« Le rail était toute notre vie » […] je comprends que le rail était la ligne de vie de ces hameaux forestiers, leur seul lien avec le monde. Tout leur arrivait pas train. Les vivres, les courrier, les commandes de chez Eaton, un visiteur de la lointaine famille, les bonnes et mauvaises nouvelles, les jeux, le rêve et cette merveilleuse école sur roues.
(XYZ, p.93)
On n’appartient plus à l’ordre de la pensée quand un train passe, il nous transporte là où on ne va pas en un autre temps.
Cette femme est née du bon côté de la vie, elle pouvait s’accrocher à une brindille, à n’importe quoi pour rester du côté de l’espoir, de la lumière, de la beauté, du bonheur.
(XYZ, p.245)
"C'est le premier geste qui compte, le reste va se faire tout seul."
"Cette enfant a baigné dans mes larmes."
" [...] et j'ai compris le plaisir qu'on pouvait y prendre. C'est très zen ; le bruit est tellement puissant qu'il anéantit tout ce qui papillonne dans notre tête. On n'appartient plus à l'ordre de la pensée quand un train passe. Il nous transporte là où on ne pas, en un autre temps."
"Quand on a connu le bonheur, il est impossible de croire qu'il n'est plus possible."
Swastika ne se laisse pas facilement quitter.
Y a pas de jeune ermite des bois. Faut une vie derrière soi pour avoir quelque chose à penser quand on s'enfonce dans les bois. p.117
Le bruit est tellement puissant qu'il anéantit tout ce qui papillonne dans notre tête. p.74