Les flics mirent fin à la fête légendaire avant minuit. Elle était trop légendaire pour durer.
Dans un film d'horreur, quand quelqu'un ne connaît pas la réponse à une question, c'est en général que le moment est venu d'aller à la bibliothèque... Quand tout vous paraît excessif, allez à la bibliothèque.
D’accord, il avait fait des erreurs, mais dans le fond, c’était un mec bien. Le genre de mec qui recycle son verre.
Nos ancêtres avaient peur de choses réelles, et il savaient quoi faire avec la peur. T'évites le tigre, tu fuis, et puis après, t'as plus besoin d'avoir peur.
Aujourd'hui, on a des vies très sûres. Alors quand quelque chose déclenche la peur - par exemple quand un taré prend son flingue et s'en va faire un massacre dans un cinéma dans une banlieue quelconque - on sait pas quoi en faire !
Du coup, on s'y accroche. Et elle modifie la chimie de notre cerveau. On ne connait plus ce moment où la peur s'évacue... on a besoin d'expulser la peur après qu'on a eu peur.
Il y a de la sécurité dans la peur... Il faut s'entraîner à avoir peur de la sécurité... à recâbler la chimie de notre cerveau.
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Dave avait baptisé sa fête la FOOBTRA. Ça voulais dire la fête OÙ ON BAISE TOUS... Évidemment, on ne pouvait pas dire ça aux gens, alors on leur a dit que "la Foobtra" était une nouvelle danse...
Dave disait toujours que sa mère travaillait comme avocate et son père comme connard.
Je n'avais jamais vraiment aimé les livres de développement personnel. La vie est dure ; les gens qui vous proposent des raccourcis vous mentent probablement sur ceux qu'ils ont dû prendre eux-mêmes.
King a écrit : "Les monstres existent. Les fantômes aussi. Ils vivent à l’intérieur de nous… et il arrive que ce soient eux qui gagnent." Mes amies sont toutes d’accord pour dire que les pires monstres sont nos propres démons intérieurs, comme la jalousie et la colère, et que ces démons nous torturent beaucoup plus durablement qu’aucune personne réelle ne pourrait jamais humainement le faire.
Bon sang, comment peut-on écrire une bonne rédaction à partir d’une question qui est sans importance ?
Ça me rappelle un peu la façon qu’on a tous de dire "Comment tu vas ?" sans vraiment le penser. Les gens me demandent sans cesse comment je vais, mais en réalité ils ne veulent pas le savoir.
Tu cales ton ventre contre le bord du bar et tu te penches par-dessus comme si c'était un bastingage. Bon voyage, te dis-tu.
C'est le premier verre que tu bois depuis quatre ans.