Nos rêves sont trop étroits et si Dieu les détruit, c'est pour que nous puissions nous aventurer dans les plus vastes espaces de Sa vie.
Nous ne sommes pas des esprits pris au piège d'un sac de chair, mais des êtres corporels dont la communion est toujours établie sur des fondations corporelles. Notre enracinement, notre sentiment de lieu et d'espace, est profondément corporel.
(P. 128)
La liberté commence lorsqu'on s'empare du choix qu'on peut faire.
(P. 55)