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4,13

sur 239 notes
Génialissiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiime !!!!

Comme c'est bon de tomber sur ce type de lire qui fait penser qu'il y en a tant qu'on a pas encore lus.
Trop de points positifs pour les énumérer les uns après les autres donc je garde le plus important.
Le bonheur !
A chaque page tournée...
Il y a plusieurs narrateurs qui nous font passer par tout un maelström d'émotions. Mais la plupart du temps, je me disais « Elle (l'auteure) peut pas leurs fait ça ! Non ! Non ! C'est trop horrible »
A aucun moment je n'ai eu envie de fermer mon livre.
Impossible.
Et le premier réflexe quand je l'ai fini à été d'acheter la suite L'impératrice des sept collines que je vais m'empresser de lire et d'en faire une chronique.

Un livre à ne pas manquer !
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Je dois avoué que j'ai choisi ce livre sur un coup de tête puisqu'il me fallait un livre dont l'auteur commençait par la lettre Q.
J'ai toujours beaucoup aimé la période de la Rome antique, et quoi de mieux qu'un roman ayant cette période pour contexte ?
Dès le début, on est happé par l'histoire puisqu'on nous décrit la vie de Théa, une jeune esclave au service d'une jeune fille dont le père organise les Jeux.
L'intrigue se déroule au fil des pages, avec beaucoup de rebondissements et de coups du sort, souvent néfaste à Théa qui en bave beaucoup.
J'ai beaucoup aimé les différents personnages, chacun à leur manière puisque certains ne sont pas vraiment très sympathiques et comme le dit le résumé, certains sont carrément dépravés.
Théa est une jeune esclave un peu rebelle et très bien instruite même si la vie n'a pas été tendre avec elle. Elle a beaucoup souffert dans sa jeunesse et arrivée dans l'âge adulte, cela continue, voir même s'aggrave. Et pourtant, elle reste forte, vivant pour une seule chose, protéger celui auquel elle tient le plus. Elle endurera mille torture et pourtant elle garde la tête haute et défie ceux qui lui veulent du mal.
Airus est quand à lui un homme qui a encore plus souffert que Théa puisque esclave depuis plus longtemps. Et pourtant, il parvient à trouver l'amour, et à s'accrocher à ses souvenirs d'une période meilleure. J'ai bien aimé son côté "gros dur" alors que derrière, il peut se montrer très tendre et attendrissant.
Les autres personnages sont très bien construit, on comprend petit à petit pourquoi ils réagissent comme ils le font et cela apporte toute sa cohérence au récit.
Tout ça pour dire que j'ai beaucoup aimé ce livre que j'ai lu rapidement malgré sa taille! Je vais lie le tome 2 dès que possible!
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Ce roman historique a de nombreux points forts, dont tout d'abord son arrière plan historique maîtrisé, qui permet de se plonger dans l'histoire avec délice, immergé dans l'atmosphère de la Rome antique, avec ses injustices, ses combats et ses complots. La présence des termes latins originaux aident bien, car ils évitent des traductions maladroites ou des descriptions hasardeuses.

L'autre point fort est l'abondance de personnages aux caractères bien trempés, tous très présents dans l'histoire. Les points de vue s'alternent, donnant du rythme et permettant une bonne vision d'ensemble des événements. Nous suivons des esclaves et gladiateurs tout autant que des personnages hauts placés, et là encore cela nous plonge facilement dans le coeur de l'action. Les scènes de combats sont rudes, les intrigues bien ficelées, et l'auteur mêle avec talent des faits historiques réels avec des éléments fictifs palpitants.

Théa, une esclave juive, et Arius, un gladiateur brigante, sont au centre de l'intrigue, et nous suivons l'évolution de leurs vies, marquées par leur immense courage. En dehors de leur destin d'esclaves, forcément difficile, leurs vies sont compliquées par les personnages affreux de Lepida Pollia, une jeune romaine vraiment imprégnée de haine et de méchanceté, et l'empereur Domitien, aux passions douteuses.

Nous croisons les destins de plusieurs autres personnages attachants, comme Marcus, Sabine, Julie Calpurnie, réels ou fictifs, qui donnent de la consistance au roman. Il se passe quelque chose à chaque page. le seul tout petit bémol serait une écriture simpliste, parfois répétitive, mais qui n'entrave pas la lecture. Les descritptions des lieux sont également rares, et une petite connaissance de Rome et du mode de vie de l'époque aidera à se réprésenter l'arrière plan du roman.

Pour résumer, je vous conseille vivement ce roman historique de qualité, palpitant, entraînant, ou les émotions se succèdent à toute vitesse! Vivement la suite!
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En bref : J'ai eu du mal à m'impliquer émotionnellement dans cette histoire. La faute, je pense, à son caractère parfois décousu, ainsi qu'au nombre de points de vues. Cependant, cela ne m'a pas empêchée d'être happée par son contenu et de suivre avec beaucoup d'intérêt le devenir d'Arius et Théa. D'intrigues machiavéliques en coups du sort, ces deux-là sont loin d'être épargnés. le tout confère d'ailleurs un rythme particulièrement prenant au roman. Finalement, ce qu'on peut reprocher à ce livre c'est qu'il manque de densité, en matière d'émotion comme de contexte. Mais le divertissement, lui, est bien là et les pages se tournent presque toutes seules. C'est ce qui l'emporte dans cet avis.
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Thea, jeune esclave juive, sert Lepida Pollia, jeune fille du même âge, riche et parfaitement ignoble. C'est dans les bras d'Arius, un gladiateur, nouvelle idole de tout Rome, qu'elle découvrira l'amour et le bonheur. Mais sa jeune maitresse n'entend pas que son esclave trouve le bonheur qu'elle n'a pas. Elle trouve alors le moyen de les séparer, probablement définitivement. Mais ce qu'elle n'avait pas prévu, c'est qu'elle la poussera ainsi, quelques années plus tard, dans les bras du plus convoité : l'empereur Domitien en personne, un homme extérieurement brillant et respecté mais violent et manipulateur dans l'intimité. Mais tout acte connait un jour sa juste punition…Que dire, que dire ?! Un livre prenant, palpitant, addictif ! J'avais adoré la série Rome d'HBO, malgré sa barbarie, sa violence, sa luxure. J'ai retrouvé toute cette ambiance typique de la Rome antique dans ce livre, qui nous ouvre les portes des vies de différents personnages, tentant de gravir l'échelle sociale ou simplement de survivre…La Maitresse de Rome est un récit se déroulant dans la Rome antique, qui va nous présenter à tour de rôle différents points de vue : principalement celui de Thea, l'esclave juive, Arius, le gladiateur, et Lepida, la maitresse de Thea. L'histoire se déroule sur une bonne dizaine d'années (je ne sais plus exactement j'avoue).A travers ces différentes vies, ces différents points de vue, nous obtenons une vision large et réaliste de la vie de l'époque. Comment était-ce lorsque vous naissiez pauvre ou riche, et les différents chemins que vous pouviez emprunter.J'ai vraiment apprécié cette incursion au coeur même de ces vies et ces avenirs. Impossible de vous ennuyez avec cette alternance de point de vue et vous êtes totalement plongé dans l'ambiance de l'époque. Les combats à mort de gladiateurs, les viols, les mariages arrangés, les tromperies, les trahisons, les condamnations, on vous parle de tout. Mais ce qui est bon de noter, c'est qu'on sent que la plume d'une femme nous raconte cela, c'est fait avec une grande pudeur, qui n'enlève malgré tout rien au réalisme, rassurez-vous.Les intrigues sont multiples, et vous ne savez jamais comment un chapitre va se terminer, les dangers sont infinis et les vices de certains personnages vous poussent à tout craindre. Vous frémissez avec les personnages, ou jubilez avec d'autres !Un point très positif : les lieux et décors. Juste ce qu'il faut de description, jamais trop, jamais lourd, jamais au détriment de l'histoire. Mais même les plus novices concernant cette période sauront parfaitement s'adapter et se représenter les différents lieux et événements.Enfin, l'ambiance est bien maitrisée tout le long, à chaque point de vue la sienne, mais avec toujours ce côté malsain que l'on retrouve systématiquement.Car oui, à cette époque, voir des hommes s'entretuaient était une vraie fête, coucher avec ses servants ou ses oncles/neveux/tantes etc… était chose courante, venir voir le dernier condamné à mort mourir sur la place publique était la distraction de la journée, et assister à une orgie en plein repas était plutôt banal. Les années 2000 c'est peut-être pas si mal non ?Alors si ce livre retranscrit tant de choses étranges et malsaines, pourquoi est-ce un coup de coeur ? Simplement parce que même si l'époque et ses traditions vous laissent perplexe, c'est comme découvrir une nouvelle culture, c'est passionnant et enrichissant ! Oui, c'est bien connu, tous les chemins mènent à Rome !Et mon coup de coeur repose surtout sur les personnages. J'ai adoré le personnage de Thea bien sûr, une femme si forte et si intelligente, qui a toujours su montrer sa patience et sa force d'esprit malgré les nombreux obstacles qui se dressent tout au long de sa route. Et Arius également, ce brut, ce barbare, au coeur tendre, qui tombe éperdument amoureux de Thea alors qu'il ne connaissait rien à l'amour, qu'il en avait même peur. A deux ils deviennent plus forts et capables de tout, un couple vraiment admirable ! J'aime en toi la noirceur qui veut tuer tout le monde entier, et la douceur qui le regrette ensuite. J'aime ta façon de rire, comme si tu t'étonnais simplement de pouvoir le faire. J'aime quand tu m'étouffes sous tes baisers. […] J'aime que tu me serres si fort que j'en ai le souffle coupé.Trois autres personnages ont particulièrement retenu mon attention : d'abord Paulinus, dont on suit le point de vue également, fils de sénateur, excellent soldat, il devient proche de l'empereur, voire même ami avec lui, et cette amitié lui apportera de nombreuses interrogations mettant son dévouement à rudes épreuves ; vint ensuite Sabine, la petite soeur de Paulinus et également la fille de Lepida, elle devient une jeune fille particulièrement vive et intelligente, et sa relation avec son père montre un amour sans mesure entre eux ; et enfin Julie, la nièce de l'empereur, ce personnage mystérieux qui sera le sujet de nombreuses surprises, elle symbolise la pureté et la force, une femme admirée et admirable.Si je devais retenir un personnage que j'ai aimé détester, c'est Lepida Pollia, la maitresse de Thea au début du livre. Elle est l'incarnation de tout ce qui est détestable : imbue de sa personne, égoïste, manipulatrice, calculatrice et tellement, tellement idiote ! La sorcière de ce livre !Kate Quinn a un plume incroyable, sûre et précise, forte et prudente. Vraiment, elle s'est attaquée à une époque compliquée avec beaucoup de talent ! Elle a su gérer de nombreux personnages, de nombreux univers, avec tant de réalisme ! L'ensemble se lit très bien, avec des chapitres courts, une chronologie bien claire, et juste ce qu'il faut de description.Je recommande ce livre à tout adulte un tant soit peu curieux de cette époque.3 mots pour décrire ce livre : palpitant, suspense, rebondissements.
Lien : http://dautresplumes.fr/2013..
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Il y a un petit moment que je n'avais pas lu de saga historique, j'ai donc choisi La maîtresse de Rome, pour m'y remettre.

Kate Quinn, nous plonge dans l'Empire Romain, sous le règne de l'Empereur Domitien, dans les années 81 à 96 après JC. de rome à Brundisium en passant par Tivoli, nous allons suivre le destin de Théa, petite esclave Juive, rescapée du massacre de Masada. Au début du roman, elle a tout juste quatorze ans et elle est au service de Lepida, une jeune demoiselle, fière, et intrigante, qui veut à tout prix réussir à monter dans les plus hautes sphères de la société Romaine, quitte à écraser quiconque se mettrait au travers de sa route.

« Ma maîtresse et son père partirent le lendemain matin dans un grand tumulte de chariots, d'esclaves et de litières incrustées d'argent. J'étais libre. Libre ! le soleil de juillet me cuisait la peau, la poussière qui montait des rues me faisait suffoquer, les nuits étouffantes ramenaient les cauchemars familiers, mais j'étais libre. Plus besoin de suivre Lepida avec un éventail et un mouchoir en subissant ses remarques cuisantes. Plus de Pollio aux mains moites dans les couloirs sombres. Plus de travail, puisque l'intendant avait cessé de surveiller sans relâche nos allées et venues pour passer toutes ses journées au cirque à regarder les courses de chars. Les esclaves mâles filaient à la taverne, les servantes partaient rejoindre leurs amants, et personne ne s'en souciait. »

En étant obligé d'accompagner Lepida aux célèbres jeux de Rome, Théa croise le chemin d'un jeune esclave condamné à mort, Arius. Par un tour de passe-passe et par son courage, il sera fait gladiateur, et il tombera éperdument amoureux de Théa.

« L'amphithéâtre se leva tout entier, rugissant et tapant des pieds en son honneur comme il l'avait fait pour Bellérophon une semaine plus tôt. Il y eut des cris, des hurlements, des larmes. Les bagues d'or ôtées de doigts patriciens pleuvaient avec les pièces d'argent autour du guerrier solitaire sur le sable. Les hommes s'essuyaient les yeux, jurant qu'il était Mars en personne descendu parmi les mortels. Les femmes déchiraient leurs stola et, la poitrine dénudée, lui promettaient en sanglotant un amour éternel. Dans la loge impériale, Domitien hochait la tête avec satisfaction. Arius jeta son épée, et la foule cria son adoration. »

La maîtresse de Rome renferme un mélange de vérités historiques et de fictions. Certains personnages du roman, sont des personnages réels. C'est une saga très addictive, il se passe toujours quelque chose, de la romance, de l'action, des trahisons, des drames, des intrigues et des complots.
« J'ai fait arrêter le préteur Larcius pour trahison, répondit Domitien avec insouciance. Après son jugement, il a été autorisé à se suicider. Les possessions des traîtres sont bien sûr confisquées par l'Empire. À présent, tu m'appartiens. »

Je sais qu'il s'agit d'une trilogie, et j'ai hâte de lire la suite, même si ce seul roman se suffit à lui-même.

Ce roman a été publié aux Editions Presse de la Cité en 2012.
Lien : http://1000etunepages.com/la..
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c'est un roman historique écrite par la fille d'un historien et qui a toujours été passionnée par les histoires de la Rome antique.
il s'agir de son premier roman, paru en 2010. mais pas de son dernier.
il s'agit d'une romance,mais loin d'être a l'eau de rose.
on y découvre sans fard la vie terrible des gladiateurs condamnés de toute manière a mourir, des atrocités qui se vivaient dans les arènes, pour les plaisirs des empereurs et de la foule. de la manière dont les prisonniers devaient se tuer entre eux et des conditions de esclaves, qui pouvaient être vendu pour rien...c'est loin de nous, mais avons nous changé ? Si vous le lisez vous recouvrerez l'histoire d'amour entre Thea esclave depuis ses 7 ans, avec Arius le gladiateur...Pourrons t-il réussir a vivre leur amour malgre la maîtresse de Thea elle aussi amoureuse du gladiateur, dame Lepida. Et comment vont-elles gere de devenir toutes les deux les maîtresses de Domitien l'empereur...
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L'action se situe sous le règne de Domitien, au premier siècle après J.C.
La reconstitution de l'époque est vraiment très bien documentée ce qui donne un roman très réaliste: les maisons, les rues de la Rome antique, le palais impérial, les villas à la campagne, le port d'Ostie, le forum, les arènes où se déroule une bonne partie de l'histoire sont autant de décors bien plantés, dont les descriptions rendent le texte vivant sans l'alourdir. le lecteur moderne se trouve d'emblée transporté dans la Rome antique comme s'il était monté dans une machine à remonter le temps. C'est époustouflant!!
Je suis particulièrement bluffée par la façon dont Kate Quinn a mis en scène les jeux du cirque et des gladiateurs sans aucune complaisance, certes, mais aussi sans aucune exagération; simplement tels qu'ils étaient organisés, tels que les Romains les voyaient et les appréciaient.
Les événements politiques sont également bien reconstitués et analysés.
En voici un extrait: chapitre 13, page 196:
Lien : https://legereimaginarepereg..
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L'histoire se déroule à la fin du Ier siècle après Jésus Christ, à Rome. Nous suivons le parcours de Thea, une jeune esclave, sur une durée de 15 ans.
Il y a, dans La maîtresse de Rome, deux choses très intéressantes. Tout d'abord, les chemins croisés, les parcours des différents personnages que nous suivons : il y a évidemment Thea, l'héroïne de ce roman, mais aussi sa maîtresse Lepida. Ces jeunes femmes en devenir sont les seules pour qui le récit est raconté à la première personne ; nous avons donc droit à leurs actions, à leurs paroles, mais aussi à leurs pensées. Quant aux autres protagonistes, mais pas des moindres, il y a l'amant de Thea, Arius, qui est un gladiateur, le sénateur Marcus Norbanus et son fils Paulinus, l'empereur Domitien, Vix, etc. Ces personnages ont tous leur importance au fil de l'histoire, ils ont chacun leur caractère, leurs désirs, leurs souhaits. Je les ai trouvé tous très intéressants, et plusieurs sont dans mes préférés – mais je ne peux pas trop en dire, notamment car certains d'entre eux apparaissent plus ou moins tardivement dans le récit.
La seconde choses à m'avoir beaucoup intéressée, c'est que cette fiction se base sur des faits historiques. En effet, une note de l'auteure, à la fin du roman, nous permet de démêler la fiction de la réalité. Mais si vous avez suivi des cours de latin, ou que vous aimez l'Antiquité romaine, vous les remarquerez d'emblée. Alors il est possible que vous vous doutiez de la fin, si vous connaissez les empereurs romains ; cela n'est toutefois pas gênant, car il est très intéressant de voir comment Kate Quinn a mêlé la fiction au réel, comme la toile se tisse peu à peu. Si, au contraire, vous ne connaissez pas bien l'Histoire romaine, je vous invite à ne pas vous renseigner tout de suite, mais d'attendre d'avoir fini La maîtresse de Rome.

Faisant plus de 700 pages, vous seriez en droit de vous dire que c'est un sacré pavé. Cela dit, je peux vous assurer qu'il se lit très vite (il m'a fallu à peine plus de quatre journées, pour moi qui lit à une allure moyenne). L'ayant lu en français, je ne pourrais pas vous dire si c'est l'écriture de Kate Quinn ou la traduction de Catherine Barret – ou les deux –, mais La maîtresse de Rome se lit très bien, l'ensemble étant fluide, sans compter sur une histoire vraiment très prenante. de plus, durant le dernier tiers, la tension monte crescendo : impossible pour moi de lâcher le livre !

Dans La maîtresse de Rome, des personnages ayant réellement existé croisent des personnages fictifs ; des faits qui ont eu lieu, et d'autres créés de toutes pièces ou enjolivés, prennent place dans ce premier roman de Kate Quinn.
Entre amour, trahison et intrigues, cette fiction historique est des plus passionnantes ! Nul doute que je découvrirai avec grand plaisir d'autres livres de cette auteure.

Ave Kate Quinn, ceux qui vont de lire te saluent !
Lien : https://malecturotheque.word..
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Je donne le ton directement en annonçant que cette lecture fut une agréable surprise. Ce fut réellement un gros coup de coeur.

Nous allons suivre principalement deux femmes que tout oppose dans la Rome antique: une esclave farouche et secrète et une noble ambitieuse prête à tout pour obtenir ce qu'elle veut. le destin de ces deux femmes pourrait bien être de devenir l'un des personnages les plus importants de Rome.

Mais cela ne se résume pas qu'à ça car on suit aussi leur entourage qu'il soit amant, mari, famille et je me suis laissée prendre au jeu.

J'étais vraiment accrochée à l'histoire. Au début, je n'ai pas trop compris pourquoi, je voyais simplement une romance historique se profiler mais avec le recul, je pense que c'est le côté péplum du récit qui m'a séduite.

La romance est bien sûr le pilier de l'histoire mais elle est accompagnée de complots, de retournements de situation et d'action (les jeux!). Aucun temps mort n'est à déplorer. On se s'ennuie vraiment pas.

On a également bien le temps de s'attacher aux personnages, de les aimer, de les détester (mention spéciale à Lepida - la noble), d'avoir de la pitié pour eux car l'histoire se déroule sur plusieurs années et bien sûr ils évoluent.

Je conseille vraiment ce roman. Il en vaut largement la peine.
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