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Citations sur Abdou (12)

Est-il possible de devenir aussi maigre en si peu de temps ? Abdou avait toujours fait plus jeune que son âge, comme beaucoup d’enfants qui vivent dans la rue, mais à présent, son visage était devenu celui d’un vieil homme.
(page 45)
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Je me suis souvent demandé ce que tu ressentais, Abdou, le jour où tu es revenu sur ta terre natale, la terre de tes ancêtres. Ta mère était partie seule, dix ans plus tôt, te portant dans son ventre, et voilà que tu étais de retour, seul. Tous les membres de ta famille au Burkina Faso t'étaient donc étrangers. Mais ne l'étais-tu pas toi aussi ? Pourtant, tu étais fils de ce pays, fils de cette famille.
(page 11)
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Les baobabs, on le sait, ne changent pas de place, même durant les trois ou quatre années que la plupart des enfants passent loin de chez eux !
(page 29)
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Pendant les semaines suivantes, les enfants ont participé à d’autres ateliers. Mais ce qu’Abdou aimait par-dessus tout, c’était la couture. M. Mathieu, notre maître tailleur, rencontré grâce à son fils qui vivait dans la rue, a tout de suite remarqué qu’Abdou « avait la main ».
(page 28)
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Lors de la bibliothèque, sous les lampadaires, les enfants étaient parfois sous l’effet de la colle. Abdou, jamais. Il l’a même fait remarquer à Harold et Elie une fois : « Moi, je ne prends pas la colle, je ne fume pas, je ne bois pas. » Pourtant, c’est lui qui était malade, pas les autres. C’est lui qui avait cette maladie de peau qui persistait, malgré les pommades que Médecins Sans Frontières lui donnait lors de ses tournées pour soigner les enfants vivant dans la rue.
(pages 22-23)
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Tu te souviens, Abdou, combien Sidiki est revenu touché de sa visite à son père, avec Elie. En l’apercevant, Sidiki avait baissé la tête et, à son tour, s’était mis à pleurer. Aujourd’hui tu serais heureux de voir que ton ami s’est rapproché de sa famille.
(page 65)
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- Ouais, dit Korba, qui a rejoint les autres sur le banc, le centre-ville, c’est pas la peine ! Les grands nous embêtent. Il y a toujours des problèmes. C’est la bagarre tout le temps !
- C’est vrai, réagit Amidou. Ils dorment dehors comme nous, mais ils pensent nous donner des ordres car ils sont plus grands que nous.
(page 17)
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Mais retrouver la cour familiale n’était pas le seul défi. Reprendre contact avec la famille suscitait beaucoup d’émotions chez les enfants.
(page 30)
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Je crois de plus en plus que tu as mis un petit bout d’espoir entre nos mains pour voir ce qu’on pouvait en faire. Et c’est cela que je retiens de notre temps avec toi : combien on peut vivre, essayer, aimer et créer, dans l’espace d’un petit bout d’espoir.
(page 69)
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C’est le souvenir de ses dessins de pêcheurs qui me rappellera toujours sa vie. Car derrière Abdou « l’enfant malade », derrière Abdou « l’enfant de la rue », il y avait Abdou l’enfant. L’enfant qui aimait aller à la pêche, l’enfant qui aimait dessiner et coudre, l’enfant qui se sentait aimé.
(page 59)
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