Venise, Tome 2 :

Histoire de petits caïds de quartier et hommes de mains qui vont avec. Pas d'envergure. Pazzo se voit remettre, par les familles, les testicules droits de deux de ses hommes de main. A une époque ancienne il avait fait pratiquer, par ses sbires, la même chose sur un dénommé Blakowski qui lui devait de l'argent. Indubitablement le type s'est vengé et il doit donc être puni, c'est à dire rectifié, c'est à dire être descendu, abattu quoi !
Vladimir, qui est en dette s'y colle avec Momo le neveu du taulier. Seulement voilà au moment d'être abattu le Blakowski est accompagné d'un gamin et rien ne se passe comme prévu.

Bouquin décevant, intrigue cousu de fil blanc, dénouement absolument incompréhensible ou pas terminé ou il manque une page (pas du livre de l'imagination du dessinateur-auteur, s'entend). le tout d'un bavardage excessif, si, si, c'est possible même pour une BD.

Ce qui m'avait attiré, outre le titre, c'est la une et le carnet de croquis et le fait qu'à la bibliothèque ce bouquin était en tête de gondole. Là, également, déception, la couleur est identique d'une vignette à l'autre, c'est blafard comme l'histoire, certes, mais toutes les déclinaisons de jaune à un moment finissent par donner la nausée. Les dessins manquent de justesse et à bien regarder n'encadrent pas ou mal le déroulement de l'histoire. Franchement autant j'aime la BD autant je dis : passer votre chemin.

1,5/5

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Ce tome 2 tient ses promesses en apportant les réponses laissées en suspens dans le tome précédent. J'ai trouvé que l'histoire se tient, même si assez classique et sans beaucoup de surprise mais lecture agréable et rapide. Les dessins et couleurs collent au récit. Cette histoire pourrait être un scénario d'un bon téléfilm.