Harry Potter, tome 5 : Harry Potter et l'ordre du Phénix

J'ai lu le premier tome pour la première fois quand j'avais 7 ans.
C'est Harry Potter qui m'a donné le gout de la lecture...
Aussi je garde une grande tendresse pour cette série.
Maintenant peut-être que je me fait vieille (presque 21 ans, soit le triple) je n'aime plus autant la série dont la fin m'a déçue mais je reste lui reconnaissante de m'avoir ouvert le chemin vers le monde merveilleux des livres.
Ce qui est un des points fort de la série, mais ne peut s'aprécier que quand elle étant justement encore en cours de publication, c'est l'évolution de "l'ambiance" au cours des tomes, qui change avec l'âge du héros (et donc potentiellement du lecteur).

Comme je l'avais déjà dis dans mon commentaire sur le tome précédent, on a pris un "tournant" dans l'histoire. le lecteur est (censément) plus mur, et l'histoire plus sombre.
Harry Potter se teinte de politique, et pas de la politique toujours très propre... négationnisme, refus d'affronter une réalité pour laquelle on ne se sent pas taillé, et quasi "dictature" au niveau de Poudlard.
Sombre aussi car avec les Mangemort réunis et actifs, on ne peut pas s'attendre à ce que tous le fasse jusqu'au bout. J'ai relu bien trois fois le passage de la mort de Sirius de suite, avant que les quelques lignes consacrées ne commencent à faire sens

Bref, un tome qui a su murir avec son lectorat et que je recommande vivement. (avec parti pris bien sûr ;) )

Après les évènements qui se sont produits dans le quatrième tome, il est évident que la vie à Poudlard (et dans le monde magique en général) sera très différente de ce qu'Harry a connu. Mais, à l'aube d'entrée de sa cinquième année, le jeune homme est loin d'imaginer à quel point les choses sont différentes. Voldemort est de retour, entouré de ses partisans, les Mangemorts, et semble bien déterminer à tuer Harry, cette fois. Pour couronner le tout, Harry et Dumbledore, qui ont annoncé le retour du Seigneur des Ténèbres, sont vu respectivement comme un menteur et comme un fou, par une bonne partie des sorciers. Ils se retrouvent rejetés par le Ministère de la Magie, et insultés dans La Gazette du Sorcier. Heureusement, la résistance s'organise avec l'Ordre du Phénix, une société secrète de sorciers qui a pour but d'éliminer Voldemort.

Quand on lit ce livre avec notre regard d'adulte, on se rend compte que J.K. Rowling s'est probablement inspirée d'une période sombre de l'Histoire, à savoir la Seconde Guerre Mondiale (ce qui sera confirmé réellement dans le septième tome, avec des évènements qui coïncident plutôt bien avec la Seconde Guerre Mondiale). Je trouve que c'est très intéressant de baser une histoire fictive sur des évènements qui ont réellement eu lieu. Et on peut s'interroger : Quel camp choisirions-nous, si nous étions à Poudlard ? Est-ce qu'on écouterait Harry et Dumbledore, ou penserait-on que La Gazette et le Ministère de la Magie disent vrai ?

Vous avez bien compris, ce cinquième tome est encore plus sombre, avec des personnages terrifiants et détestables qui font leur entrée. Je décerne la palme du sadisme à Dolores Jane Ombrage et Bellatrix Lestrange : je n'ai pas réussi à les départager. Mais il faut bien avouer que ce sont deux personnages qui sont fascinants.

Nous en apprendrons également plus sur Severus Rogue et les raisons pour lesquelles il déteste Harry. Ce sont des passages que j'aime beaucoup, même si ce qui est arrivé à Rogue quand il était adolescent me répugne. Pour cette fois, je me range entièrement de son côté, parce qu'il ne méritait pas ce qui se passait. La première fois que j'ai lu ce passage, j'étais moi-même adolescente (je devais avoir douze ans) et je me suis reconnue dans la situation du Maître des Potions.

En parlant d'adolescent, Harry en devient vraiment un, ce qui le rend parfois un peu agaçant. En effet, il passe une bonne partie de son temps à hurler sur les autres. Ron aussi est énervant, il n'arrête pas de se plaindre. Je reste néanmoins très attachée aux personnages, mais je dois avouer que ce n'est pas dans ce tome-là que je les préfère.

Très épais, ce volume se lit à une vitesse folle, et J.K. Rowling a réussi à rendre tout absolument intéressant, si bien qu'on ne prête plus attention à l'épaisseur du livre. Et, encore une fois, nous avons le droit à un tome plus sombre, avec un final qui ne vous laissera sûrement pas indifférent...

Au moins, vous êtes sûrs de ne pas vous ennuyer. Et puis vous pourrez aller aux réunions de l'A.D. pour compenser ! J'ai bien envie d'apprendre à repousser un Détraqueur...
Lien : http://leslecturesdanais.blo..

Harry Potter, tome 5…
Nouveau titre, nouvelle année, nouveaux personnages… le style ne change pas, heureusement mais le trait se durcit, la couleur de l"histoire s'assombrit, les personnages mûrissent et les relations se tendent.
Dès le début de l'ouvrage on étouffe, l'atmosphère est électrique. Depuis le retour de Voldemort, sans nouvelles de ses amis, Harry va mal et a hâte de quitter Little Whinging. Et ce que personne n'attendait va arriver, les Détraqueurs vont attaquer Harry hors du monde magique, le forçant à utiliser la magie à son corps défendant et ce pour sauver Dudley, sans doute le dernier qu'il aurait souhaité aider. Évidemment tout est de la faute de Harry et le ministère de la Magie lui signifie son renvoi définitif de Poudlard, à moins que…
Quel est ce fameux Ordre du Phénix qui nous interpelle dès la couverture ? Une société secrète ? Oui en quelque sorte et grâce à elle notre héros va avoir de nouveaux alliés ; Remus Lupin bien sûr que l'on retrouve après son départ de Poudlard à la fin du tome 3, le vrai Alastor Maugrey, libéré à la fin du tome 4, Sirius Black son parrain, une cousine de ce dernier Nymphadora Tonks sympathique dès le premier abord. le lieu : une maison cachée au 12, Square Grimmaurd, cachée des moldus bien sûr, mais aussi du monde magique, tout au moins des ennemis de l'Ordre. Cette demeure est la “noble et très ancienne maison” de la famille Black, famille de sorciers au “sang pur”, qui a renié Sirius parce qu'il osait remettre en question la supériorité de ce “sang”, et qu'il a quittée pour rejoindre ses meilleurs amis, les parents de Harry. Devenu le seul représentant ou presque de la famille Black, Sirius a récupéré la maison et en a fait le quartier général de l'Ordre, fondé par Dumbledore après la première prise de pouvoir de Voldemort dans les années 70.
Harry va y retrouver les jumeaux Weasley et leurs parents Molly et Arthur, Dedalus Diggle rencontré dès le premier tome. C'est là qu'il va retrouver aussi Hermione et Ron qui ne sont pas encore membre de l'Ordre, mais qui vont le soutenir en attendant son audience au Ministère. Cette audience à laquelle Arthur va emmener Harry va se passer assez vite, après les accusations portées contre lui par Cornelius Fudge qui refuse de croire au retour de Voldemort, l'arrivée surprise de Dumbledore qui sans un mot pour Harry, fait témoigner Mrs Figg présente sur les lieux de l'attaque des détraqueurs, le verdict de non-lieu tombe et Harry va pouvoir retourner Square Grimmaurd en jusqu'à la rentrée.
Autre décor : le château. Après les cérémonies d'admission des derniers élèves, nous faisons plus ample connaissance avec la nouvelle professeur contre les forces du mal : Dolorès Ombrage, aperçue au Ministère (et qui en est l'antenne) et qui va vite se révéler être un personnage abominablement méchante, retorse et sadique.
Décidément, cette nouvelle année se présente bien mal, Harry doit faire face aux remarques de nombreux élèves qui l'accusent de mentir sur le retour du Mage Noir, Dolorès Ombrage devient Grande Inquisitrice de Poudlard, et fait régner la terreur à l'école. Bientôt les élèves (surtout ceux de Gryffondor) vont se réunir, se rebeller et fonder l'Armée de Dumbledore pour lutter contre l'oppression d'Ombrage. Harry malgré ses cauchemars de plus en plus prégnants, va devenir professeur de Défense contre les forces du Mal pour l'AD et, et nous n'en sommes qu'au chapitre 17 sur 38 !

JKR nous sert avec ce volume 5 une composition toujours aussi soignée, riche en rebondissements et une fin aussi flamboyante que pour l'épisode précédent. La nouveauté dans ce tome est par la force des choses, les élèves prenant de l'âge, l'apparition des signes évidents des sentiments. Lors du bal du Tournoi des trois Sorciers, on avait vu les protagonistes empêtrés dans la façon de se parler pour s'inviter, avancer, reculer, hésiter, et finalement se prendre les pieds dans le tapis. Cette fois-ci c'est sous forme de sous-entendus, de jalousies et de provocations que les élèves essayent de se faire savoir qu'ils en pincent les uns pour les autres, mais ce n'est pas facile. C'est d'autant moins facile qu'ils vivent des moments compliqués et que les occasions de se retrouver seuls à seuls sont rares. L'autre aspect intéressant du livre est pour les plus âgés d'entre nous, la philosophie que JKR laisse transparaître dans son histoire. La supériorité supposée d'une “race de sorciers” sur une autre par le sang et ses origines, la dictature d'un Ministère qui ne veut pas voir la vérité, la transmission de cette dictature au sein de l'école par la Grande Inquisitrice, le soutien d'une partie des élèves, la soumission d'un grand nombre, mais en face la révolte des autres, la prise en main de leur sort et la résistance qu'elle implique. JKR ne s'est jamais cachée du rôle qu'elle fait jouer à ses élèves ni du message qu'elle fait passer à ses (jeunes) lecteurs. Toute oppression quelle qu'elle soit doit être combattue ou ce sera la fin des libertés. Des sacrifices seront sans doute nécessaires mais jamais inutiles.

Il est cependant dommage que pour cette cinquième année, l'auteur nous ait livré un volume aussi long. Certes le jeu en vaut la chandelle mais quelques coupes claires auraient été les bienvenues pour aérer la lecture. Certains esprits chagrins ont dit qu'elle avait “tiré à la ligne” pour ce tome, mais faisons lui la grâce de croire qu'elle ne l'a pas fait volontairement. le tome précédent avait pris l'allure d'un changement radical dans l'histoire et dans la psychologie des personnages, ce tome-ci continue l'évolution de son oeuvre, quelquefois de façon un peu bavarde, mais reconnaissons qu'arrivés presque au bout, un peu essoufflés, nous avons repris un grand bol d'air pour aider Harry dans son combat contre Voldemort quel que fut le prix à payer.

Un vrai tournant en intensité dans ce tome. Les choses changeaient déjà dans le tome précédent, mais là, on entre clairement dans la phase noire de l'histoire. Même si il est parfois un peu long à lire, je trouve très intéressante la profondeur que prennent les personnages, le saut dans un monde difficile, qui leur échappe, plein d'épreuves. Toujours gouverner par des adultes, qui font aussi des erreurs, même si c'est pour la bonne cause. Un tome vraiment prenant.

Le plus long et certainement le plus noir des épisodes de la saga.
Ici, on retrouve un Harry Potter colérique, voire irascible, moins respectueux de son entourage et sans cesse en révolte. Même si c'est le moyen de montrer l'intrusion de l'esprit de Voldemort dans celui de Harry, cela rend néanmoins le personnage moins attachant. On ne reconnaît pas le Harry des épisodes précédents et parfois, on trouve le temps long.
Il n'en demeure pas moins des scènes inoubliables et savoureuses, dont le départ de Dolores Umbridge enlevée par les centaures.

Ce tome cinq des aventures d'Harry Potter se révèle fort dense et fort sombre ce qui fait qu'il est celui que j'ai le moins aimé (et pourtant, je lui donne quatre étoiles :p). Car ce tome, malgré l'ambiance glauque qui y règne, recèle de très bons passages comme la formation de l'Armée de Dumbledore (j'avais oublié l'énervant Zacharias Smith :p), le pire souvenir de Rogue (j'aurais aimé en savoir plus sur les Maraudeurs et Lily), la sortie triomphante des jumeaux Weasley, la découverte du Ministère de la Magie et de Ste Mangouste, ...

Côté personnages, Harry fait partie des raisons pour lesquelles ce tome n'est pas mon favori. Alors oui, il est en plein milieu de son adolescence mais qu'est-ce qu'il est agaçant! Il se montre colérique, impulsif, et à certains moments peu réfléchi.
Il a comme excuse de vivre des choses difficiles mais son comportement le rend parfois peu sympathique.
Ron et Hermione sont fidèles à eux-mêmes. Toujours présents pour leur ami, se prenant souvent le bec pour des bêtises.
Ron devra affronter son manque de confiance en lui car le voilà préfet et gardien pour l'équipe de quidditch de Gryffondor.

On ne peut pas parler personnages sans évoquer Ombrage, un des pires méchants toutes catégories confondues. J'hésite même entre elle et Voldemort pour la première place.
Ombrage est le nouveau professeur de défense contre les forces du mal envoyé par le Ministère pour surveiller et contrôler Poudlard.
Sous ses airs mielleux qui ne trompent personne, se cache une femme vindicative, cruelle, avide de pouvoir.
Voir McGonagall s'opposer à elle était du pain béni et m'a fait aimer encore le plus le professeur de métamorphose.

Ce tome est aussi influencé par le Ministère de la Magie et une grande partie du monde magique qui refusent de croire au retour de Voldemort.
Dumbledore et Harry sont discrédités. Cet état de fait aurait dû les rapprocher mais Dumbledore en a décidé autrement et suit un plan foireux qui aura des conséquences tragiques par la suite.
Ce tome aurait pu s'appeler "Les erreurs de Dumbledore et d'Harry" :p.
Car Harry en fin de tome, prendra lui aussi une décision qui mènera à ce qu'il craignait (Rogue fait partie de l'Ordre, Harry!).

On découvre aussi Harry en proie à ses premiers émois amoureux avec cette cruche de Cho Chang (désolé, je ne l'ai jamais vraiment appréciée). Un petit flirt maladroit qui disparaîtra sans laisser de trace.

Voldemort, de son côté, est obnubilé par une prophétie qu'il veut entendre en entier afin de savoir comment annihiler son ennemi. Or cette prophétie se trouve au Ministère de la Magie et Voldemort a besoin qu'Harry s'en empare...

En résumé, un tome assez riche en événements, qui donne enfin un sens au pourquoi du comment Voldemort a attaqué Harry toutes ces années auparavant mais qui souffre de son atmosphère pesante et du comportement de certains personnages.
Mais un Harry Potter reste un Harry Potter et je n'ai pas boudé mon plaisir. A chaque fois que j'en relis un, c'est comme reprendre contact avec un ami perdu de vue que je suis plus que ravie de retrouver :).

Je connais la saga d'Harry Potter sur le bout des doigts mais par les films seulement et depuis que j'ai commencé les livres, j'ai juste l'impression de redécouvrir la saga.

J'aime beaucoup la découverte en même temps qu'Harry de ce monde jusque là inconnu qui regorge de mystères et d'aventures mais aussi d'émotions diverses.

J'ai engagé la lecture du tome 05 avec une grande curiosité, mais j'étais avide aussi de découvrir ce qui allait différé avec le film. J'ai déjà pu remarqué de l'ambiance lourde qui pèse sur ce tome, c'est saisissant, on sent la tension monter par la colère d'Harry mais par les situations qui se succèdent et qui ne sont pas toujours apaisantes. Une nouvelle année à Poudlard commence et on peut dire qu'elle commence difficilement, l'action commence dès le début du livre et continu de manière plus régulière durant toute l'histoire.

J'ai eu quand même un moment où j'ai trouvé le temps long, qui pourrait être intéressant pourtant mais qui ne m'a pas vraiment intéressé à vrai dire. Par chance, ça ne dure pas tellement longtemps et on passe à quelque chose de plus intéressant par la suite.

J'aimais déjà l'ambiance de départ mais alors lorsqu' on découvre le nouveau professeur de défense contre les forces du mal et qu'on voit la manière dont elle enseigne, donne des punitions ou interagit à Poudlard, il est impossible de s'ennuyer. J'ai plusieurs fois partagé la colère de n'importe quel élève de Poudlard face à ce personnage et ça ne m'a fait qu'aimer encore plus le côté espiègle des jumeaux Weasley.

J'ai été surprise de voir que beaucoup de passages du livre n'apparaissent pas du tout dans le film, c'est assez compréhensible mais il y a quand même des passages qui auraient dû être inclut pour que le film colle au plus près du livre.

Dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé ce tome, il est plus noir, on apprend pas mal de choses et le sort qui est réservé à Dolorès Ombrage est tout simplement parfait. Ce tome est vraiment superbe à découvrir et je pense que je ne tarderais pas trop longtemps pour me lancer dans le tome suivant ^^
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Le récit à peine commencé, et alors qu'il est encore chez son oncle et sa tante, Harry est attaqué par des Détraqueurs (autre exemple de vocabulaire pottérien... pour les non pratiquants, ce sont des gardiens de la prison d'Azkaban que l'on soupçonne d'être à la solde de Qui-vous-savez. Ca vous éclaire, n'est-ce pas ?...).

Et, davantage que dans les autres livres, Harry va être constamment soumis à des attaques, autant psychologiques que physiques. Ce suspense permanent fait que les 980 pages se dévorent rapidement. A part quelques longueurs dans un ou deux passages (le récit d'Hagrid notamment), il se passe beaucoup de choses à Poudlard. le côté sombre de la Force (heu... là je me trompe de film...) prend peu à peu le pouvoir au Collège et Harry ne pourra pas lutter seul. En effet il devient adolescent et il est partagé entre le besoin d'être entouré de ses amis et l'envie d'être seul pour y voir clair dans ses pensées qui se bousculent. Il est souvent désagréable, maladroit (les passages avec Cho ne manquent pas d'humour), indécis, coléreux. Bref il grandit et ça ne se fait pas sans heurts.

Pour ma part je trouve même que ce volume est l'un des meilleurs de la série. Les personnages prennent de la consistance, l'histoire est manichéenne mais les personnages ne le sont pas, et le récit est plein de rebondissements.

On continue d'avancer dans la saga: le personnage de Voldemort prend de plus en plus de place dans le monde des sorciers, cette noirceur faisant indiciblement référence à une autre, vieille de 75 ans, et malheureusement bien réelle... J'ai trouvé le livre à la hauteur des précédents, l'intrigue et nos héros gagnent en densité, bref, trop bien !

J'ai retrouvé mes quinze ans en lisant cette prodigieuse saga et en retrouvant la quintessence de l'english way of life à Poulard