Ce livre me laisse un sentiment mitigé. Une fois qu'on l'a commencé, on ne le lâche pas.
Jodi Picoult sait donc tenir son lecteur en haleine. Elle sait l'intéresser, l'appâter.
Les personnages sont attachants, même si on a du mal à comprendre certaines de leurs motivations. Ils sont complexes, et donc, intéressants.
Ellie devant vivre dans une communauté Amish, le lecteur en apprend plus sur eux. Personnellement, je ne connaissais pas bien les Amish. Je ne dis pas que ce livre m'a tout appris, mais j'en sais plus grâce à lui. Les Amish sont non violents, ils vivent retirés du monde, et le plus possible, de la civilisation. Ils vivent en autarcie. Ce genre de chose entraîne un choc des cultures, et parfois, des abîmes d'incompréhension entre Ellie et Kathie qui n'ont pas la même façon de penser.
Il y a aussi un incident comique, à un moment. Ellie a besoin d'envoyer des rapports qu'elle veut taper. Mais la batterie de son ordinateur est à plat. L'évêque autorise donc que l'électricité pénètre dans la demeure des Fisher, au grand déplaisir d'Aaron, qui est moins tolérant que l'évêque lui-même, et suit les préceptes Amish à la lettre, voire au-delà.
D'autre part, Jacob, le frère de Kathie, a abandonné sa communauté afin de poursuivre ses études, car un Amish ne peut poursuivre ses études au-delà de la huitième année de celles-ci. Selon la loi Amish, quelqu'un qui est parti a le droit de revoir sa famille quand il le désire, et même, s'il se confesse, de revenir dans sa communauté. Pourtant, Aaron refuse tous contacts avec Jacob.
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