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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Il y avait déjà Bob l'éponge, Bob le Bricoleur, il y avait aussi Bob le Marrant (Friends) et voici le nouveau, Bob le Boucher, qui ne découpe pas les côtes d'agneau plus vite que l'éclair, mais il fait le Buzz (mdr) sur les réseaux sociaux car c'est un serial killer.

Non mais sérieusement, Bob le Boucher, ça ne fait pas sérieux du tout !

Jack The Ripper, ça claque, ça en impose, ça fout les chocottes.

L'Éventreur du Yorkshire, ça fait canin, je vous l'accorde, mais on sent de suite qu'on a affaire à un gars qui laissera sa trace dans l'Histoire, de même pour le Cannibale du Milwaukee ou L'Étrangleur de Boston.

Mais nom de dieu, Bob le Boucher, fallait avoir envie de faire rire les gens. Pourtant, ceux qui ont croisé sa route ont arrêté de rire, Bob leur ayant fait un sourire énorme dans leur gorge. Enfin si c'est bien lui…

Première enquête aux côtés de Max Wolfe et sans vouloir crier au loup, ce type boit trop de triple expresso ! Et c'est une consommatrice de café qui vous le dit. Il en consomme plus en quelques jours que moi durant tout le Mois Anglais (et j'en avale des litres).

Dommage que, une fois de plus, on se retrouve avec un inspecteur à la vie fracassée, veuf selon mes premières déductions, avec une gamine de 5 ans et un chien, insomniaque (l'inspecteur, pas le chien), un peu borderline parfois, véritable bombe à retardement à lui tout seul, le genre de flic qui fait que c'est pour cela qu'on ne les arme pas, en Angleterre.

Ne vous attendez pas à une enquête menée à une allure de malade, ça prend son temps mais ça se lit vite. Pas trop de surprise non plus pour le mobile car l'introduction nous laisse comprendre qu'il y aura de la vengeance là-dessous.

En tout cas, on a du mystère et cette envie d'aller de l'avant pour savoir le fin mot de tous ces assassinats et aussi savoir qui les commets. Tout en s'occupant de sa gamine, du chien, de ses leçons de boxe, notre DC Wolfe nous baladera d'un témoin à l'autre pendant qu'autour de lui, un tueur joue à "Dix petits nègres".

Sans trop développer, l'auteur nous présente une vieille institution, un collège de 500 ans, un collège qui forme la future élite, mais on devine qu'il y a un prix à payer et qu'il ne parle pas que des frais d'entrée.

Tel un danseur, l'auteur arpente son ring, sans baisser sa garde, mais en nous portant quelques petits coups, juste pour tester nos réactions avant de nous décerner l'uppercut dans le dernier round, nous laissant reprendre notre souffle après le coup sous la ceinture.

Ah c'est vache, ça ! Mais c'est comme ça qu'on l'aime, notre match de boxe : pas trafiqué, pas truqué et la possibilité d'un changement de leader jusqu'au dernier coup de gong, même si un est au sol, quasi K.O.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Je ne suis pas un très grand amateur de polars, juste un de temps en temps…Quand l’équipe de babelio me l’a proposé, j’ai cependant accepté volontiers, notamment intrigué par cette couverture accrocheuse de beaux cochons bien fangeux, plus que par cet auteur néophyte dans le domaine, Tony Parsons…

L’essai est concluant. Si j’aime la littérature de qualité et non commerciale, je goûte peu aux intrigues ultra-complexes, ce qui me dérange parfois chez certains maîtres du polar et a tendance à me détourner du genre. Ici, l’intrigue est assez limpide, avec une petite subtilité : il y a en fait deux tueurs, puisqu’un crime originel donne lieu à une série de crimes vengeurs.

Autre atout à mon sens, et cela a déjà été souligné dans certaines critiques ici, si nous suivons bien un flic de plus près, Max Wolfe, il s’inscrit vraiment dans une équipe d’enquêteurs. Il n’a rien d’une star, on sent qu’il a ses failles et ses problèmes, qui s’inscrivent dans une modernité bienvenue : père célibataire aux petits soins pour sa petite fille et son chien (ce qui est tout britannique), mal au dos, humain…ce qui nous change agréablement du flic alcoolo, misanthrope ou misogyne mais infaillible sur le raisonnement, profil qui lasse légèrement tant il est usé et devenu caricatural.

Sur l’intrigue, pour faire court et ne pas tout déflorer, tout part d’une scène inaugurale haletante, où une jeune femme tente de s’échapper d’une bâtisse où sept hommes l’ont séquestrée et malmenée…Elle parvient à frapper, crevant l’œil d’un d’entre eux, se sauvant en courant, pour tomber dans le piège au moment où elle croit son salut arrivé…c’est glaçant, et chose qu’on retrouvera régulièrement par la suite, assez horrible.

Car au-delà du premier chapitre, on bascule deux décennies plus tard, où des hommes amis, aisés, et en vue dans la société londonienne, issus d’une riche et prestigieuse école privée, Potter’s Field, sont successivement et atrocement assassinés, avec comme suspect constant un certain Bob le boucher qui revendique ces crimes via le web d’un « Mort aux porcs », et s’avère très expert pour trancher très profondément les gorges de ses victimes.
Qui se cache derrière cette signature sans pitié ? Si le lecteur comprend vite que les victimes sont les mêmes hommes qui ont fait disparaître cette jeune femme, Max Wolfe et ses collègues vont devoir élucider les motivations du tueur et de ses éventuels complices…forcément proches de la victime de l’époque.
Mais lequel des sept hommes incriminés a finalement tué cette jeune femme ?

Dès lors, l’auteur maintient assez bien le suspense et donne du rythme, grâce notamment à quelques rebondissements et fausses pistes, des scènes mouvementées avec fusils d’assaut et gilets pare-balles, où les policiers souffrent et sont loin d’être invincibles, voire meurent…Et puis il y a la présence charismatique de la riche et séduisante veuve d’un des sept hommes assassinés, qui ne laisse pas notre ami Max indifférent…La fin est assez déroutante, laissant forcément un goût d’inachevé, avec un beau…clin d’œil et, encore une petite originalité finalement assez réaliste, les coupables sont souvent malins et parfois intouchables, quand les enquêtes doivent bien être closes un jour pour les policiers humains et fatigués…

Belle découverte qui sait s'inscrire dans la mentalité britannique (la place de choix des animaux et des parcs) et s'inspirer des faits divers britanniques récents (affaires de pédophilie par exemple). Apparemment Tony Parsons a créé là un personnage à qui il va confier de nouvelles enquêtes. A suivre…
Merci encore aux équipes de Babelio, à leur confiance et leur générosité, ainsi qu’aux éditions de la Martinière.
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Une jeune fille est violentée et agressée par une bande d'amis. Elle sait qu'elle ne va pas s'en sortir vivante. Ainsi débute Des garçons bien élevés.
Londres, vingt ans plus tard, un banquier Hugo Buck est retrouvé la gorge tranchée à son domicile. Une inscription lissée par son meurtrier est relevée : « porc ». L'enquêteur Maw Wolfe est chargé de l'enquête. Il élève seule sa fille âgée de cinq ans qu'il considère comme la prunelle de ses yeux mais il est également un flic têtu, un peu tête brulée. Quelques jours plus tard, un SDF est retrouvé assassiné de la même façon. Forcément, il y a un lien. le banquier et le SDF ont fréquenté la même école privée Potter's Field à l'adolescence. Tous deux ainsi que cinq autre garçons étaient très amis. Quatre hommes de ce groupe sont encore vivants et tous ont des position sociales ou politiques aisées. Qu'ont–ils faits pour être ainsi devenues des proies ?
On n'est pas un roman policier où les rebondissements s'accumulent à chaque page mais bien plus dans une livre qui détaille la psychologie des personnages. Durant l'enquête, des fils petit à petit se tissent mais il est impossible de deviner pour le lecteur qui se cache derrière celui que l'on appelle Bob le boucher. La psychologie, les personnalités des personnages sont vraiment creusées avec un .
Une lecture où l'auteur ne nous bouscule pas, ne nous oppresse pas et pourtant ce livre est impossible à lâcher ! Impeccablement mené avec un enquêteur terriblement humain, j'en redemande !
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Repéré d'abord par sa couverture avec les trois petits cochons, puis par son bandeau rose "Le nouveau phénomène du polar anglais" ...
Alors moi, quand ça cause "made in England, ça me parle ! Et me voici grande gagnante du dit livre lors d'une opération Masse Critique ... La chance !

Bref, revenons à nos cochons ! Plantons le décor ... Nous sommes dans un polar et pas dans un thriller.
Dès le premier chapitre qui commence en force, on connait le mobile. Perso, j'aime moins mais bon, Si Tony le sentait mieux comme ça, c'est son choix après tout !
Deuxième chapitre, je me suis dit "waw, voilà le nouveau James Bond" ! Faut savoir que je venais de regarder Skyfall, ceci expliquant peut-être cela !

Et puis on entre dans tout autre chose. Une enquête finalement assez classique avec ses rebondissements, ses meurtres, ses secrets, ses acteurs, ... Et elle tient bien la route cette enquête. Jusqu'au bout même si à l'ouest y a pas vraiment qque chose de nouveau.
J'ai bien aimé Max même si il est un peu formaté ! Le vrai flic (celui qui a même pas mal !), aimé/mal aimé de ses chefs, qui prend ses décisions tout seul comme un grand, ... Ça c'est ce que j'ai le moins aimé chez lui.
Mais il y a aussi le flic qui élève seul sa fille et qui a un chien, Stan ! Top le chien, c'est le petit plus qui fait prendre la sauce familiale !
Moi j'aime bien quand les personnages ont une vie à côté de l'enquête, cela les rend plus humain, plus proche de moi. Dommage que ce soit le seul personnage du livre qui en ai une.
Pour ce qui est de ces garçons bien élevés, là nous sommes dans le cliché tip top ! Les Spices Girls à la sauce Potter's Field ... Les Hautes écoles anglaises, leurs traditions, l'amitié avec un grand A, les forts/faibles, les très riches/beaucoup moins riches ... Tout y est ! Mais en même temps, je pense que c'est aussi cela le "charme anglais" et c'est ce qui me plaît dans ce sujet.

Petit bémol tout de même pour toutes ces abréviations DC, DCI, SOCO, ... qui concernent la Police/armée Anglaise. Même si elles sont annotées, je me demande si il n'aurait pas été plus simple/lisible de traduire par Inspecteur, service scientifique,etc ...

Je ne pense pas que ce soit LE nouveau phénomène anglais (ou alors les anciens ont qques soucis à se faire !) question polar. C'est un bon polar mais pas LE polar. Trop classique pour ça je pense. Peut-être un défaut de jeunesse ? A voir avec la suite des aventures de Max (déjà publiées en VO)

Grand merci à Babelio et aux Editions de La Martinière pour ce bon moment de lecture ! A suivre donc ...


Lien : http://lesbl.blogspot.be/
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Chers amis, adeptes de scènes de crime et tueurs psychopathes, ce livre est fait pour vous.
Je le referme à l'instant, déçue de laisser le talentueux père et inspecteur de renom , Max Wolfe, ainsi que sa petite fille Scout, 5 ans, à leurs occupations. C'est ce que j'appelle un authentique polar, une véritable enquête, de celle où on s'y perd. Il y a beaucoup d'informations donc beaucoup d'hypothèses à formuler. Et outre ce pourquoi nous choisissons ce genre de lecture, outre le fait que Max et Scout sont terriblement attachants, il y a dans ce roman de quoi errer dans Londres, s'y voir, se mêler à ses ruelles, ses immeubles, ses bruits, son odeur, cet aura mystique qui en fait , à mon sens, une des plus belle ville qu'il m'ait été donnée de découvrir. Alors si en plus on y ajoute une enquête comme celle-ci, autant vous dire que j'ai bien accroché.
La fin est comme beaucoup de polars, dommage, rapide, inattendue. Mais heureusement, elle ne dure que quelques pages.
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Un premier meurtre se produit par égorgement. Max enquête et les indices sont faibles. Lorsqu'il se produit un second meurtre, Max cherche à savoir ce que les victimes on en commun : le même lycée. Et tous ceux qui y vont font partis des nantis, on leur forge le caractère afin qu'ils deviennent des dirigeants ou des ministres. Et même si Bob le Boucher se déchaîne sur les réseaux sociaux, le véritable meurtrier d'un autre événement va voir le jour.
Le livre fait penser au film "the riot club", il n'en reste pas moins un bon livre avec suspense;
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Merci à Babelio et aux éditions de la Martinière pour cet envoi ! "Des Garçons bien élevés" est le premier roman policier de l’écrivain anglais Tony Parsons. De lui j’avais lu il y a une dizaine d‘années "La deuxième Femme", une histoire de mariage recomposé avec un personnage masculin central. Sans m’avoir laissé un souvenir impérissable, c’est une lecture que j’avais appréciée.

"Des garçons bien élevés" (je ne suis pas fan du titre français mais il n’est finalement pas dénué d’intérêt) : en 1988 ils avaient quinze ans. Sept amis, élèves du prestigieux Potter’s Field College. Des amis pour la vie ; pour la mort, aussi. Vingt ans plus tard, certains de leur bande se font violemment égorger. L’inspecteur (DC) Max Wolfe va mener l’enquête.

Voilà un livre qui se lit vite et bien. J’ai trouvé intéressant de plonger dans les rouages du système policier britannique (même si j’avoue, j’ai eu du mal au début avec tous les sigles : DC (inspecteur), DCI (inspecteur chef), SOCO (service scientifique) etc. Tony Parsons a une écriture fluide, claire, agréable, et de l’humour. On progresse à mesure dans la découverte des différents personnages, de Londres, des lieux (j’ai adoré découvrir l’existence du Black Museum, le musée du crime de Scotland Yard), des quartiers populaires aux demeures huppées ; ah, cette fameuse haine de classe anglaise ! Ca me fascine.

Alors certes, "Des Garçons bien élevés" n’est pas le polar du siècle : un peu trop de minuscules incohérences, quelques ficelles de genre assez classiques, des personnages souvent caricaturaux et parfois pas très bien différenciés, quelques rebondissements prévisibles… mais qu’importe ! J'ai ressenti de beaux frissons de lecture. Et Max Wolfe est terriblement attachant ; le livre dans son ensemble est attachant.
Alors franchement, pour passer un très agréable moment de lecture, je vous le conseille !
Lien : https://lettresdirlandeetdai..
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Il m'en aura fallu du temps pour lire ce roman policier ! Cela fait pas moins de trois semaines que j'ai reçu ce livre de la part de Babelio et des éditions La Martinière... Je vous rassure, si j'ai mis autant de temps à le lire, ce n'est pas parce qu'il m'a déplut, au contraire ! C'est tout simplement que j'avais d'autres lectures en cours et que je voulais pouvoir me plonger dans ce roman policier sans être distraite par un autre livre.

Voilà quelques jours, je me suis donc lancée dans la lecture des "Garçons bien élevés" de Tony Parsons. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Au final, j'ai été agréablement surprise et suis très enthousiaste suite à cette lecture. Ce roman policier m'a vraiment beaucoup plu et donné envie de suivre la future actualité littéraire de cet auteur.

L'intrigue des "Garçons bien élevés" est somme tout assez classique mais n'en est pas moins très réussie. La trame de l'histoire ne sort pas de l'ordinaire. Nous avons droit à des meurtres, un tueur en série, une enquête, un inspecteur en guise de personnage principal et du suspense, comme dans tout bon roman policier. Mais là où l'auteur fait la différence, c'est dans la consistance qu'il donne à ses personnages. Il y a une véritable densité dans le caractère de ses personnages mais surtout dans leurs émotions. Je pense notamment à Max Wolfe, personnage principal du roman.

Le personnage de Max est loin des stéréotypes habituels du flic. Je suis parfois lassée de lire ces romans policiers et thrillers où le héros est toujours une sorte de super-flic endurci par l'expérience. Le genre de policier qui a perdu sa famille à cause d'un tueur qu'il traquait ou bien à cause de son travail. Bref, un flic solitaire qui vit pour son job et traque les criminels avec toute l'énergie dont il dispose, quitte à finir ronger par ses propres démons. Ici, l'auteur met en scène un personnage qui débute dans sa carrière d'inspecteur.

Max est à peine âgé d'une trentaine d'années. De plus, ce n'est pas seulement un policier, c'est aussi et avant tout un père de famille. Il élève seul sa fille Scout, dont il prend soin comme la prunelle de ses yeux. Son personnage sort donc de l'ordinaire dans le sens où il ne vit pas QUE pour son travail, il vit pour sa fille. Il a un côté très humain qui le rend particulièrement attachant. Il n'est pas insensible à l'horreur qu'il voit dans son travail. Il n'est pas invincible (il est d'ailleurs physiquement diminué la plupart du temps à cause de son dos). C'est un être faillible, qui a peur de mourir, comme tout le monde. Au contraire, cette scène ne m'a fait qu'apprécier plus encore son personnage car elle dévoile ses faiblesses.

De manière générale, cette histoire de Tony Parsons a quelque chose de très humain. L'auteur évite habilement l'écueil du manichéisme. Tous les personnages ne sont pas noirs ou blancs, bons ou mauvais. Il nous fait comprendre que la frontière entre le bien et le mal est subtile, parfois vite franchie et que les conséquences sont irréversibles. L'histoire de vengeance que l'auteur nous raconte en est un parfait exemple. L'auteur interroge la notion de justice et par la même occasion, celle de vengeance. Il apporte énormément de nuances à son texte, c'est pour cela que j'ai autant apprécié le roman.

En ce qui concerne l'écriture, elle distille habilement le suspense au fil des pages. Chaque fin de chapitre nous laisse encore plus impatient de lire la suite. Dans certains romans policiers et thrillers, les descriptions morbides des scènes de crime prennent parfois (souvent? ) le pas sur l'intrigue elle-même. Ici, l'auteur trouve le juste milieu. Les scènes de crime sont bien sûr décrites mais on a pas un sentiment de voyeurisme comme c'est parfois le cas. Tout ce qui est dit est nécessaire à l'intrigue et au lecteur, pour lui donner des frissons (et vous allez en avoir si vous lisez ce roman!).

Le dénouement est réussi même si j'ai trouvé qu'il était mené trop rapidement. L'auteur nous réserve un "twist " dans les deux dernières pages. La révélation qui nous est faite montre toute l'habilité de l'auteur dans la construction de son intrigue. Néanmoins, cette révélation agacera peut-être certains lecteurs qui, comme moi, Quoi que, après tout, c'est ce qui arrive malheureusement dans la réalité...

Finalement, je termine cette lecture avec un goût de trop peu! Je me prends à espérer une suite. J'aimerais beaucoup retrouver Max Wolfe dans une nouvelle enquête. Merci encore à Babelio et aux éditions de La Martinière pour cette captivante et effrayante lecture!
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C'était une découverte pour moi cet auteur. L'écriture est excellente, la construction du récit habile, le personnage principal très attachant, l'intrigue menée avec beaucoup de maîtrise. Bref, j'ai beaucoup aimé ce roman. A défaut d'être original, il est assurément bien fait. Quelques personnages auraient sans doute mérité plus de profondeur, mais cela aurait probablement été au détriment du rythme, alors ne boudons pas notre plaisir, c'est du solide.
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facilement conquis par cette 1ère enquête de Max Wolfe. C'est très efficace,le rythme est enlevé,l'écriture et surtout le gros point fort ce sont les personnages, aussi bien le personnage principal que les secondaires. Ils sont biens campés,ils sont crédibles et surtout,à l'image de Max,ils sont éminemment sympathique et attachants.
La série est d'emblée bien installée avec ce 1er opus et on a rapidement,sans même savoir la fin, envie d'en lire d'autres.
Si en plus vous êtes amateurs des dernières séries TV british polars/policiers ce roman de Tony Parsons est définitivement pour vous
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