition et ont besoin de lui pour les guider.







Difficile d'en dire plus sans spoiler ce qu'il s'est passé dans le premier tome ou en révéler trop sur celui-ci, mais je pense que vous aurez compris dans l'ensemble que cette série est en fait une suite de petites histoires qui en forment une grande. Sôichi aident les esprits perdus dont chacun a son histoire et cela l'aide à avancer dans sa propre quête dont je ne peux malheureusement pas parler. Je peux juste vous dire qu'il y a des esprits très mignons dans ce tome deux et que les messages délivrés sont toujours aussi beaux ainsi que les illustrations. C'est une vraie parenthèse dans un monde enchanté !







Pourtant j'ai ressenti moins d'émotions qu'avec le premier tome car le côté mélancolique est très marqué cette fois, que Sôichi est très en retrait du fait de son état et que les thèmes abordés au travers des rencontres avec les différents nouveaux personnages sont moins forts à mon sens que les précédents. Ce n'est pas une déception non plus mais j'ai eu l'impression de lire un tome de transition, comme si quelque chose de plus fort allait arriver par la suite. A voir donc ! 

Une vraie proposition artistique : dans cette forêt où l'on peut entendre l'esprit des choses, un humain passe son temps à les aider. A travers une magnifique direction artistique, avec des illustrations sublimes de la forêts qui donne un charme à la forêt et nous plonge dans une atmosphère bien définie. Ici, nous plongeons dans les tourments humains sous fond d'une pellicule dorée de surnaturelle. Des histoires touchantes. Est-ce que cela finira bien ? Vraie question tant l’œuvre oscille entre douceur et atmosphère orageuse. Personne ne sort insensible de la forêt D'Hoshigahara.

★ A l’écart du monde, là où la réalité se mêle au rêve, existe un lieu hors du temps…



C’est une enclave enchantée, un sanctuaire où la nature et le surnaturel se rencontrent, un havre de paix pour les âmes en quête de repos et de rédemption…



La forêt de Hoshigahara n'est pas simplement un décor, c'est un personnage à part entière. Elle respire, elle murmure, elle abrite une multitude de créatures qui, à leur manière, ajoutent au charme de ce récit.



Cette nature vivante et vibrante est magnifiquement mise en scène. Chaque feuille, chaque brin de mousse semble avoir sa propre lumière.



Le manga joue avec les frontières du réel et du fantastique, créant une atmosphère où le lecteur se laisse doucement bercer par la poésie des lieux.



Il y règne une certaine gravité mêlée à une fantaisie fascinante. L'atmosphère est imprégnée d'une profondeur émotionnelle. L’univers est foisonnant et déploie une richesse narrative qui exige une attention soutenue.



Il y est question de notre lien avec la Nature, d’amitié, d’attachement, de transformation intérieur,...



L’ensemble s’entrelace, se déploie équilibrant les thèmes sérieux avec des touches plus légères.



Les personnages évoluent dans un monde où la gravité de leurs expériences se mêle à la magie des lieux, créant une lecture immersive - souvent poignante.



Ces pages nous murmurent que le merveilleux se cache souvent dans les endroits les plus inattendus, et qu'il suffit parfois d'un regard attentif pour le découvrir.



Elles nous proposent un voyage au-delà du visible, un conte où la beauté réside autant dans les dessins que dans les silences.
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Extrait :

Le premier tome m’avais déjà bien emballée, c’est donc avec plaisir que je continue la série avec son second volume. Il y a vraiment une vague de mystère qui plane au-dessus de ce titre, je ne saurais pas dire précisément quoi. Comme il s’agit d’un Kodomo, il est supposé être pour les enfants, mais j’avoue que certains passages me paraissent tout de même assez durs. Mais il y a aussi de très beaux messages au fil des pages.



Sôichi est un peu mis de côté dans ce tome, on prend le temps pour mettre en avant d’autres personnages. Malgré sa faible présence, il n’en reste pas moins le protagoniste, visiblement, il souffre beaucoup mentalement, mais n’en parle à personne. Ce n’est pas vraiment une bonne solution, au final, il semble plus vivre pour les autres, pour les esprits, que pour lui-même. Il s’accroche éperdument à sa carte de tampon, dans l’espoir de pouvoir se rapprocher de brise un jour. Mais la vérité éclate, de la bouche même de brise, cette carte n’a aucun pouvoir, elle n’est là que pour donner un but à Sôichi. Bien sûr, ce n’est pas à lui qu’elle l’indiquera, et elle sommera même son interlocuteur de garder le secret. Inquiète pour lui, mais ne sachant que faire, il ne doit s’agir que de la seule solution qu’elle est trouvée pour l’aider un peu à vivre, à supporter la vie. Sôichi lui-même le dit, ce sont les esprits qui le sauvent et non l’inverse, c’est un personnage qui semble être assez mélancolique. Cherchant à noyer sa propre peine en aidant les autres, mais au final, personne ne l’aide lui. C’est ce genre de partie que je trouve assez dur pour un enfant, mais le reste est très beau.



Comme dans le tome précédent, il y a aussi des révélations sur son passé, cette fois-ci, c’est sa rencontre avec Mu qui est présenté. J’ai beaucoup aimé ce passage, car même si leur relation n’a pas démarrée de la meilleure des manières, ce qu’elle est désormais prouve que l’on peut toujours changer d’avis. Quant aux nouveaux personnages, leurs designs sont toujours très intéressant, entre le bouton amoché n’ayant jamais vraiment vécu, ou bien la tortue solitaire qui se trouve enfin un compagnon, il y a de quoi faire. Le duo de la tortue et de la mousse est très intéressant, il parle surtout de la solitude et de la folie que peut engendrer ce sentiment. Ce passage montre aussi la mesquinerie de Tornade, qui n’a pas honte de séparer ses deux amis, pour accuser Sôichi. Pour le bouton, c’est un peu plus poussé, étant abîmé, il n’a jamais été acheté ou cousu à un vêtement. Il raconte donc des histoires qu’il a entendu comme s’il s’agissait de ses aventures. Il finira par avouer la vérité, le corbeau lui offrira alors les aventures qu’il recherchait tant ! Cette partie évoque la différence, et le fait que l’on est pas toujours acceptée à cause d’elle, que cela peut nous isoler et nous évite donc de faire nos propres expériences. Le corbeau représente alors le petit coup de pouce, humain ou non, qui nous aide à déployer nos ailes, pour justement, faire nos propres expériences, vivre dans ce monde qui a tant de mal à accepter la différence (que l’on n’est pas parfait).



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Lien : https://sunread26.wordpress...

Autant j'ai beaucoup aimé le 1er tome, autant celui ci, un peu moins.

L'histoire est toujours aussi belle, mais ça m'avance pas trop. On en apprend un peu plus sur Brise, on découvre Tornade, mais le reste, c'est quasi la même chose. Cette lenteur est peut être voulue par l'auteur, mais elle m'a ennuyé.



Heureusement que la petite histoire avec le bouton et la péripétie vécue par la tortue PROFESSEUR et son amie, MOUSSE, ont apporté un peu de rythme.



Sinon, les illustrations sont toujours aussi belles et enchanteresses.