"Prophète ! si ta main me sauve de ces impurs démons des soirs, j'irai prosterner mon front chauve devant tes sacrés encensoirs" Victor Hugo, poème " Les Djinns"
[...] on l’a assise en face de moi et j’ai alors commencé à réciter des versets du Coran après avoir posé ma main sur le haut de sa poitrine ou sir le haut du front, je ne me souviens plus exactement. Elle a eu à ce moment-là des réactions qui m’ont permis de conclure que le démon était bien en elle, ou plutôt qu’il y avait probablement possession.